Histoire de la révolution française (1789-1799) |
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accusés Alexandre de Lameth applaudissements armée armes assemblée Autrichiens avaient Bailly Barras Bonaparte Brissot Buzot c'était canons Cazalès cesse château chef citoyens clergé Comité de salut Commission des Douze Commune complot conseil conspiration constitution constitutionnel Convention Convention nationale coup crime cris Danton déclare décret délibérer demande députés Desmoulins Directoire districts Dumouriez émigrés ennemis foule garde nationale général Gironde Girondins gouvernement Guadet guerre heures hommes Jacobins jour juges l'armée l'Assemblée nationale Lafayette laisser Lanjuinais législative lendemain liberté Louis XVI Madame Élisabeth majorité Marat membres menaces ment milieu ministre Mirabeau Montagnards Montagne municipalité nation Necker nommé nuit ordre palais parisienne patrie patriotes Péthion peuple président proposition reine républicains république reste réunir révolution révolutionnaire Robespierre Roger Ducos royauté s'était salle salut public séance sections serait serment seul Siéyès soldats sort sur-le-champ Tallien tête tion tour du Temple tribunal tribune troupes Tuileries venait Vergniaud veto voix vote voulait
Popular passages
Page 284 - Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement; mais mon cœur est déchiré de trouver dans l'acte d'accusation l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple, et surtout que les malheurs du 10 août me soient attribués! » J'avoue que les preuves multipliées que j'avais données dans tous les temps de mon amour pour le peuple, et la manière dont je m'étais toujours conduit, me paraissaient devoir prouver que je craignais peu de m'exposer pour épargner son sang,...
Page 371 - J'espère que, dans sa bonté, il voudra bien recevoir mes derniers vœux, ainsi que ceux que je fais depuis longtemps, pour qu'il veuille bien recevoir mon âme dans sa miséricorde et sa bonté. Je demande pardon à tous ceux que je connais, et à vous, ma sœur, en particulier, de toutes les peines que, sans le vouloir, j'aurais pu leur causer.
Page 16 - Mais tout ce qu'on peut attendre du plus tendre intérêt au bonheur public, tout ce qu'on peut demander à un souverain, le premier ami de ses peuples, vous pouvez , vous devez l'espérer de mes sentimens.
Page 370 - J'ai à vous parler d'une chose bien pénible à mon cœur. Je sais combien cet enfant doit vous avoir fait de la peine ; pardonnez-lui, ma chère sœur: pensez à...
Page 238 - Que ces défiances ont provoqué de diverses parties de l'empire un vœu tendant à la révocation de l'autorité déléguée à Louis XVI; « Considérant néanmoins que le Corps législatif ne doit...
Page 74 - Eh! messieurs, à propos d'une ridicule motion du Palais-Royal, d'une risible insurrection qui n'eut jamais d'importance que dans les imaginations faibles ou les desseins pervers de quelques hommes de mauvaise foi , vous avez entendu naguère ces mots forcenés : Catilina est aux portes de Rome, et l'on délibère!
Page 11 - Dans tous les pays , dans tous les âges , les aristocrates ont implacablement poursuivi les amis du peuple; et si, par je ne sais qu'elle combinaison de la fortune, il s'en est élevé quelqu'un dans leur sein, c'est celui-là surtout qu'ils ont frappé, avides qu'ils étaient d'inspirer la terreur par le choix de la victime. Ainsi périt le dernier des Gracques de la main des patriciens; mais , atteint du coup mortel , il lança de la poussière vers le ciel, en attestant les dieux vengeurs ; et...
Page 135 - C'est une étrange manie, c'est un déplorable aveuglement que celui qui anime ainsi les uns contre les autres des hommes qu'un même but, un sentiment indestructible...
Page 35 - nous avons entendu les intentions qu'on a suggérées au roi; et vous, qui ne « sauriez être son organe auprès des états généraux, vous qui n'avez ici ni place, « ni voix, ni droit de parler, vous n'êtes pas fait pour nous rappeler son discours.
Page 370 - ... première base de la vie, que leur amitié et leur confiance mutuelle en feront le bonheur; que ma fille sente qu'à l'âge qu'elle a, elle doit toujours aider son frère par les conseils que l'expérience qu'elle aura de plus que lui et son amitié pourront lui inspirer. Que mon fils, à son tour, rende à sa sœur tous les soins, les services que l'amitié peut inspirer. Qu'ils sentent enfin tous deux que, dans quelque position où ils pourront se trouver, ils ne seront vraiment heureux que...