Revue des provinces de l'Ouest [ed. by A. Guéraud]., Volume 5Armand Guéraud 1857 |
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anciens Angers année artistes avaient avoit baronnie du Pont Beauvoir Bibliothèque Bretagne breton Brivates Cacault chanoines charte château de Brest Chemillé Chevaye Clisson collection communauté comte Conseil municipal Cosnier et Lachèse d'Angers délibération département dessin Dieu duc de Feltre écoles écoles mutuelles église élève enfants établissement famille fief François François Cacault frère général Guéraud Guillaume Guy de Thouars habitants Henri historique hommes impr j'ai Jean jeton jour l'abbé l'Aumônerie l'auteur l'église l'enseignement mutuel l'instruction Lachèse ladite lettre Loctudy Loire-Inférieure Louis Louis Racine Maine-et-Loire maire de Nantes maison maître mars médaille Mellinet méthode Monsieur mort Musée Noirmoutier notice ouvrages paroisse Paul Delaroche Paysage peinture Pierre poème poésie Poitiers Poitou Pont-l'Abbé porte Préfet premier président prieuré prix de Rome province publié religieux Rennes rente reste romaine Ronceray saint Salon séance seigneurs du Pont sera seul sieur Société suivant sujet tableaux Talmont terre tion toile tour trouve Urvoy
Popular passages
Page 442 - D'ANNE DE BRETAGNE Précédé d'une complainte sur la mort de cette princesse et de sa généalogie. Le tout composé par Bretaigne , son héraut d'armes. Publié pour la première fois , avec une introduction et des notes, par L. MERLET et Max. DE GOMBERT.
Page 492 - En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 74 - Sur le rapport de notre ministre de l'intérieur, nous avons décrété et décrétons ce qui sait : « ART. 1". Noire ministre de l'intérieur appellera près de lui les personnes qui méritent d'être consultées sur les meilleures méthodes d'éducation primaire ; il examinera ces méthodes, décidera et dirigera l'essai de celles qu'il jugera devoir être préférées. « ART. 2. Il sera ouvert à Paris une École d'essai d'éducation primaire, organisée de manière à pouvoir servir de modèle,...
Page 298 - Le projet de loi, dit-on, empêche tout à la fois les bons et les mauvais livres, les bonnes et les mauvaises maximes ; tant mieux ! (Explosion de murmures dans une partie de la salle.) Oui, Messieurs, répète M. de Saint-Chamans, avec plus de force, tant mieux! tant mieux! car, ce qu'il faut éviter avant tout, c'est la discussion portée dans les dernières classes du peuple. Les bonnes doctrines même nuiraient à ces classes, parce qu'elles seraient incapables de les comprendre.
Page 429 - Aucun de ces auteurs n'a raconté la dureté et la criminelle insensibilité des riches, les criantes et scandaleuses rapines des usuriers, tant profanes que sacrés, qui, profitant du malheur public, firent augmenter la cherté des vivres, en tenant leurs greniers fermés et en...
Page 374 - Justification des noms de peuples, provinces et villes, par les citations épigraphiques ; » 5° Tracé sur la carte de Cassini des voies romaines, avec distinction des portions existantes et des portions disparues mais suppléées.
Page 423 - A vaincre tant de fois mes forces s'affaiblissent; L'état est florissant , mais les peuples gémissent : Leurs membres décharnés courbent ( i ) sous mes hauts faits , Et la gloire du trône accable les sujets.
Page 290 - Ecoles primaires catholiques (i). 7. Ceux qui se destineront aux fonctions de maîtres de ces écoles , seront examinés par ordre des recteurs des académies , et recevront d'eux , s'ils en sont jugés dignes , des brevets de capacité du Sremier , du second ou du troisième egré.
Page 289 - ... l'ignorance est bonne, qu'elle dispose les classes inférieures au respect et à la soumission, qu'elle les rend plus faciles à gouverner, en un mot qu'elle est un principe d'ordre. (Voix à droite : on ne dit pas cela!) Si je ne l'entends pas dire en ce moment, je l'ai souvent lu. Quand j'entends ces choses ou que je les lis, j'avoue que je serais tenté de demander s'il ya deux espèces humaines [Vive sensation].
Page 424 - XIV; l'édit de 1692 n'eut guère d'autre but que de forcer les communes à se racheter. Autrement cet édit eût été un grand outrage aux droits municipaux, que la nation exerçait depuis tant de siècles, puisqu'il établissait des MAIRES PERPÉTUELS en charge d'office. Le roi accordait à ces maires , en qualité de députés nés des communautés, entrée et séance aux assemblées des provinces et pays d'état.