Sire, je ne m'en merveille pas, fis-je, que à mourir avait-elle; mais je me merveille que vous, qui êtes un sage homme, avez mené si grand deuil; car vous savez que le sage dit que mésaise que l'homme ait au cœur ne lui doit paraître au visage... Les reines de France - Page 281by Adélaïde Celliez - 1860 - 656 pagesFull view - About this book
 | Jules Michelet - Crusades - 1800 - 138 pages
...de sa chambre. Quand je vins devant lui en sa chambre, là où il était tout seul, et il me vit, et étendit ses bras, et me dit : Ah! Sénéchal! j'ai perdu ma mère »! Saint-Louis restitue des provinces à l'Angleterre. — Saint Louis, de retour, sembla repousser... | |
 | Joseph Fr. Michaud, Jean Joseph François Poujoulat - France - 1836 - 664 pages
...vins devant lui dans sa chambre où il étoil tout seul , et qu'il me vit, il me tendit ses bras el me dit : « Ah ! sénéchal , » j'ai perdu ma mère. — Sire, je ne m'en émerveille » pas, répondis-je, car elledcvoit mourir. Mais » je m'émerveille que vous , qui êtes un sage » homme... | |
 | Joseph Fr. Michaud - France - 1836 - 656 pages
...lui dans sa cliambre où il éloit loui seul , et qu'il me vil, il me tendit ses bras et me dil: « Ah! sénéchal, » j'ai perdu ma mère. — Sire, je ne m'en émerveille » pas, répondis-je, car elle devoit mourir. Mais » je m'émerveille que vous , qui êtes un sage » homme... | |
 | Abel Hugo - 1839 - 692 pages
...lui dans sa chambre, où il était tout seul, et qu'il me vit, il me tendit ses bras et me dit : t Ah ! sénéchal, » j'ai perdu ma mère.— Sire, je ne m'en émerveille > pas, répondis -je, car elle devait mourir. Mais je » m'émerveille que vous, qui êtes un homme sage,... | |
 | Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1846 - 550 pages
...parler à lui. Après ce m'envoya querir par un valet de sa chambre,» là où il étoit tout seul ; et il me .vit ; il étendit ses bras et me dit : » Ah!...grand deuil ; car vous savez » que le sage dit, que me'saise que l'homme ait au cœur ne lui doit » parer au visage. Car celui qui le fait en fait joyeux... | |
 | Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1846 - 552 pages
...à lui. Après ce m'envoya quérir par un valet de sa chambre, » là où il étoit tout seul ; et il me vit ; il étendit ses bras et me dit : » Ah!...que à mourir avoit-elle ; mais je m'émerveille que vons » qui êtes un sage homme, avez mené si grand deuil ; car vous savez » que le sage dit, que... | |
 | Jean Jacques Porchat - 1852 - 212 pages
...m'envoya quérir. Quand je vins dans sa chambre, et qu'il me vit, il me tendit les bras en disant : « Ah! sénéchal, j'ai perdu ma mère! — Sire, je ne m'en émerveille pas, répondis je, car elle devait mourir; mais je m'émerveille que vous, qui êtes un homme sage, ayez... | |
 | Berthold Zeller - 1880 - 576 pages
...de sa chambre. Quand je vins devant lui en sa chambre, là où il était tout seul, et il me vit et étendit ses bras et me dit : « Ah! Sénéchal, j'ai perdu ma mère. — . Sire, je ne m'en merveille pas, fis-je, que à mourir avait-elle; mais je me merveille que vous, qui êtes un sage homme,... | |
 | Berthold Zeller - France - 1884 - 206 pages
...de sa chambre. Quand je vins devant lui en sa chambre, là où il était tout seul, et il me vit et étendit ses bras et me dit : « Ah! Sénéchal, j'ai perdu ma mère. — Sire, je ne m'en merveille pas, fis-je, que à mourir avait-elle; mais je me merveille que vous, qui êtes un sage homme,... | |
 | Madame de Witt (Henriette Elizabeth) - France - 1884 - 822 pages
...chambre. Quand je vins devant lui en sa chambre, là où il était seul, et qu'il me vit, il étendit les bras et me dit : « Ah ! sénéchal, j'ai perdu ma mère ! — Sire, je ne m'en étonnepas, fis-je, car elle devait mourir ; mais je m'étonne que vous, qui êtes un homme sage, ayez... | |
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