Histoire des Français, Volume 17 |
Other editions - View all
Common terms and phrases
Allemands alliance ambassadeurs Annebault août armée attaquer auroit avoient avoit Barberousse Belcarii Belcarius Blaise de Montluc Boulogne Brissac capitulation cardinal cents chancelier Charles Charles-Quint comptoit comte d'Enghien concile connétable Crépy croyoit d'Écosse dauphin devoient devoit diète duc d'Orléans duché de Milan Écosse envoyé Espagnols étoient étoit faisoit falloit Ferdinand Ferronii Ferronius fils flotte Frà Paolo François Ier frère G. B. Adriani Guasto guerre Guise habitans Henri VIII Hist Hongrie impériaux Isambert juillet juin Jules III l'Allemagne l'armée l'Église l'empereur l'empire landsknechts Lorraine maréchal mariage Martin Du Bellay Maurice Maurice de Saxe Metz mille hommes mois Montluc Montmorency n'avoit négociations paix pape Passaw Paul III Pauli Jovii Piémont Pierre Strozzi pouvoit Poyet prince protestans province Rabutin Rapin Thoyras reine Ribier Rincon Robertson royaume s'étoient s'étoit Saxe sembloit seroit seulement sieur Sleidan soldats Soliman Strozzi Tavannes testans Thou tion traité trève troupes Turcs venoit Vieilleville Villars vouloit voyoit XVII XXIII
Popular passages
Page 288 - ... bon morceau, qui ne fût incontinent englouti. « Et avoient pour cet effet, en toutes parts du « royaume, gens apostés et serviteurs gagés, pour « leur donner avis de tout ce qui se mouroit, sans « épargner les confiscations, pour les demander. « Mais bien plus, ils avoient des médecins à Paris, « où tous les grands de France...
Page 334 - Celui qui vous maîtrise tant n'a que deux yeux, n'a que deux mains, n'a qu'un corps et n'a autre chose que ce qu'a le moindre homme du grand nombre infini de vos villes ; sinon qu'il a plus que vous tous : c'est l'avantage que vous lui faites pour vous détruire.
Page 405 - France avoit un autre but : c'étoit de résister aux pratiques de l'empereur « employées « pour faire tomber leur chère patrie, la Germanie, « en une bestiale, insupportable et perpétuelle « servitude, comme il a été fait en Espagne et aila leurs
Page 274 - qu'il mourut avec tant de piété et de « constance , que , comme le souffle lui échap« poit , il répéta à plusieurs reprises le nom de « Dieu , et lorsqu'il n'eut plus de voix , il fit « encore de ses doigts le signe de la croix sur son « lit. On assure qu'il recommanda à son fils...
Page 334 - Pauvres gents et miserables, peuples insensez, nations opiniastres en vostre mal, et aveugles en vostre bien, vous vous laissez emporter devant vous le plus beau et le plus clair de vostre revenu, piller vos champs, voler vos maisons, et les despouiller des meubles anciens et paternels ! vous vivez de sorte , que vous pouvez dire que rien n'est à vous; et sembleroit que meshuy ce vous seroit grand heur, de tenir...
Page 334 - Et tout ce dégât, ce malheur, cette ruine vous vient non pas des ennemis, mais bien certes de l'ennemi, et de celui que vous faites si grand qu'il est, pour lequel vous allez si courageusement à la guerre, pour la grandeur duquel vous ne refusez pomt de présenter à la mort vos personnes.
Page 354 - Cela dit, il tire sa dague et la « fourre dans le brevet en l'endroit de son nom. « M. d'Apchon , rougissant de honte, car il avoit « été le premier auteur de cette poursuite, tire « semblablement la sienne et en traverse, par grande « colère, le sien; M. de Biron n'en fit pas moins, « et s'en allèrent tous trois, tirant chacun de son « côté , sans se dire mot , laissant le brevet à qui le « voulut prendre, car il fut jeté par terre. » (1) Tandis que « les prélats diocésains d'une...
Page 320 - cette résolution , les feux furent allumés plus « que jamais ; et surtout la chambre du parlement « de Paris, qu'on appeloit la chambre ardente, en « envoyoit au feu autant qu'il en tomboit entre
Page 273 - Sur ces entrefaites, dit du Bellay, lui vint une fièvre lente, pour laquelle passer, il s'en alla à la Muette, maison nouvellement par lui édifiée, à deux lieues de...
Page 169 - Sire, lui répondit l'amiral, vous « avez belle envie de leur donner congé de combattre. Je ne vous « assurerai pas, s'ils combattent, du gain ni de la perte, car il n'ya « que Dieu qui le puisse savoir; mais je vous obligerai bien ma vie et