Oeuvres posthumes, Volumes 1-7 |
Common terms and phrases
absolue absolutisme abus Adam Smith agricole alleu bail Banque bénéfice BOULEVARD MONTMARTRE c'est-à-dire capitaux chose citoyen commandite commerce communauté concurrence conditions conséquent consommation constitution Contradictions économiques Crédit foncier Crédit mobilier créer cultivateur démocratie dire division doit domaine quiritaire égale famille féodalité fermage fermier fief force frais galité garantie gouvernement hypothèque indigénat indus industrie industrielle institution intérêt j'ai juris ratio patitur jus utendi juste justice l'absolutisme l'abus l'alleu l'échange l'économie l'égalité l'égoïsme l'État l'Exposition perpétuelle l'homme l'impôt l'in l'institution l'intérêt Laboulaye latifundia latifundium législateur légitime liberté lois marchandises matière ment morale moyen NAPOLÉON Ier nation pable Palais de l'Industrie patricien payer peuple plèbe plus-value politique PORNOCRATIE possession premier priétaire priété principe producteurs produits propriétaire PROUDHON public publique puissance raison rente reste Révolution rien salaire sera services seul social Société de l'Exposition souveraineté système terre théorie tion toyen travail travailleurs universelle usucapion utendi et abutendi valeur
Popular passages
Page 196 - La propriété est le droit de jouir et de disposer des choses de la, manière la plus absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les règlements.
Page 307 - Plaidoyer de l'auteur devant la cour d'assises de Besancon ; 3° Célébration du dimanche ; 4° De la concurrence entre les chemins de fer et les voies navigables ; 5° Le Miserere.
Page 187 - La liberté est le pouvoir qui appartient à l'homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d'autrui ; elle a pour principe la nature, pour règle la justice , pour sauvegarde la loi ; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'il te soit fait.
Page 13 - M. Blanqui reconnaît qu'il ya dans la propriété une foule d'abus, et d'odieux abus ; de mon côté, j'appelle exclusivement propriété la somme de ces abus. Pour l'un comme pour l'autre, la propriété est un polygone dont il faut abattre les angles : mais, l'opération faite, M. Blanqui soutient que la figure sera toujours un polygone (hypothèse admise en mathématique, bien qu'elle ne soit pas prouvée), tandis que je prétends, moi, que cette figure sera un cercle.
Page 223 - Si toutes les données nous en sont acquises aujourd'hui, elles ont besoin d'être coordonnées, synthétisées d'après leurs lois propres. Là se découvre une pensée, une vie intime collective qui évolue en dehors des lois de la géométrie et de la mécanique; qu'il répugne d'assimiler au mouvement rapide, uniforme, infaillible d'une cristallisation; dont la logique ordinaire, syllogistique, fataliste, unitaire, est incapable de rendre compte, mais qui s'explique merveilleusement à l'aide...
Page 104 - ... lointain, conservé par la communauté des noms et des sacrifices. Dans un pareil système, c'est bien moins le lien du sang qui constitue la famille que le lien politique; et l'individu, en dépit des droits qui nous paraissent les plus sacrés, est impitoyablement sacrifié à cette nécessité publique. C'est à ce point de vue qu'il faut se placer pour comprendre les lois romaines : toute-puissance du père de famille, préférence des mâles, tutelle des femmes, exclusion de leurs descendants...
Page 207 - Fourier aurait dit simplistes, fanatiques de l'unité eu logique et métaphysique aussi bien qu'en politique, incapables de saisir cette proposition, pourtant bien simple : que le monde moral, comme le monde physique, repose sur une pluralité d'éléments irréductibles et antagoniques, et que c'est de la contradiction de ces éléments que résulte la vie et le mouvement de l'univers? Eux, au contraire, expliquent la nature, la société et l'histoire comme un syllogisme. Ils font tout sortir de...