Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1821 - France |
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10 août 20 juin appartemens armée avaient avez bataillon Bazire Brissot c'était canon cents Chabot château citoyens Cléry commissaires commune conseil constitution constitutionnels Convention nationale corps législatif cour crime d'accusation d'Orléans déclarer décret demande départemens députés Desèze devait directoire Dumouriez émigrés enfans ennemis eût événemens faction famille royale faubourg faubourg Saint-Antoine Fayette fédérés Ferrières Feuillans force foule garde nationale girondins grenadiers heures hommes jacobins Jacques Roux jour journée du 20 jugement justice l'Assemblée nationale l'homme liberté Logographe Louis XVI madame Roland main maire Malesherbes Marseillais massacre membres ment Messieurs ministres Monsieur mort n'était nation Note des édit officiers municipaux orléanistes patrie patriotes personne Pétion pétition peuple populace porte pouvait pouvoir exécutif présenter président prêtres prince refus reine répondit révolution Robespierre Roederer s'était sanction sang Santerre sauver séance sections semblait sentimens sentiment serait seul sieur sort Suisses sûreté tête tion Tronchet trône troupes Tuileries Vergniaux veto voulait
Popular passages
Page 515 - Si l'on nous parle de la part de ces genslà, nous n'écouterons rien; si c'est de la vôtre, nous écouterons, mais nous irons droit notre chemin. Ainsi, si l'on veut que vous nous fassiez dire quelque chose, ne vous gênez pas. Soyez tranquille sur votre sûreté ; nous n'existons que pour vous servir ; nous y travaillons avec ardeur, et tout va bien.
Page 426 - Legendre ; écoutez-nous, vous êtes « fait pour nous écouter... Vous êtes un perfide. Vous nous « avez toujours trompés, vous nous trompez encore. Mais « prenez garde à vous : la mesure est à son comble , et le « peuple est las de se voir votre jouet.
Page 390 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
Page 485 - Messieurs," dit alors le roi, "je suis venu ici pour éviter un grand crime, et je pense que je ne saurais être plus en sûreté qu'au milieu de vous.
Page 504 - ... fonctions de jurés et de juges, une douzaine de bourreaux, les bras nus, couverts de sang, les uns avec des massues, les autres avec des sabres et des coutelas qui en dégouttaient...
Page 341 - Je dois à mon honneur, je dois à ma famille de ne «point souscrire à un jugement qui m'inculpe d'un crime «que je ne puis me reprocher. En conséquence je déclare «que j'interjette appel à la nation elle-même du jugement
Page 332 - On vient de vous exposer mes moyens de défense; je ne les répéterai point. En vous parlant peut-être pour la dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité.
Page 428 - ... du peuple , car je respecte encore plus le peuple , dont la constitution est la volonté suprême; ni la bienveillance que vous m'avez constamment témoignée , car je veux la conserver , comme je l'ai obtenue, par un inflexible amour de la liberté. » Vos circonstances sont difficiles, la France est menacée au dehors et agitée au dedans. Tandis que des cours étrangères annoncent l'intolérable projet d'attenter à notre souveraineté nationale , et se déclarent...
Page 447 - ... que la nation puisse avoir confiance en la dynastie actuelle, nous demandons que des ministres , solidairement responsables , nommés par l'assemblée nationale, mais hors de son sein, suivant la loi constitutionnelle, nommés par le scrutin des hommes libres, à haute voix, exercent provisoirement le pouvoir exécutif, en attendant que la volonté...
Page 332 - Le peuple voulut la liberté, il la lui donna ' : // vint même au-devant de lui par ses sacrifices; et cependant, c'est au nom de ce même peuple qu'on demande aujourd'hui... Citoyens, je n'achève pas... Je m'arrête devant l'histoire ; songez qu'elle jugera votre jugement, et que le sien sera celui des siècles.