Règne de Charles III d'Espagne (1759-1788) ... |
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affaires ambassadeur Anglais Aranda augustins avaient Azara Azpuru Benoît XIV Bernis Bourbon Bristol britannique Bucareli Campomanès cardinal de Solis Catholique Charles cité Clément XIV Compagnie comte d'Aranda comte de Fuentes conclave confesseur Conseil de Castille cour d'Aubeterre d'Ossun DANVILA Y COLLADO déclarer démarche Don Carlos Don Philippe écrivait Elisabeth Farnèse Ensenada Espagne espagnol Esquilache Etats étr évêques Farnèse Ferdinand FERRER DEL RIO général gouvernement Grimaldi guerre Havane homme Indiens intrigues jésuites l'Angleterre l'Eglise l'Espagne l'extinction l'infant l'inquisiteur l'Inquisition laisser lettre Londres lord Louis XV Madrid Majesté ment ministre Moñino montrait n'était Naples Navarro négociation nonce ordres Orsini Ossun Pacte de famille pagne paix pape Paraguay pareille personnage Pitt pontife pontificale Portugal prélat présente prince Rabago reine religieux Rezzonico Ricci Roda Rome royal royaume s'était saint Saint-Père Saint-Siège Sainteté secret serait Sersale seul Simancas Simancas Estado Société de Jésus souverain Tanucci tion Torregiani Vasquez Wall
Popular passages
Page 65 - SM, qu'Elle ne souffrira point que les disputes de l'Espagne soient mêlées, en façon quelconque, dans la paix des deux couronnes; à quoi j'ai à ajouter qu'il sera regardé comme offensant pour la dig-nité du roi, et non compatible avec la bonne foi de la négociation, qu'on fasse mention de pareille idée. En outre, on n'entend pas que la France ait, en aucun temps, droit de se mêler de pareilles discussions entre la Grande-Bretagne et l'Espagne. Des considérations si légitimes et si indispensables...
Page 385 - J'ai reçu un ambassadeur du général des ignatiens, qui me presse pour me déclarer ouvertement le protecteur de cet ordre. Je lui ai répondu que, lorsque Louis XV avait jugé à propos de supprimer le régiment de FitzJames, je n'avais pas cru devoir intercéder pour ce corps, et que le pape 1.
Page 297 - Ganganelli, en qualité de théologien, disait qu'il pensait que le souverain pontife pouvait en conscience éteindre la Société des jésuites en observant les règles canoniques et celles de la prudence et de la justice »n. Mais Bernis ne devait l'apprendre que plus tard".
Page 313 - Etats de la maison de Bourbon. Je crois qu'il a été encore plus mal fait, ces moines renvoyés , de faire à Rome une démarche d'éclat pour la suppression de l'Ordre et d'avertir l'Europe de cette démarche. Elle est faite ; il se trouve que les Rois de France , d'Espagne et de Naples sont en guerre ouverte contre les Jésuites et leurs partisans, Seront-ils supprimés, ne le seront-ils pas? Les rois l'emporteront-ils?
Page 44 - Nous connais» sons que la cour* de Vienne n'a d'autre but , » d'autre pensée, d'autre passion , que celle » d'écraser le roi de Prusse , et qu'elle verrait » tranquillement sacrifier à cet objet toutes les » possessions de ses alliés. Nous sentons qu'après » cette guerre , le roi de Prusse étant écrasé , » la maison d'Autriche pourrait reprendre ses » liaisons avec l'Angleterre, et un ton avec les » puissances de l'Europe, qui ne nous convien» drait pas plus qu'à l'Espagne.
Page xxi - ... avec la France par l'exploitation d'un commerce légitime , elle ne voit qu'avec une jalouse cupidité l'essor prodigieux de nos plantations en Amérique et de notre industrie en Europe. Si quelque chose la retient et lui...
Page 65 - ... mais SM m'a chargé de déclarer à V. Exe. que, tant que l'Espagne l'approuvera, le roi se mêlera des intérêts de cette couronne, sans s'arrêter aux refus de la puissance qui s'y opposerait.
Page 95 - Car, d'un côté, il est séparé de sa t femme, il la hait et ne lui fait aucun mal; de l'autre, il a une « maîtresse, il la chérit et ne lui fait pas grand bien. En tout, € c'est certainement un des plus enjoués et des plus aimables
Page 307 - Les jésuites et leurs partisans se prévalent de ce bref; ils en tirent des conséquences qui séduisent les faibles, qui nourrissent le fanatisme et encouragent les protecteurs d'un ordre qui a dégénéré de son institut ; dont la morale a paru, dans tous les temps , aux plus vertueux et aux plus savants personnages , relâchée et dangereuse , et la théologie peu exacte en plusieurs points essentiels ; qui s'est immiscé , contre l'esprit des canons, dans les affaires de commerce , dans les...
Page 196 - Il est un pape,, et plus de Rome. Va plutôt vers ces monts qu'autrefois sépara Le redoutable fils d'Alcmène, Qui dompta les lions, sous qui l'hydre expira. Et qui des dieux jaloux brava toujours la haine. Tu verras en Espagne un Alcide nouveau", Vainqueur d'une hydre plus fatale, Des superstitions déchirant le bandeau , Plongeant dans la nuit du tombeau De l'Inquisition la puissance infernale.