| Antoine Antoine - 1816 - 402 pages
...assemblée des notables , je me déclarai sur la question fondamentale qui divisait encore les esprits , je n'ai pas cessé de croire qu'une grande révolution était prête ; que le Roi, par ses intentions, ses vertus et son rang suprême, devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait pas être avantageuse... | |
| abbé Guillaume Honoré Rocques de Montgaillard - France - 1820 - 864 pages
...« je me déclarai sur la question fondamentale qui divisait les espjjts « ( f. 12 décembre 1788), je n'ai pas cessé de croire qu'une grande « révolution était prête; que le roi, par ses intentions, ses vertus et « son rang suprême, devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait « être avantageuse... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1821 - 540 pages
...des notables, je me déclarai sur la » question fondamentale qui divisait encore les » esprits , je n'ai pas cessé de croire qu'une grande ;> révolution était prête; que le roi, par ses inten» tions , ses vertus , son rang suprême , devait en » être le chef , puisque cette révolution... | |
| 1821 - 536 pages
...des notables, je me déclarai sur la » question fondamentale qui divisait encore les » esprits , je n'ai pas cessé de croire qu'une grande » révolution était prête; que le roi, par ses inten» tions , ses vertus, son rang suprême, devait en » être le chef , puisque cette révolution... | |
| Charles Élie marquis de Ferrières - France - 1821 - 546 pages
...des notables , je me déclarai sur la » question fondamentale qui divisait encore les » esprits , je n'ai pas cessé de croire qu'une grande » révolution était prête ; que le roi, par ses inlen» lions , ses vertus, sou rang suprême, devait en» être le chef, puisque cette révolution... | |
| Cronologia - 1823 - 904 pages
...je me déclarai sur la question > fondamentale qui divisait les esprits ( / . la décembre 1788 ), je « n'ai pas cessé de croire qu'une grande révolution...était prête; que « le Roi, par ses intentions, ses vertus et son rang suprême, devait « en être le chef, puisqu'elle ne pouvait être avantageuse... | |
| Adolphe Thiers, Félix Bodin - 1823 - 454 pages
...assemblée des notables, je me déclarai sur la question i> fondamentale qui divisait les esprits , je n'ai cessé de » croire qu'une grande révolution était prête ; que le » roi , par ses intentions , ses vertus et son rang » suprême , devait en être le chef, puisqu'elle ne pou» vait être avantageuse... | |
| Jacques Peuchet - France - 1824 - 442 pages
...»assemblée des notables, je me déclarai sur la question »fondamentale qui divisait alors les esprits, je n'ai pas »cessé de croire qu'une grande révolution était prête; »que le roi, par ses intentions, ses vertus et son rang su»prême, devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait »pas être avantageuse... | |
| Louis XVIII (King of France) - 1824 - 240 pages
...seconde assemblé.: des notables, je me déclarai sur la question fondamentale qui divisait les esprits, je n'ai pas cessé de croire qu'une grande révolution était prête ; que le Roi , par ses intentions , ses vertus et son rang suprême, devait en être lechef, puisqu'elle ne pouvait pas être avantageuse... | |
| abbé Guillaume Honoré Rocques de Montgaillard, Montgaillard - France - 1827 - 492 pages
...me déclarai sur la » question fondamentale qui divisait les. esprits (V. » 12 décembre 1 788) , je n'ai pas cessé de croire qu'une » grande révolution...était prête ; que le roi , par ses » intentions , ses vertus et son rang suprême , devait » en être le chef , puisqu'elle ne pouvait être avanta»... | |
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