Oeuvres de Pierre Leroux (1825-1850) |
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âme Anglaise appelle arrivé aujourd'hui aurait avaient avant avons besoin c'est-à-dire c'était CHAPITRE Charlotte chercher chose Christianisme ciel Contrat Social corps cour demande dernier destinée devant Dieu dire doit donner doute effet également enfants enfin époque esprit faisait femme fond force forme Française générale génie gouvernement Grèce guerre hommes humaine idées j'ai jour l'art l'autre l'avenir l'égalité l'esprit l'état l'Europe l'homme l'Humanité l'un laisser législateur liberté lieu livre lois lui-même main ment Monarchie monde Montesquieu montrer morale mort n'avait n'en n'était Napoléon nations nature nécessaire nouvelle parler passé pensée père peuple philosophie place poésie poëte politique porte pouvait pouvoir premier présent profonde progrès qu'un question raison rapport regards religieux religion représentation reste révélateurs Révolution rien Rousseau s'est sais science semble sens sentiment sera seulement Siècle social société sommes sorte souveraineté suite suivant système terre tion tombe trouve vérité voilà Voyez vrai Werther yeux
Popular passages
Page 111 - De lui-même le peuple veut toujours le bien, mais de lui-même il ne le voit pas toujours. La volonté générale est toujours droite, mais le jugement qui la guide n'est pas toujours éclairé.
Page 111 - ... existence partielle et morale à l'existence physique et indépendante que nous avons tous reçue de la nature. Il faut, en un mot, qu'il ôte à l'homme ses forces propres pour lui en donner qui lui soient étrangères, et dont il ne puisse faire usage sans le secours d'autrui.
Page 221 - Le pouvoir intermédiaire subordonné le plus naturel est celui de la noblesse. Elle entre en quelque façon dans l'essence de la monarchie , dont la maxime fondamentale est , « point «de monarque, point de noblesse; point de « noblesse , point de monarque ». Mais on a un despote.
Page 145 - La Propriété est le droit qu'a chaque citoyen de jouir et de disposer de la PORTION DE BIENS qui lui est garantie par la loi.
Page 116 - Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer pour ainsi dire la nature humaine, de transformer chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être...
Page 117 - Les sages qui veulent parler au vulgaire leur langage au lieu du sien n'en sauraient être entendus. Or il ya mille sortes d'idées qu'il est impossible de traduire dans la langue du peuple. Les vues trop générales et les objets trop éloignés sont également hors de sa portée...
Page 111 - Dans la naissance des sociétés, dit Montesquieu, ce sont les chefs des républiques qui font l'institution, et c'est ensuite l'institution qui forme les chefs des républiques (i).
Page 116 - ... en sorte que si chaque citoyen n'est rien , ne peut rien que par tous les autres , et que la force acquise par le tout soit égale ou supérieure à la somme des forces naturelles de tous les individus , on peut dire que la législation est au plus haut point de perfection qu'elle puisse atteindre.
Page 135 - Il met au premier rang de ces devoirs de détester la mauvaise foi et la tyrannie, de punir les tyrans et les traîtres, de secourir les malheureux, de respecter les faibles, de défendre les opprimés, de faire aux autres tout le bien qu'on peut, et de n'être injuste envers personne.
Page 146 - L'instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tout son pouvoir les progrès de la raison publique, et mettre l'instruction à la portée de tous les citoyens.