L'observateur anglois, ou Correspondance secrete entre milord All'Eye et milord AllE'ar [sic], Volume 9Chez John Adamson, 1784 - Europe |
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affemblée affez affure afile ainfi Anglois auffi auroit avoient avoit BARON DE KNIPAUSEN bâtimens Beaumarchais c'eft c'eſt canons capitaine caufe Charente chofe combat commandée comte d'Estaing comte d'Orvilliers COMTE DE CATUELAN confeil conféquence conferver confidérable corfaires courier de l'Europe D'ECLIEU derniere devoit divifion duc de Chartres Duchaffault efcadre enfuite eſt étoient étoit Extrait d'une lettre faifant fans doute feconde fecours fecret fent feroit fervice fervir feul foit fomme fous fouvent François frégate fuis fuivant fujet fupérieure furtout général guerre HAMEL j'ai jufqu'à juifs l'amiral Keppel L'ANGLOIS l'efcadre laiffer lettre de Breft lieutenant longtems lougre maifon maniere marine Meffieurs ment miffion Milord miniftre Mlle d'Eon Monfieur n'avoit n'eft n'étoit navires Necker officiers paffer parlement perfonne philofophe plaifir plufieurs port pouvoit préfent premiere prifes refte riviere Rochefort Rouffeau s'eft Sartines Sieur de Beaumarchais Sieur Peixotto ſon tems tion Toulon vaiffeaux Voltaire Voyez la carte دو
Popular passages
Page 238 - Que la trompette du jugement dernier sonne quand elle voudra, je viendrai, ce livre à la main, me présenter devant le souverain juge. Je dirai hautement : Voilà ce que j'ai fait, ce que j'ai pensé, ce que je fus.
Page 238 - Si la nature a bien ou mal fait de briser le moule dans lequel elle m'a jeté, c'est ce dont on ne peut juger qu'après m'avoir lu. Que la trompette du jugement dernier sonne quand elle voudra, je viendrai, ce livre à la main, me présenter devant le souverain juge.
Page 194 - ... pasteur a légalisé de sa propre main une profession de foi faite par le défunt il n'ya que deux mois, tandis qu'il a écrit et signé de sa propre main un consentement que ce corps fût transporté sans cérémonie ? Je ne sais ce qu'on impute à M. de Voltaire ; je connais plus ses ouvrages par la réputation qu'autrement ; je ne les ai pas tous lus. J'ai ouï dire à M. son neveu, notre abbé, qu'on lui en imputait plusieurs très répréhensibles qu'il avait toujours désavoués.
Page 238 - Je dirai hautement, voilà ce que j'ai fait, ce que j'ai pensé, ce que je suis ; j'ai dit le bien et le mal avec la même franchise; je n'ai rien tu, rien déguisé, rien pallié; je me suis montré coupable et vil quand je l'ai été ; j'ai montré mon intérieur comme tu l'as vu toi-même...
Page 192 - Nous avons chanté les vêpres des morts; le corps a été gardé toute la nuit dans l'église, environné de flambeaux. Le matin, depuis cinq heures, tous les ecclésiastiques des environs, dont plusieurs sont amis de M. l'abbé Mignot, ayant été autrefois...
Page 191 - Saint-Sulpice , d'une profession de la foi catholique, apostolique et romaine, que M. de Voltaire a faite entre les mains d'un prêtre approuvé, en présence de deux témoins, dont l'un est M.
Page 4 - ... affecté : vous avez le gage et le garant de votre innocence, dans le compte que vous avez rendu de votre gestion dans la forme la plus probante, fondée sur des titres authentiques, et dans la décharge que je vous ai donnée de l'aveu du roi. Loin que votre désintéressement puisse être soupçonné, je n'oublie pas, Monsieur, que vous n'avez formé aucune répétition pour vos frais...
Page 11 - Au refte , je ne vous forcerai à rien , Monfeigneur , pas même à me rendre cette belle Vierge d'après le Correge , que j'ai donnée à M. Caron , parce qu'il me difoit , qu'il aimoit les Vierges ; ni cette Vénus d'après le Carrache que j'ai donnée i M.
Page 15 - ... ouvertes sur mon sexe. Voilà le glorieux effet de la terrible leçon que j'ai donnée à ce tribunal au moment où je partais pour la France. Son arrêt définitif, du 31 janvier, a reçu l'opposition de ceux qui avaient soutenu, d'après ma conduite, que j'étais homme, et qu'on voulait forcer à payer leurs gageures, en exécution de ces deux jugements.
Page 223 - M & les préparer; il faut maintenir la propreté » ( i ) dans la maifon. Ne pouvant remplir feul „ tous ces foins, j'ai été forcé, pour y pourvoir, „ d'effayer de donner une fervante à ma femme. „ Dix mois d'expérience m'ont fait fentir l'in„ fuffifance & les inconvéniens inévitables & in„ tolérables de cette reflburce dans une pofition