 | Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 712 pages
...voyant ma surprise : Mon ours, voilà votre asile; c'est vous qui l'avez choisi, c'est lamitié qui vous l'offre; j'espère qu'elle vous ôtera la cruelle idée de vous éloigner de moi. Je ne crois pas d'avoir été de mes jours plus vivement, plus délicieusement ému ; je mouillai de... | |
 | I︠U︡riĭ Chernichenko - Agricultural laborers - 1818 - 458 pages
...très-sincèrement devoir tirer une grande considération. LETTRE DE ROUSSEAU A MADAME D'EPJNAY. , madame, j'ai pris mon parti, et vous vous doutez bien...l'emportez, j'irai donc passer les fêtes de Pâques à l'Hermitage , et j'y resterai tant que je m'y trouverai bien et que vous voudrez m'y souffrir ; mes... | |
 | Louise Florence Pétronille Tardieu d'Esclavelles Epinay (marquise d') - France - 1818 - 418 pages
...considération. LETTRE Dif ROUSSEAU AM AD AME D'EPINAY. , madame, j'ai pris mon parti, et vous vous doute» bien que vous l'emportez, j'irai donc passer les fêtes de Pâques à l'Hermitage, et j'y resterai tant que je m'y trouverai bien et que vous voudrez m'y souffrir; mes projets... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 562 pages
...surprise : Mon ours , voilà votre asile ; c'est vous qui l'avez choisi , c'est l'amitié qui vous l'offre ; j'espère qu'elle vous ôtera la cruelle idée de vous éloigner de moi. Je ne crois pas avoir été (o) de mes jours plus vivement , plus délicieusement ému : je mouillai... | |
 | Louis Victor Flamand-Grétry - 1820 - 326 pages
...en silence, et à très-peu de » frais, en détachant quelques matériaux et quelques ou» vriers de ceux du château. Au second voyage, elle me dit...ô.tera la » cruelle idée de vous éloigner de moi. » Si Rousseau ne fut pas vaincu dès cet instant même, il fut extrêmement ébranlé. Il écrivit... | |
 | Louis Victor Flamand-Grétry - 1820 - 322 pages
...quelques matériaux et quelques ou» vriers de ceux du château. Au second voyage, elle me dit » eu voyant ma .surprise : « Mon ours, voilà votre asile,...ôtera la » cruelle idée de vous éloigner de moi. « Si Rousseau ne fut pas vaincu dès cet instant même, il fut extrêmement ébranlé. Il écrivit... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1820 - 486 pages
...peut-être connoîtrez-vous quelque jour qu'il ne parle pas comme un autre. A demain. A MADAME D'ÉPINAY. ENFIN, madame, j'ai pris mon parti, et vous vous doutez...l'emportez; j'irai donc passer les fêtes de Pâques à l'Hermitage, et j'y resterai tant que je m'y trouverai bien et que vous voudrez m'y souffrir; mes projets... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 476 pages
...jamais qu'il ne devroit pas perdre son temps à le lire. LETTRE XCVII. A MADAME D'ÉPINAY. Mars 1766. Enfin, madame, j'ai pris mon parti, et vous vous doutez...de Pâques à l'Ermitage, et j'y resterai tant que je m'y trouverai bien et que vous voudrez m'y souffrir ; mes projets ne vont pas plus loin que cela.... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 452 pages
...jamais qu'il ne devrait pas perdre son temps à le lire. LETTRE XCVII. A MADAME D'ÉPINAY. Mars 1766. Enfin , madame , j'ai pris mon parti , et vous vous...l'emportez; j'irai donc passer les fêtes de Pâques à l'Hermitage , et j'y resterai tant que je m'y trouverai bien et que vous voudrez m'y souffrir ' ; mes... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1826 - 560 pages
...que jamais qu'il ne devroit pas perdre son temps à le lire. . g7.—A MADAME D'ËPINAY. Mars 1756. Enfin, madame, j'ai pris mon parti, et vous vous doutez...l'emportez; j'irai donc passer les fêtes de Pâques à l'Hermitage, et j'y resterai tant que je m'y trouverai bien et que vous voudrez m'y souffrir; mes projets... | |
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Mon ours, voilà votre asile; c'est vous qui l'avez choisi, c'est l'amitié qui vous l'offre; j'espère qu'elle vous ôtera la cruelle idée de vous éloigner de moi. 
