Histoire de la révolution française, Volume 6Lecointe, 1834 - France |
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accusés Alfred Johannot Anglais armées attaquer Autrichiens avaient Barrère bientôt Billaud Billaud-Varennes Bourdon de l'Oise c'était Camille Desmoulins Carnot Catherine Théot cent Chaumette chef citoyens Clerfayt coalisés Cobourg collègues Collot Collot-d'Herbois comité de salut comité de sûreté commune conspirateurs convention cordeliers courage Couthon crime Danton décret déja demande dénoncer députés devait discours dit-il division duc d'York enfin ennemis ensuite envoyé faction fallait force Fouquier Fouquier-Tinville gouvernement guerre Hébert Henriot jacobins jour Jourdan Kléber l'armée l'échafaud l'Être suprême Lambusart Lebon Léonard Bourdon liberté Lille Marceau marche membres du comité menacés ment mille hommes n'avait n'était parole passer patriotes peuple Philipeaux Pichegru Pitt place porter pouvait prairial prisonniers prisons projet propos républicains république reste révolution Robespierre Ronsin s'était Saint-Just salle salut public Sambre séance sections seul Souham sûreté générale Tallien tion Toulon tribunal révolutionnaire tribune troupes trouvait Turcoing tyrans vaisseaux vait venait Vendéens victoire Vincent voulait Vouland Westermann
Popular passages
Page 257 - Il sera institué des fêtes pour rappeler l'homme à la pensée de la Divinité et à la dignité de son être.
Page 434 - Comité de salut public, et constitué ainsi deux gouvernements; que des membres du Comité de salut public entrent dans ce complot; que la coalition ainsi formée cherche à perdre les patriotes et la patrie. Quel -est le remède à ce mal? Punir les traîtres, renouveler les bureaux du Comité de sûreté générale, épurer ce Comité...
Page 252 - Divinité n'existe pas, ô toi qui te passionnes pour cette aride doctrine, et qui ne te passionnas jamais pour la patrie? Quel avantage trouves-tu à persuader à l'homme qu'une force aveugle préside à ses destinées et frappe au hasard le crime et la vertu, que son âme n'est qu'un souffle léger qui s'éteint aux portes du tombeau?
Page 257 - L'homme est le plus grand objet qui soit dans la nature, et le plus magnifique de tous les spectacles, c'est celui d'un grand peuple assemblé.
Page 439 - Ce discours que vous venez d'entendre est mon testament de mort. Je l'ai vu aujourd'hui, la ligue des méchants est tellement forte que je ne puis espérer de lui échapper. Je succombe sans regret ; je vous laisse ma mémoire ; elle vous sera chère et vous la défendrez.
Page 254 - Ses coryphées déclamaient quelquefois contre le despotisme, et ils étaient pensionnés par les despotes ; ils faisaient tantôt des livres contre la cour, et tantôt des dédicaces aux rois, des discours pour les courtisans, et des madrigaux pour les courtisanes; ils étaient fiers dans leurs écrits, et rampants dans les antichambres.
Page 208 - Ma voix qui, tant de fois, s'est fait entendre pour la cause du peuple, pour appuyer et défendre ses intérêts, n'aura pas de peine à repousser la calomnie. Les lâches qui me calomnient oseraient-ils m'attaquer en face ? Qu'ils se montrent, et bientôt je les couvrirai eux-mêmes de l'ignominie de l'opprobre qui les caractérisent. Je l'ai dit et je le répète...
Page 253 - Voyez-vous avec quel art profond César, plaidant dans le sénat romain en faveur des complices de Catilina, s'égare dans une digression contre le dogme de l'immortalité de l'âme, tant ces idées lui paraissent propres à éteindre dans le cœur des juges l'énergie de la vertu, tant la cause du crime lui paraît liée à celle de l'athéisme!
Page 157 - ... probité à l'honneur, les principes aux usages, les devoirs aux bienséances, l'empire de la raison à la tyrannie de la mode, le mépris du vice au mépris du malheur, la fierté à l'insolence, la grandeur d'âme à la vanité, l'amour de la gloire à l'amour de l'argent, les bonnes gens à la bonne compagnie, le mérite à l'intrigue, le génie au bel esprit, la vérité à l'éclat, le...
Page 202 - fait pour le bonheur et la liberté de ton pays, j'ai « en vain essayé de le faire pour le mien ; j'ai été « moins heureux, mais non -pas plus coupable... On « m'envoie à l'échafaud ; eh bien ! mes amis, j'irai