 | Emile Campardon - France - 1866 - 580 pages
...profond s' emparèrent de moi ; je pensais tellement à Dieu que je voyais sans voir et que j'entendais sans entendre. Mes sœurs avaient reçu la même grâce...me faire voir que la force et le courage dont je me trouverais revêtue ne viendraient que de lui seul, ce qui nous a bien prouvé que c'était pour sa... | |
 | Émile Campardon - France - 1866 - 582 pages
...profond s' emparèrent de moi ; je pensais tellement ù Dieu que je voyais sans voir et que j'entendais sans entendre. Mes sœurs avaient reçu la même grâce...avoir éprouvé la même faiblesse, parce que Dieu avah voulu me faire voir que la force et le courage dont je me trouverais revêtue ne viendraient que... | |
 | Émile Campardon - France - 1866 - 584 pages
...profond s'emparèrent de moi ; je pensais tellement à Dieu que je voyais sans voir et que j'entendais sans entendre. Mes sœurs avaient reçu la même grâce et la même foree sans avoir éprouvé la même faiblesse, paree que Dieu avait voulu me faire voir que la foree... | |
 | Henri Wallon - France - 1880 - 604 pages
...calme profond s'empara de moi ; je pensais tellement à Dieu que je voyais sans voir et que j'entendais sans entendre. Mes sœurs avaient reçu la même grâce...me faire voir que la force et le courage dont je me trouverais revêtue ne viendraient que de lui seul : ce qui nous a bien prouvé que c'était véritablement... | |
 | Henri Wallon - France - 1880 - 604 pages
...calme profond s'empara de moi ; je pensais tellement à Dieu que je voyais sans voir et que j'entendais sans entendre. Mes sœurs avaient reçu la même grâce...voulu me faire voir que la force et le courage dont je rne trouverais revêtue ne viendraient que de lui seul : ce qui nous a bien prouvé que c'était véritablement... | |
 | Victor Pierre - Carmelites in Compiègne - 1906 - 226 pages
...profond s'empara de moi : je pensais tellement à Dieu que je voyais sans voir, et que j'entendais sans entendre. Mes sœurs avaient reçu la même grâce et la même force.... Ce que nous ressentions n'était point l'effet d'une tête montée, mais le calme et la paix qu'on... | |
 | G. Lenotre - France - 1908 - 414 pages
...je voyais sans voir et que j'entendais sans entendre. Mes sœurs avaient reçu la même grâce et lu même force sans avoir éprouvé la même faiblesse,...voulu me faire voir que la force et le courage dont je mo trouverais revêtue ne viendraient que de lui seul : ce qui nous a bien prouvé que c'était véritablement... | |
 | G. Lenotre - France - 1908 - 418 pages
...entendre. Mes sœurs avaient reçu la môme grâce et la même force sans avoir éprouvé la môme faiblesse, parce que Dieu avait voulu me faire voir que la force et le courage dont je me trouverais revêtue ne viendraient que de lui seul : ce qui nous a bien prouvé que c'était véritablement... | |
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... de moi ; je pensais tellement à Dieu que je voyais sans voir et que j'entendais sans entendre. Mes sœurs avaient reçu la même grâce et la même force sans avoir éprouvé la même faiblesse, parce que Dieu avait voulu me faire voir que la force... 