| France - 1814 - 758 pages
...Convention s'occupât tout de suite du sort de ma famille , et qu'elle lui permit de se retirer librement où elle le jugerait à propos. » Je recommande à la bienfaisance de la nation toutes les personnes qui m'étaient attachées ; il y en a beaucoup qui avaient mis toute leur fortune... | |
| Louis François Jauffret - France - 1793 - 652 pages
...«Je désirerais bien que la Convention nationale s'occupât tout de suite du tort de ma famille , et qu'elle lui permît de se retirer librement et...propos. « Je recommande à la bienfaisance de la Nation toutes les persorînes qui m'étaient attachées; il y en a beaucoup qui avaient mis toute leur fortune... | |
| Pierre Turbat - France - 1798 - 468 pages
...t> Je desirerois bien que la convention nationale s'occu» pat tout de suite du sort de ma famille, et qu'elle lui permît de se retirer librement et convenablement où elle le jugeroit à propos, » Je recommande à la bienfaisance de la Nation tou-* tes. les personnes qui m'étoient... | |
| Antoine Etienne Nicolas Fantin des Oduards, Antoine Fantin-Desodoards - France - 1801 - 468 pages
...témoins. * » Je desirerais bien que la convention s v occupât tout de suite du sort de Tna famille , et qu'elle lui permît de se retirer librement et convenablement où elle jugerait à propos. » » Je recommande à la bienfaisance de la ' nation les personnes qui m'étaient... | |
| François Emmanuel vicomte de Toulongeon - France - 1803 - 578 pages
...convention s'occupât tout de suite du sort de ma famille, et quelle lui permît de se retirer librement où elle le jugerait à propos, « Je recommande à la bienfaisance de la nation v*-" * toutes les personnes qui m'étaient attachées; il y en a beaucoup qui avaient mis toute leur... | |
| François Emmanuel vicomte de Toulongeon - France - 1803 - 590 pages
...convention s'occupât tout de suite du sort de ma famille, et quelle lui permît de se retirer librement où elle le jugerait à propos. « Je recommande à la bienfaisance de la nation VL* I79 toutes les personnes qui m'étaient attachées ; il y en a beaucoup qui avaient mis toute leur... | |
| Antoine Etienne Nicolas Fantin des Odoards - 1807 - 452 pages
...du sort de ma famille, et qu'elle lui permît de se retirer librement et convenablement 3 où elle jugerait à propos. » Je recommande à la bienfaisance...~~ nation les personnes qui m'étaient attachées. AN 1« Plusieurs avaient mis toute leur fortune dans leurs charges ; n'ayant plus d'appointemens ,... | |
| Antoine Fantin-Desodoards - France - 1807 - 486 pages
...sans témoins. x Je desirerais bien que la convention s'occupât tout de suite du sort de ma famille, et qu'elle lui permît de se retirer librement et convenablement , où elle jugerait à propos. » Je recommande à la bienfaisance de la nation les personnes qui m'étaient attachées.... | |
| Maurice Méjan - 1814 - 532 pages
...s'occupât tout de suite du » sort de ma famille, et qu'elle lui permît de » se retirer librement où elle le jugerait à » propos. » Je recommande à la bienfaisance de la » nation toutes les personnes qui m'étaient at» tachées : il y en a beaucoup qui avaient rais » toute leur... | |
| Pierre Turbat - 1814 - 462 pages
...témoins. « Je desirerois bien que la convention nationale s'occupât tout de suite du sort de ma famille, et qu'elle lui permît de se retirer librement et convenablement où elle le jugeroit a propos. DES BOURBONS. -- l5'l doivent êfre dans le besoin ; et même de celles qui ne vivoient... | |
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