Mémoires de l'Académie des sciences, des lettres et des arts d'Amiens, Volume 16Académie des Sciences, des Lettres et des Arts d'Amiens., 1867 - Science |
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... langue . Compter combien de fois on a tenté d'habiller à la française ce poète si français par son esprit , sa riante humeur et sa modération , ce serait une entreprise difficile : « Adeò sunt multa , loquacem Delassare valent Fabium ...
... langue . Compter combien de fois on a tenté d'habiller à la française ce poète si français par son esprit , sa riante humeur et sa modération , ce serait une entreprise difficile : « Adeò sunt multa , loquacem Delassare valent Fabium ...
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... langue latine n'a pas la précision de la langue grecque ni surtout de la nôtre , et l'on est souvent tenté de mettre sous les mots d'Horace des idées qui ne sont pas les siennes ni celles de son temps . que Si nous voulions , sur cet ...
... langue latine n'a pas la précision de la langue grecque ni surtout de la nôtre , et l'on est souvent tenté de mettre sous les mots d'Horace des idées qui ne sont pas les siennes ni celles de son temps . que Si nous voulions , sur cet ...
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... langue la plus vulgaire , » n'est - ce pas prendre le contre - pied de l'idée d'Horace ? Voilà bien des détails , et je suis confus d'y insister , cependant c'est par les détails qu'une traduction se soutient ; c'est par les détails ...
... langue la plus vulgaire , » n'est - ce pas prendre le contre - pied de l'idée d'Horace ? Voilà bien des détails , et je suis confus d'y insister , cependant c'est par les détails qu'une traduction se soutient ; c'est par les détails ...
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... convenait au génie de notre langue essentiellement amie des formes douces , gra- cieuses et naïves . Voici d'abord la fable d'Éso pe CINQ AUTEURS ILLUSTRES POUR UN MÊME SUJET QUELQUES MOTS SUR LA POÉSIE, par M H HENRIOT.
... convenait au génie de notre langue essentiellement amie des formes douces , gra- cieuses et naïves . Voici d'abord la fable d'Éso pe CINQ AUTEURS ILLUSTRES POUR UN MÊME SUJET QUELQUES MOTS SUR LA POÉSIE, par M H HENRIOT.
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... langue , au XVI siècle , donnent à la fable de Corrozet un caractère de naïveté qui n'est pas sans charme : Un vieillard portait Un fardeau de bois . Dont lassé était Par son trop lourd poids . Doncques tant lassé De porter sa charge ...
... langue , au XVI siècle , donnent à la fable de Corrozet un caractère de naïveté qui n'est pas sans charme : Un vieillard portait Un fardeau de bois . Dont lassé était Par son trop lourd poids . Doncques tant lassé De porter sa charge ...
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Popular passages
Page 106 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois. De murmurer contre elle et perdre patience, II est mal à propos; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 216 - Nous avons dérogé et dérogeons par ces mêmes présentes ; car tel est notre plaisir ; et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours. Nous avons fait mettre notre scel à cesdites présentes.
Page 293 - Mémoires de l'Académie des sciences, belleslettres, arts, agriculture et commerce du département de la Somme, 2e série, tome 4.
Page 14 - Le Français , né malin , forma le vaudeville ; Agréable indiscret , qui , conduit par le chant , Passe de bouche en bouche, et s'accroît en marchant. La liberté française en ses vers se déploie; Cet enfant de plaisir veut naître dans la joie.
Page 104 - Un pauvre Bûcheron tout couvert de ramée, Sous le faix du fagot aussi bien que des ans Gémissant et courbé marchait à pas pesants, Et tâchait de gagner sa chaumine enfumée.
Page 103 - Le dos chargé de bois, et le corps tout en eau , Un pauvre bûcheron , dans l'extrême vieillesse, Marchait en haletant de peine et de détresse. Enfin, las de souffrir, jetant là son fardeau , Plutôt que de s'en voir accablé de nouveau , II souhaite la Mort, et cent fois il l'appelle. La Mort vint à la fin : Que veux-tu? cria-t-elle. — Qui ? moi ! dit-il alors prompt à se corriger : Que tu m'aides à me charger.
Page 104 - II met bas son fagot, il songe à son malheur. Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos. Sa femme, ses enfants, les soldats, les impôts, Le créancier, et la corvée Lui font d'un malheureux la peinture achevée. Il appelle la mort, elle vient sans tarder, Lui demande ce qu'il faut faire C'est, dit-il, afin de m'aider A recharger ce bois ; tu ne tarderas guère.
Page 216 - Si donnons en mandement à nos amés et féaux Conseillers les gens tenant notre Cour de Parlement à...
Page 112 - L'amour de ma mie; Je dirais au roi Henri : Reprenez votre Paris, J'aime mieux ma mie, au gué, J'aime mieux ma mie.
Page 71 - ... conceptions, et que le dernier objet où il peut arriver soit maintenant celui de notre discours ; il pensera peut-être que c'est là l'extrême petitesse de la nature. Je veux lui faire voir làdedans un abîme nouveau. Je lui veux peindre non seulement l'univers visible, mais l'immensité qu'on peut concevoir de la nature, dans l'enceinte de ce raccourci d'atome.