Mémoires de l'Académie des sciences, des lettres et des arts d'Amiens, Volume 16Académie des Sciences, des Lettres et des Arts d'Amiens., 1867 - Science |
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... innocemment la malice romaine En satire , en épitre , enfin en feuilleton . L'un et l'autre amoureux de la muse discrète , Près des bois , loin du bruit , se mettaient en lieu sûr , Et pour chanter à l'aise en leur nid de poète ( 27 )
... innocemment la malice romaine En satire , en épitre , enfin en feuilleton . L'un et l'autre amoureux de la muse discrète , Près des bois , loin du bruit , se mettaient en lieu sûr , Et pour chanter à l'aise en leur nid de poète ( 27 )
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... enfin , ne supportant pas la rigueur du climat sous lequel elles ont été transportées et , incapables de toute acclimatation , ne peuvent vivre que dans la température factice des serres . Les plantes indigènes ou naturelles vivent , au ...
... enfin , ne supportant pas la rigueur du climat sous lequel elles ont été transportées et , incapables de toute acclimatation , ne peuvent vivre que dans la température factice des serres . Les plantes indigènes ou naturelles vivent , au ...
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... Enfin , nous pourrions encore citer , sur les côtes du golfe de Gascogne , des dunes de sables qui , au commencement de ce siècle , avaient été peuplées en résineux exclusivement , et dans lesquelles cependant le chêne ordinaire et le ...
... Enfin , nous pourrions encore citer , sur les côtes du golfe de Gascogne , des dunes de sables qui , au commencement de ce siècle , avaient été peuplées en résineux exclusivement , et dans lesquelles cependant le chêne ordinaire et le ...
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... enfin ces hautes futaies dont les magnificences consolent de la nudité des plaines déboisées et dont les harmonies élèvent l'esprit de l'homme qui n'a pas perdu toute poésie et tout senti- ment des beautés de la nature . Les ...
... enfin ces hautes futaies dont les magnificences consolent de la nudité des plaines déboisées et dont les harmonies élèvent l'esprit de l'homme qui n'a pas perdu toute poésie et tout senti- ment des beautés de la nature . Les ...
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... enfin combien la perspec- tive modifie la perception de toutes les grandeurs ? Je ne saurais mieux faire , pour donner une idée du degré de divisibilité de la matière , et à fortiori , de l'être de raison désigné sous le nom de quantité ...
... enfin combien la perspec- tive modifie la perception de toutes les grandeurs ? Je ne saurais mieux faire , pour donner une idée du degré de divisibilité de la matière , et à fortiori , de l'être de raison désigné sous le nom de quantité ...
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Popular passages
Page 106 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois. De murmurer contre elle et perdre patience, II est mal à propos; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 216 - Nous avons dérogé et dérogeons par ces mêmes présentes ; car tel est notre plaisir ; et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours. Nous avons fait mettre notre scel à cesdites présentes.
Page 293 - Mémoires de l'Académie des sciences, belleslettres, arts, agriculture et commerce du département de la Somme, 2e série, tome 4.
Page 14 - Le Français , né malin , forma le vaudeville ; Agréable indiscret , qui , conduit par le chant , Passe de bouche en bouche, et s'accroît en marchant. La liberté française en ses vers se déploie; Cet enfant de plaisir veut naître dans la joie.
Page 104 - Un pauvre Bûcheron tout couvert de ramée, Sous le faix du fagot aussi bien que des ans Gémissant et courbé marchait à pas pesants, Et tâchait de gagner sa chaumine enfumée.
Page 103 - Le dos chargé de bois, et le corps tout en eau , Un pauvre bûcheron , dans l'extrême vieillesse, Marchait en haletant de peine et de détresse. Enfin, las de souffrir, jetant là son fardeau , Plutôt que de s'en voir accablé de nouveau , II souhaite la Mort, et cent fois il l'appelle. La Mort vint à la fin : Que veux-tu? cria-t-elle. — Qui ? moi ! dit-il alors prompt à se corriger : Que tu m'aides à me charger.
Page 104 - II met bas son fagot, il songe à son malheur. Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos. Sa femme, ses enfants, les soldats, les impôts, Le créancier, et la corvée Lui font d'un malheureux la peinture achevée. Il appelle la mort, elle vient sans tarder, Lui demande ce qu'il faut faire C'est, dit-il, afin de m'aider A recharger ce bois ; tu ne tarderas guère.
Page 216 - Si donnons en mandement à nos amés et féaux Conseillers les gens tenant notre Cour de Parlement à...
Page 112 - L'amour de ma mie; Je dirais au roi Henri : Reprenez votre Paris, J'aime mieux ma mie, au gué, J'aime mieux ma mie.
Page 71 - ... conceptions, et que le dernier objet où il peut arriver soit maintenant celui de notre discours ; il pensera peut-être que c'est là l'extrême petitesse de la nature. Je veux lui faire voir làdedans un abîme nouveau. Je lui veux peindre non seulement l'univers visible, mais l'immensité qu'on peut concevoir de la nature, dans l'enceinte de ce raccourci d'atome.