Histoire de l'Université: depuis son origine jusqu'à nos jours, Volume 2J.L.J. Brière, 1829 |
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Annales des soi-disants arrêt assemblée avaient bulle BULLEUS c'était cardinal cardinal de Lorraine catholique cent cesse citoyens civil collége de Fortet college de Louis-le-Grand colléges compagnie Condorcet constitution CRÉVIER déclaration décret défense déja devait docteurs doctrines donner DULAURE DUVERNET Écoles centrales écoles primaires écoliers élèves enseigner époque établissements faculté de théologie faculté des arts FÉLIBIEN foire du Lendit François Ier gouvernement Guise Henri III Henri IV Histoire de l'Université Historia Universitatis hommes jeunesse Journal du règne l'Assemblée l'éducation l'Église l'enseignement L'ESTOILE l'État l'instruction publique l'Univer Législative lettres-patentes Lois et Réglements long-temps Louis XIV maîtres médecine membres de l'Université ment MÉZERAY mille monarque n'avait n'était nation ordonna pape Parlement PASQUIER peuple pouvait prince principes priviléges professeurs projet protestants Ramus recteur réforme règne de Henri religieux religion royale royaume s'était s'occuper sciences seul siècle sité société soi-disants Jésuites Sorbonne statuts théologie Thou tion trône Universités VELLY versité voulait
Popular passages
Page 251 - Voulons à cet effet que, dans les lieux où il n'y aura pas d'autres fonds, il puisse être imposé sur tous les habitants la somme qui manquera pour l'é-r tablissement desdits maîtres et maîtresses jusqu'à celle de cent cinquante livres par an pour les maîtres, et de cent livres pour les maîtresses...
Page 287 - Les hommes sont déclarés libres; mais ne sait-on pas que l'instruction agrandit sans cesse la sphère de la liberté civile , et seule peut maintenir la liberté politique contre toutes les espèces de despotisme?
Page 335 - République, des écoles supérieures aux écoles primaires, et dont le nombre sera tel, qu'il y en ait au moins une pour deux départements. 298. Il ya, pour toute la République, un institut national chargé de recueillir les découvertes, de perfectionner les arts et les sciences.
Page 363 - L'obéissance aux statuts du corps enseignant, qui ont pour objet l'uniformité de l'instruction, et qui tendent à former, pour l'état, des citoyens attachés à leur religion, à leur prince, à leur patrie et à leur famille...
Page 335 - Les citoyens ont le droit de former des établissements particuliers d'éducation et d'instruction, ainsi que des sociétés libres pour concourir aux progrès des sciences, des lettres et des arts.
Page 314 - L'instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tout son pouvoir les progrès de la raison publique, et mettre l'instruction à la portée de tous les citoyens.
Page 335 - Il ya, dans les diverses parties de la République, des écoles supérieures aux écoles primaires, et dont le nombre sera tel, qu'il y en ait au moins une pour deux départements.
Page 344 - Considérant que cette surveillance devient plus nécessaire que jamais pour arrêter les progrès des principes funestes qu'une foule d'instituteurs privés s'efforcent d'inspirer à leurs élèves...
Page 352 - II est temps, disent-ils, que les théories se taisent devant « les faits. Point d'instruction sans éducation, et point « d'éducation sans morale et sans religion. Les professeurs « ont enseigné dans le désert, parce qu'on a proclamé « imprudemment qu'il ne fallait jamais parler de religion « dans les écoles. L'instruction est nulle depuis dix ans; « il faut prendre la religion pour base de l'éducation.
Page 311 - Les écoles primaires formeront le premier degré d'instruction. On y enseignera les connaissances rigoureusement nécessaires à tous les citoyens. Les personnes chargées de l'enseignement dans ces écoles s'appelleront instituteurs.