Histoire de France depuis les Gaulois jusqu'à la mort de Louis XVI.Janet et Cotelle, 1819 |
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affaires armée armes auroit avoient avoit Bourbon Brantôme c'étoit calvinistes cardinal de Lorraine Catherine catholiques Charles Charles IX château Châtillon chefs Coligni confédérés conjurés connétable conseil cour d'Espagne Damville Davila déja députés dessein devoient devoit disoit donner duc d'Alençon duc d'Anjou duc de Guise duc de Mayenne duchesse de Montpensier enfin ennemis états étoient étoit faisoient faisoit falloit favoris foible forces François frère fût gentilshommes graces guerre Henri III hérétiques homme Ibid jeune Journal de Henri l'amiral l'armée l'édit ligue ligueurs main maréchal Marguerite massacre Matthieu mécontents Mémoires de Condé Mémoires de Tavan ment ministres monarque Montmorency mort n'avoit n'étoient n'y avoit Navarre Noue Orléans paix pape parceque peuple pouvoient pouvoit prince de Condé provinces réformés reine mère religion religionnaires Rochelle royaume sauver secours secret seigneurs sembloit seroient seroit seul soldats sort sur-tout sûreté tête Thou tion triumvirs troupes trouvoient venoit Vieillev vouloient vouloit voyoit zéle
Popular passages
Page 458 - ... et distinguer ses serviteurs, et d'un seul élancement de sa vue les fortifier en l'espérance de l'avancement de ses desseins, de sa fortune et de sa grandeur, et leur dire sans parler, JE VOUS VOIS, se leva, et après avoir fait une révérence, suivi de deux cents gentilshommes et capitaines des gardes, alla quérir le roi, lequel entra plein de majesté , portant son grand ordre au col.
Page 246 - J'ai reçu un ordre sous le sceau de Votre « Majesté , de faire mourir tous les protestants « qui sont dans ma province. Je respecte trop « Votre Majesté pour ne pas croire que ces « lettres sont supposées ; et si , ce qu'à Dieu ne « plaise , l'ordre est véritablement émané d'elle , « je la respecte aussi trop pour lui obéir.
Page 234 - Nous vous jurons que vous en au« rez nouvelles ; car nous y mènerons si bien les mains « à tort et à travers, qu'il en sera mémoire à jamais.
Page 133 - Le vieillard averti arrive, met la chaîne d'or et la boîte au cou de sa fille, prend l'enfant tout nu dans un pan de sa robe, et s'en va en disant : « Voilà « qui est à vous, ma fille, mais ceci est à moi.
Page 278 - Eclate par soi-même, et moi par ma grandeur. Si du côté des dieux je cherche l'avantage, Ronsard est leur mignon et je suis leur image. Ta lyre, qui ravit par de si doux accords, Te soumet les esprits dont je n'ai que les corps ; Elle t'en rend le maître, et te fait introduire Où le plus fier tyran n'a jamais eu d'empire ; Elle amollit les cœurs et soumet la beauté : Je puis donner la mort, toi l'immortalité.
Page 241 - Il ne faut pas croire que la religion seulejaiguisa les poignards : plusieurs catholiques , reconnus pour tels , périrent dans le tumulte ; des héritiers tuèrent leurs parents , des gens de lettres leurs émules de gloire , des amants leurs rivaux de tendresse , des plaideurs leurs parties. La richesse devint un crime, l'inimitié...
Page 345 - En vain demande-t-elle grâce, il la force de choisir; elle avale le breuvage et se met à genoux, se recommandant à Dieu, et n'attendant plus que la mort. Une heure se passe dans ces alarmes; le duc, alors, rentre avec un visage serein, et lui apprend que ce qu'elle a pris pour du poison est un excellent consommé.
Page 336 - III faisoit joutes , ballets et tournois , et force mascarades , où il se trouvoit ordinairement habillé en femme, ouvroit son pourpoint et découvroit sa gorge, y portoit un collier de perles et trois collets de toile, deux à fraise et un renversé, ainsi que lors le portoient les dames de la cour.
Page 478 - Je suis prêt à demander au roi mon seigneur la « paix, le repos de son royaume et le mien... On m'a souvent sommé de « changer de religion, mais comment? la dague à la gorge... Si vous désirez « simplement mon salut, je vous remercie ; si vous ne désirez ma conversion « que par la crainte que vous avez qu'un jour je ne vous contraigne, vous
Page 481 - de toute sa troupe , nul » n'avoit de manteau et de panache que lui ; » tous avoient l'écharpe, et lui vêtu en soldat, » le pourpoint usé sur les épaules et aux côtés » de porter la cuirasse. Le haut- de-chausse de » velours feuille morte, le manteau d'écarlate, » le chapeau gris avec un grand panache blanc.