| F. Lenormand - 1813 - 104 pages
...pour » rendre les mouvemens de mon cœur un lan33 gage vraiment digne d'eux. Ce fut la première » et l'unique fois de ma vie ; mais je fus sublime , » si l'on peut nommer ainsi tout ce que l'amour 33 le plus tendre et le plus ardent peut porter d'ai33 niable et de séduisant dans un cœur d'homme.... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 710 pages
...trouvai , pour rendre 1rs mouvements de mon cœur, un langage vraiment digne d'eux. Ce fut la première et l'unique fois de ma vie; mais je fus sublime, si...larmes je versai sur ses genoux! que je lui en fis verser malgré elle ! Enfin , dans un transport involontaire , elle s'écria : Non , jamais homme ne... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 712 pages
...trouvai, pour rendre les mouvements de mon cœur, un langage vraiment digne d'eux. Ce fut la première et l'unique fois de ma vie; mais je fus sublime, si...larmes je versai sur ses genoux! que je lui en fis verser malgré elle ! Enfin , dans un transport involontaire, elle s'écria : Non , jamais homme ne... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 562 pages
...trouvai , pour rendre les mouvemens de mon cœur, un langage vraiment digne d'eux. Ce fut la première et l'unique fois de ma vie; mais je fus sublime, si...larmes je versai sur ses genoux! que je lui en fis verser malgré elle! Enfin, dans un transport involontaire, elle s'écria: Non, jamais homme ne fut... | |
| Louis Victor Flamand-Grétry - 1820 - 322 pages
..., pour rendre les mouvemens de mon cœur, » un langage vraiment digne d'eux : ce fut la première et » l'unique fois de ma vie; mais je fus sublime...cœur d'homme. Que d'enivrantes larmes je versai sur » sos genoux ! que je lui en fis verser malgré elle! Enfin , » dans un transport involontaire elle... | |
| Louis Victor Flamand-Grétry - 1820 - 326 pages
..., pour rendre les mouvetnens de mon cœur, * un langage vraiment digne d'eux : ce fut la première et » l'unique fois de ma vie; mais je fus sublime...d'aimable et de séduisant dans » un cœur d'homme. Que dtenivrantes larmes je versai sur » ses genoux ! que je lui en fis verser malgré elle! Enfin , »... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 498 pages
...trouvai, pour rendre les mouvements de mon cœur, un langage vraiment digne d'eux. Ce fut la première et l'unique fois de ma vie; mais je fus sublime, si...larmes je versai sur ses genoux! que je lui en fis verser malgré elle! Enfin, dans un transport involontaire, elle s'écria: Non, jamais homme ne fut... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 500 pages
...trouvai, pour rendre les mouvements de mon cœur, un langage vraiment digne d'eux. Ce fut la première et l'unique fois de ma vie; mais je fus sublime, si...larmes je versai sur ses genoux ! que je lui en fis verser malgré elle ! Enfin, dans un transport involontaire, elle s'écria: Non, jamais homme ne fut... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 470 pages
...trouvai, pour rendre les mouvements de mon cœur, un langage vraiment digne d'eux. Ce fut la première et l'unique fois de ma vie; mais je fus sublime ,...larmes je versai sur ses genoux ! Que je lui en fis verser malgré elle ! Enfin, dans un transport involontaire , elle s'écria : Non , jamais homme ne... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 pages
...trouvai, pour rendre les mouvemcns de mon cœur, un langage vraiment digne d'eux. Ce fut la première et l'unique fois de ma vie; mais je fus sublime, si l'on peut pommer ainsi tout ce que l'amour le plus tendre et le plus ardent peut porter d aimable et de séduisant... | |
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