Causes criminelles célèbres du XIXe siècle: Procès des assassins de Fualdés. Procès de Papavoine. Procès de Lelièvre, dit Chavallier. Procès de Dautun et GirouardH. Langlois, 1827 - Crime |
From inside the book
Results 1-5 of 19
Page 86
... pensée que M. Fualdès devait être assassiné le 18 , c'est qu'un de ses oncles , octogénaire , rentrant chez lui , rue des Hebdomadiers , dans la soirée , vit trois ou quatre hommes tapis au coin d'une porte en face de la maison Bancal ...
... pensée que M. Fualdès devait être assassiné le 18 , c'est qu'un de ses oncles , octogénaire , rentrant chez lui , rue des Hebdomadiers , dans la soirée , vit trois ou quatre hommes tapis au coin d'une porte en face de la maison Bancal ...
Page 149
... pensées , mon meilleur ami , qui m'apprit à soumettre toujours mon ambition à une noble indépendance , à mépriser l'intrigue , à ne baser l'estime pour mes semblables que sur leurs pro- pres œuvres , à ne considérer qu'en pitié les ...
... pensées , mon meilleur ami , qui m'apprit à soumettre toujours mon ambition à une noble indépendance , à mépriser l'intrigue , à ne baser l'estime pour mes semblables que sur leurs pro- pres œuvres , à ne considérer qu'en pitié les ...
Page 165
... pensée secrète qu'elle ne laissait qu'entrevoir , mais qu'elle ne communiquait jamais que par ses alarmes . Ici , ajoutant les illusions du geste et une sorte d'expression dramatique à son langage , elle peignait avec énergie les ...
... pensée secrète qu'elle ne laissait qu'entrevoir , mais qu'elle ne communiquait jamais que par ses alarmes . Ici , ajoutant les illusions du geste et une sorte d'expression dramatique à son langage , elle peignait avec énergie les ...
Page 188
... pensée à la place de la pensée du témoin , que j'aurais mal interprétée ? Et vous demandez encore si la vérité est obscure à mes yeux ! Tant que des accens aussi simples , aussi sincè- res qu'elle , ne viendront pas frapper mon oreille ...
... pensée à la place de la pensée du témoin , que j'aurais mal interprétée ? Et vous demandez encore si la vérité est obscure à mes yeux ! Tant que des accens aussi simples , aussi sincè- res qu'elle , ne viendront pas frapper mon oreille ...
Page 204
... pensée ? et en admettant qu'il ap- partînt à cette dernière classe de meurtriers , peut - on les considérer comme frénétiques à l'égal des monoma- nes ? Ces questions , bien délicates à toucher , puisqu'il s'agit de discuter un point de ...
... pensée ? et en admettant qu'il ap- partînt à cette dernière classe de meurtriers , peut - on les considérer comme frénétiques à l'égal des monoma- nes ? Ces questions , bien délicates à toucher , puisqu'il s'agit de discuter un point de ...
Common terms and phrases
19 mars 20 mars accusés Albi Anne Benoît assassins Auguste Dautun aurait avaient aveux avez avez-vous Bach Bastide et Jausion Bousquier c'était cadavre cause Charles Dautun Chevallier circonstances Clémandot Colard complice coupable couteau crime cupidité cusé dame débats déclaration demande demoiselle Hérin demoiselle Malservait dénégations déposition devant dire disant dit-il Dubernard enfin entendu famille femme Bancal fille frappé frère Fual Girouard homme huit heures innocence j'ai j'avais j'étais jamais jour justice l'accusé l'assassinat l'avait l'Aveyron l'avocat-général l'échafaud Labiey Lelièvre lendemain Levrat long-temps Lyon madame Manson magistrat maison Bancal malade malheureux Marguerite Pizard Marie Riquet ment Messieurs les jurés Missonnier Monsieur mort motif Mouy n'ai n'avait n'était pables Papavoine parler père personnes Pontannier porte pré préméditation président procès procureur-général qu'un Rép répondit révélations rien Rodat Rodez Romiguières s'il sang sauver Séguret serait seul soir sort soupçons Tajan témoin Théron tion trouva Vaume vérité victime Vincennes vint
Popular passages
Page 270 - Il n'ya ni crime ni délit, lorsque le prévenu était en état de démence au temps de l'action , ou lorsqu'il a été contraint par une force à laquelle il n'a pu résister.
