(XX, 396 p.)J. J. Paschoud, 1816 |
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... volonté du Souverain » mort , en opposition à celle du Souverain » vivant . » Pour peu qu'on y pense , on comprendra bientôt que ce profond respect pour les morts , pour ceux à qui nous ne pouvons plus faire ni bien ni mal , n'est qu'un ...
... volonté du Souverain » mort , en opposition à celle du Souverain » vivant . » Pour peu qu'on y pense , on comprendra bientôt que ce profond respect pour les morts , pour ceux à qui nous ne pouvons plus faire ni bien ni mal , n'est qu'un ...
Page 59
... volonté de l'être , ils ne seront pas retenus par le Contract . Il ne fait point sûreté contre eux . La seule sûreté est dans la connoissance de l'union de leur intérêt avec l'intérêt commun , Appliquez maintenant ce principe aux cas ...
... volonté de l'être , ils ne seront pas retenus par le Contract . Il ne fait point sûreté contre eux . La seule sûreté est dans la connoissance de l'union de leur intérêt avec l'intérêt commun , Appliquez maintenant ce principe aux cas ...
Page 71
... volonté de la Nation n'a jamais pu légaliser le parjure de ce Monarque . Mais prêter au serment ce sens anarchique , supposer qu'il a été institué pour mettre le Roi dans l'impuissance de consentir à une loi qui lui est présentée par ...
... volonté de la Nation n'a jamais pu légaliser le parjure de ce Monarque . Mais prêter au serment ce sens anarchique , supposer qu'il a été institué pour mettre le Roi dans l'impuissance de consentir à une loi qui lui est présentée par ...
Page 91
... volonté . Or , quand il est trop tôt pour faire le bien aujourd'hui , il sera encore trop tôt de- main , ou il sera trop tard . << Est - il permis de faire du bien un jour de sabbath ( 1 ) ? » telle fut la question des hypo- crites ...
... volonté . Or , quand il est trop tôt pour faire le bien aujourd'hui , il sera encore trop tôt de- main , ou il sera trop tard . << Est - il permis de faire du bien un jour de sabbath ( 1 ) ? » telle fut la question des hypo- crites ...
Page 159
... volonté des hommes , constituent ce qu'on appelle son abus . On ne doit juger de la bonté d'une institu- tion que par une comparaison exacte et com- plète entre l'usage et l'abus . 1.o La maxime peut signifier qu'en faisant le bilan d ...
... volonté des hommes , constituent ce qu'on appelle son abus . On ne doit juger de la bonté d'une institu- tion que par une comparaison exacte et com- plète entre l'usage et l'abus . 1.o La maxime peut signifier qu'en faisant le bilan d ...
Common terms and phrases
absurde abus Actes d'union anarchiques ancêtres Angleterre argument Aristote Assemblée politique ASSEMBLÉES LÉGISLATIVES attaque auroit autorité avantages avoient avoit Bentham c'est-à-dire captieux caractère cause censure cérité CHAPITRE chose circonstances citoyens classe commun connoissance conséquence considérer déclaration degré délits Diogène Laerce dire distinction doit donner égard espèce état étoient étoit fausse faux faveur foible foiblesse force général Gouvernement guerre sociale Henri III hommes humain idées Imputation individu inquisition institutions intérêt séducteur juger l'argument l'auteur l'autorité l'esprit l'homme l'intérêt l'opinion lative liberté lois mauvais mauvaise maxime ment mesure en question mesure proposée morale motifs moyens n'en n'étoit nécessaire nuisible objet OBSERVATIONS opinion pable paroît pensée pernicieux personne personnel Petitio principii peuple phisme pourroit pouvoir pré préjugé présente présumé innocent principe proposition public qu'un raison réforme rejeter religion rence rien s'il sens sentiment serment seroient seroit seul Suétone suppose système térêt termes théorie tion Traités de législation veut voilà vrai
Popular passages
Page 304 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui; ainsi l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits; ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 290 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 312 - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Page 331 - Pour l'entretien de la force publique et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.
Page 307 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à .faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 319 - La loi ne doit établir que des peines .strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit et légalement appliquée.
Page 325 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 337 - Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée. Art. 15 - La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration.
Page 273 - Les représentants du peuple français, constitués en ASSEMBLÉE NATIONALE, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une déclaration solennelle, les Droits naturels, inaliénables et sacrés de l'homme...
Page 341 - La. propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.