Histoire ecclésiastique de la cour de France, Volume 2 |
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Common terms and phrases
affaires ainſi ANNÉE appelé archevêque auſſi avoient avoit ayant c'eſt c'étoit cardinal célèbre cérémonie chanter Chapelains Chapelle charge Charles Clercs Collége commencement Confeſſeur corps Cour d'autres déclara demanda dernier devant devoit Dieu dignité dire donna effet enfin enſuite eſt état étoient étoit évêque faiſoit faveur fils fonctions François fût général Grand-Aumônier Henri heures homme ibid Jean Jéſuite jour juger juſqu'à l'Égliſe l'État l'évêché l'évêque l'Oratoire l'Ordre l'un Lettres lieu livres Louis lui-même mains Maiſon Maître Majeſté Meſſe mois Monarque mort muſique n'avoit nombre nommé nouveau nouvelle Officiers ordinaire ordonna ordre Pape pareillement Parlement particulier pendant père Perron perſonne place pluſieurs porte pouvoit Prélat premier Aumônier Prince propre qualité quatre rapport Reine Religieux Religion rendit rendre rien Rois Rome royale Royaume s'en s'il Saint ſans ſeroit ſervice ſes ſoit ſon ſont ſous ſuiv ſujet ſur titre traiter trouver zèle
Popular passages
Page 316 - Vous n'êtes qu'en la fleur de votre âge , et en une parfaite santé et force de corps , plein d'honneur plus qu'aucun des mortels, jouissant en toute tranquillité du plus florissant royaume du mon'de, aimé et adoré de vos sujets , plein de...
Page 134 - Je fis résistance, pour conserver ma religion du temps du synode de Poissy, où toute la cour était infectée d'hérésie, aux persuasions impérieuses de plusieurs dames et seigneurs de la cour, et même de mon frère d'Anjou, depuis roi de France, de qui l'enfance n'avait pu éviter l'impression de la malheureuse huguenoterie, qui sans cesse me criait de changer de religion, jetant souvent mes Heures dans le feu, et au lieu me donnant des psaumes et prières huguenotes, me contraignant les porter.
Page 576 - J'ai trop aimé la guerre ; ne m'imitez » pas en cela , non plus que dans les trop grandes » dépenfes que j'ai faites. Prenez confeil en toutes » chofes , & cherchez à connaître le meilleur , pour le
Page 61 - S'il arrivoit quelque tumulte parmi le peuple , & s'il avoit quelque plainte fubite à porter , il s'aflembloit devant la maifon ou du Gouverneur , ou du grand Aumônier, ou du Connétable , ou du...
Page 577 - Vous m'avez servi fidèlement et avec envie de me plaire. Je suis fâché de ne vous avoir pas mieux récompensés que j'ai fait. Les derniers temps ne me l'ont pas permis. Je vous quitte avec regret. Servez le Dauphin avec la même affection que vous...
Page 418 - ... alliance avec les religionnaires avoit produit la ruine entière de la religion et les plus horribles scandales, qu'il y avoit en Allemagne plus de six mille églises détruites ou abandonnées, qu'on y voyoit plus de trois cents lieues de pays où la clôture des vierges consacrées à Dieu avoit été violée, où le saint sacrifice de la messe étoit aboli, les vases sacrés employés à des usages profanes, les reliques des saints foulées aux pieds, leurs châsses brisées, leurs tombeaux...
Page 421 - pere a aufïî peu connu l'efprit de Votre Majefté, qu'il a *> mal fuivi celui de fa règle dans la cour , je demeure en ces » mêmes termes : mais s'il a mieux pénétré vos intentions *> que moi , j'eftimerois être coupable , fi je ne cherchois de «rendre mon abfence agréable, lorfque ma préfence ne
Page 576 - Mon cher enfant, vous allez être bientôt roi d'un grand royaume ; ce que je vous recommande le plus fortement , est de n'oublier jamais les obligations que -vous avez . à Dieu*.* Souvenez-vous que vous lui devez tout ce que vous êtes.... Tâchez de conserver la paix avec vos voisins. J'ai trop aimé la guerre *, ne m'imitez pas en cela , non plus que dans les trop grandes dépenses que j'ai faites. Prenez...
Page 427 - ... si mauvaise, qu'un chacun et son ordre même a bien plus d'étonnement de ce qu'il a tant demeuré en cette charge que de ce qu'il en a été privé. Le...
Page 589 - Se voyant délivré des embarras de la Cour , où il n'avoit pas laiffé * de vivre comme dans une parfaite folitude , ne fe mêlant que des devoirs de fon emploi, & donnant tout le refte de fon tems au travail , il ne penfa plus qu'à employer fes talens & fon repos au fervice de l'Eglife. Son mérite le fit rappeller à la Cour plufieurs années après , car il fut nommé Confeiïeur du Roi Louis XV.en 1716*.