Page 226 - L'infraction que les lois punissent d'une peine afflictive ou infamante est un crime. ARTICLE 2 (L. 28 avril 1832). — Toute tentative de crime qui aura été manifestée par un commencement d'exécution, si elle n'a été suspendue ou si elle n'a manqué son effet que par des circonstances indépendantes de la volonté de son auteur, est considérée comme le crime même.
Page 50 - Ah ! Madame, au nom de ce que vous avez de plus cher au monde, de votre gloire, de votre avenir, faites tout pour sauver votre époux; l'ombre de Marie-Thérèse vous l'ordonne!...
Page 269 - ... les plus barbares que se permettent les gens de service, à moins qu'ils ne soient d'un bon choix et contenus par une discipline sévère. L'homme sage et éclairé ne voit, au contraire, dans ces explosions de la manie qu'une impulsion automatique, ou plutôt l'effet nécessaire .d'une excitation nerveuse contre laquelle on ne doit pas plus s'indigner que contre le choc d'une pierre entraînée par sa gravité spécifique. Il accorde à...
Page 68 - Ceux qui, hors le cas prévu par le § 3 de l'art. 66, auront, avec connaissance, aidé ou assisté l'auteur ou les auteurs du crime ou du délit dans les faits qui l'ont préparé ou facilité, ou dans ceux qui l'ont consommé (art.
Page 183 - ... à un ami qui lui prêtait son crédit. » Si la cupidité avait égaré un homme sobre, aisé, laborieux; si elle avait armé mon bras, aurais-je frappé un vieillard dont la fortune n'offrait rien à la cupidité?
Page 193 - ... d'angoisses pendant le supplice de l'infortuné Fualdès; ses efforts pour échapper à ses bourreaux, ses prières pour les attendrir, ses plaintes, ses gémissemens, son agonie, son dernier soupir,... j'entendis tout. » Son sang coula près de moi : je m'attendais à subir un pareil sort, il m'était réservé; mais le Ciel, qui veillait sur moi, et qui ne permet pas que les grands crimes restent impunis, voulut me conserver pour éclairer celui-ci , et donner une éclatante preuve de sa divine...
Page 183 - Si la cupidité avait égaré un homme sobre, aisé, laborieux; si elle avait armé mon bras, aurais-je frappé un vieillard dont la fortune n'offrait rien à la cupidité? aurais-je réclamé l'appui de tous ces sicaires obscurs, niais, inutiles, dangereux? aurais-je attiré ma victime dans un quartier fréquenté, dans une maison publique, moi que Fualdès invitait à sa table, moi qu'il suivait avec sécurité dans l'épaisseur des bois? « Ces hommes, ces femmes qu'on me donne pour complices,...
Page 113 - Madame Manson. C'est possible , Monsieur. (Tous les regards se tournent vers les bancs des accusés , et se fixent sur Jausion.) Me Dubernard (se levant). Veuillez vous expliquer, Madame ; vos demi - aveux , vos réponses ambiguës sont mille fois plus meurtriers qu'une désignation directe. Madame Manson. Je n'ai rien à dire. Jausion. Madame, ce n'est pas pour moi ; la mort n'a rien qui m'effraie ; mais pour ma malheureuse femme, pour mes enfans, veuillez parler; ma vie est entre vos mains ; il...
Page 180 - Ma défense contre cette femme, témoin, accusée, accusateur, que la prévention tour à tour blâme et caresse, humilie sans pitié ou exalte sans mesure, contre cette femme, qui pour n'être pas dégradée par la justice, força la justice à se dégrader pour elle M. le présid.—Bastide, la défense écrite que vous lisez est-elle votre ouvrage ? Bastide.