Mercure de France au dix-neuvième siècle1787 |
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adreffe Affemblées affez affure ainfi Anglois auffi avoient avoit Baffi befoin Bois-le-Duc c'eft C'eſt caufe Charade Charnois chofe compofé Comte Confeil conféquence conferver confidérable conftitution connoiffances Décembre defdits deftinée dépenfes Difcours différens efprit enfuite eſt Etats étoient étoit fans favoir fe font fe trouve fecond fent fera feront fervice fervir feul fieur foin foit fomme fous fouvent François fterl fubfides fuccès fuis fuivant fujet fur-tout Grande-Bretagne Hiftoire hommes Hottentots jufqu'à jufte Kinburn l'Abbé l'Auteur laiffer Landgrave lefquels Lettres Libraire Logogriphe M.me Majefté Meffieurs mefures ment Mercure Miniftre mois Mufique n'eft Nation néceffaires Novembre obferve Ottomans Ouvrage paffer paroît perfonnes Philofophie plufieurs Poëtes pofé poffible Pofte port préfent Prince Prince Potemkin propofé PROVINCES-UNIES Puiffances puiffe queftion rabais raifon refte rentes Royale rue des Mathurins rue du Roule Ruffie s'eft s'étoit Soufcripteurs Stadhouder Suwarow Théatre tion Tréfor troupes Turenne vaiffeaux دو رو
Popular passages
Page 128 - Si DONNONS EN MANDEMENT à nos âmes & féaux Confeillers les Gens tenant notre Cour de Parlement à Paris , que ces Préfentes ils ayent à.
Page 128 - Si donnons en mandement à nos âmes & féaux Confeillers les Gens tenant notre Cour de Parlement à Paris, que notre préfent Edit ils...
Page 25 - ... de cette fomme dans les années fuivantes. » Je m'arrête ici , Meffieurs , je ne peux plus me défendre d'une réflexion qui m'attendrit. Je m'eftime heureux dans ce moment d'être l'organe de cette promette du roi; & je regarde comme le plus beau jour de ma vie, celui où je peux annoncer à la nation, avec la plus ferme affurance , un fi grand bienfait de fon fouVerain.
Page 29 - Le coi a concilié, dans la nouvelle loi, les droits de la nature avec les intérêts de son autorité et de la tranquillité publique. Sa majesté ne veut point d'autre culte public- dans «on royaume que celui' de la religion catholique , apostolique et romaine.
Page 83 - Peuples que nous fommes aujourd'hui raffurés à cet égard ; indépendamment de ce qu'un des préfervatifs des plus certains contre la guerre., eft de faire voir qu'un fyftême fuivi va faire évanouir l'embarras que nos finances ont éprouvé, nous nous fommes propofés encore dans notre fagefle d'y pouvoir d'une manière plus fpéciale.
Page 185 - SM l'empereur et roi Pour un emprunt de deux millions quatre cent mille florins de change. In-f.
Page 82 - ... éloigné, il nous a pa~ ru démontré qu'en comptant les augmentations de recette que peut produire la réforme de nos finances, notre trésor royal devait profiter, soit par augmentation de recette , soit par diminution de ses charges , d'ici à un certain nombre d'années, de plus de cent millions, et un jour même de plus de deux cents.
Page 231 - Fait au Confeil d'État du Roi, Sa Majefté y étant, tenu à Verfailles le 26 avril mil fept cent trente-huit.
Page 238 - Paftoral , par M. de Florian , Capitaine de Dragons , & Gentilhomme de SAS Mgr. le Duc de Penthièvre ; des Académies de Madrid, de Florence, ck Lyon, de Nifmes, d'Angers, Sic.
Page 192 - ... des mots de cette langue. Toutes les nations qui écrivent leur langue, ont un alphabet qui leur est propre, ou qu'elles ont adopté de quelque autre langue plus ancien ne.