La démagogie en 1793 à Paris, ou Histoire, jour par jour, de l'année 1793; accompagnée de documents contemporains, Volume 106Plon, 1868 |
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Common terms and phrases
annonça août appelait armée arrêté arrivé aurait avaient avons barre Barry cause cent chargé ci-devant citoyens Comité Comité de salut commissaires Commune compte conduite conseil Convention corps côté coup d'autres d'être déclaration décret demande dénonça département députés dernier devant dire donner enfin exécutif faisait femme force formé fût garde général gens guerre heures hommes j'ai Jacobins jour journée jugement juin jusqu'à l'armée l'Assemblée l'un lettre liberté lieu livres Louis Lyon madame main maison malheureux Marat mars membres ment mesures mille ministre mois mort moyens municipalité n'avait n'était nationale nommé nouvelle ordre parler passer patrie patriotes peine pendant personne peuple pièces place porte pourrait pouvait premier présenter pris propos public publique qu'un rapport rendre représentants républicains République reste Révolution révolutionnaire rien s'était s'il salut public séance section sentiments septembre serait seul Signé société sort suite suivant tête tion Tribunal révolutionnaire trouvé venait voulait voyez
Popular passages
Page 316 - tout citoyen, appelé ou saisi par l'autorité de la loi, doit obéir à l'instant; il se rend coupable par la résistance. XI. Tout acte exercé contre un homme, hors des cas et sans les formes que la loi détermine, est arbitraire et tyranniqiie ; celui contre lequel on voudrait l'exécuter par la violence a le droit de
Page 316 - XII. Ceux qui solliciteraient, expédieraient, signeraient, exécuteraient ou feraient exécuter des actes arbitraires, sont coupables et doivent être punis. XIII. Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi. ., XIV.
Page 316 - XVI. Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie. XVII. Nul genre de travail, de culture, de commerce,
Page 315 - tu ne veux pas qu'il te soit fait. VII. Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute antre manière, le droit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes, ne peuvent être interdits.
Page 315 - manière, le droit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes, ne peuvent être interdits. La nécessité d'énoncer ces droits suppose ou la présence on le souvenir récent du despotisme. VIII. La sûreté consiste dans la protection accordée par la société à chacun de ses membres pour la conservation de sa personne, de ses droits et de ses propriétés.
Page 379 - les femmes, pères, mères, fils ou filles, frères ou sœurs, et agents d'émigrés, qui n'ont pas constamment manifesté leur attachement à la Révolution ; 6° Ceux qui ont émigré dans l'intervalle du 1" juillet 1789 à la publication de la loi du 8 avril 1792, quoiqu'ils soient rentrés
Page 315 - la loi. IV. La loi est l'expression libre et solennelle de la volonté générale; elle est la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse; elle ne peut ordonner que ce qui est juste et utile a la société : elle ne peut défendre que ce qui lui est nuisible.
Page 378 - II. Sont réputés gens suspects : 1° Ceux qui, soit par leur conduite, soit par leurs relations, soit par leurs propos ou leurs écrits, se sont montrés partisans de la tyrannie et du fédéralisme, et ennemis de la liberté
Page 90 - dit à ceux qui gouvernaient alors : Vos discussions sont misérables; je ne connais que l'ennemi; battons l'ennemi. Vous qui me fatiguez de vos contestations particulières, au lieu de vous occuper du salut de la République , je vous répudie tous comme traîtres à la patrie. Eh ! que m'importe ma réputation? Que la France soit libre, et que mon nom soit flétri
Page 316 - ne doit être jugé et puni qu'après avoir été .entendu ou légalement appelé, et qu'en vertu d'une loi promulguée antérieurement au délit: la loi qui punirait des délits commis avant qu'elle existât serait une tyrannie; l'effet, rétroactif donné à la loi serait un