Odes.-v. 2. Elégies. Epitre Les veillées du Parnasse. La nature. Traductions. Vers.-v. 3. Epigrammes. Poésies diverses.-v. 4. Correspondance. Mélanges en prose

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Contents

Que lAmour est le plus puissant mobile de
xvi
Je voulais plein dun beau délire etc
33
A la Colombe de Zulmé
34
A Zulmé
36
A mon ami le jeune Racine partant pour Cadix et quittant les Muses pour le Commerce
38
La Retraite de lAmour
44
A un Papillon qui volait autour de ma bougie
46
Contre Sisyphe
47
A mes Amis dans un festin
49
Au Printemps
51
Le Portrait de Thémire
52
A Thémire haine dAmant
54
Que létude de la Nature est préférable même à celle des Anciens
55
Quil est peu de Mortels dont la prudence heu reuse etc
62
A lAmour
64
A M de Voltaire en faveur de mademoiselle Corneille
66
SUR lEnthousiasme
73
Le Nom dangereux
82
Oh que jaime ce Bois sombre 4
83
Sur le Bonheur
85
Sur le passage des Alpes par feu Monseigneur le Prince de Conti
88
LAmour et lAbeille
95
Sur la Mort de Lycoris
96
Le Sermon inutile
102
Un jeune Rossignol etc
105
Sur un Ami perfide
107
A un Convive importun qui parlait dAlexandre au lieu de boire
110
Défense dAnacréon ou Parallèle dAlexandre et dAnacréon
112
A M de Buffon sur une maladie violente qui fit craindre pour ses jours etc
114
la Rose
122
A un jeune Ami
125
Valeur et du Génie
127
Si lOr prolongeait la Vie etc
131
Sur les Causes physiques des Tremblemens de terre et sur la Mort du jeune Racine
133
Pendant une maladie de lAuteur
142
Sur un Rendezvous pendant lOrage
147
Oh que cet Asyle a de charmes
149
Après une querelle dAmour
150
Sur létat de décadence de la Monarchie française durant la dernière moitié du règne de Louis xv
152
ASTRÉE ou les Regrets de lAge dor
155
Le Stratagème de lAmour
160
A Daphné sur une belle Aurore 162
164
A la jeune Issé qui voulait devenir savante
167
Sur lAssassinat de trois Rois les Rois de France de Portugal et le Roi de Pologne enlevé en 1771
169
LInconstance punie
171
Contre le mauvais goût de nos Chansons bachiques comparées à celles dAnacréon 1
173
Sur lInconstance dAdélaïde
174
A des Roses sous lesquelles Adélaïde cachait nos Lettres
176
Sur la Conquête de Minorque
178
Après mes malheurs et linfidélité dAdélaïde
182
A ma Lyre sur le même sujet
184
delle
197
A un Convive astronome
199
Au mois de Mars après un raccommodement avec Adélaïde
201
A une vieille Coquette
203
Europe
206
Quun Esclave des Rois admire etc
211
Sur un Billet en vers égaré dans un bosquet
213
Les Volages
216
A Vénus
218
Aux Français en 1762
221
A M de C auteur dune Tragédie des Adieux dHector et dAndromaque etc
247
Sur lEnnui
251
Sur un Baiser envoyé par geste
255
Imitation de la deuxième Ode dHorace Jam satis terris etc
256
Lysis à la jeune Aglaé
260
Le funeste Pressentiment
261
Sur la Paix de 1762
262
Sur la nécessité où jétais de fuir une Amie trop aimable
268
A Délie
270
Quil est un légitime Orgueil etc
271
Le Départ de Délie
277
Ismène Dieux quels accens
280
Contre la vieille Morgane
281
Contre la même
283
A un Ami quitté par sa Maîtresse
286
LE Triomphe de nos Paysages
289
Débat de lAmour et de la Raison
297
Orgie grecque à loccasion de la Paix
301
Le Nid dAmours
303
A lune des Grâces
305
Ah que la Solitude inspire etc
307
Que la Beauté ne revit que dans les beaux Versetc
308
Sur un Portrait dAglaé
310
Contre le Luxe
312
La vraie Sagesse
317
Sur le faux goût des Poésies modernes
319
mens
323
A Lucile après une entrevue au clair de Lune
325
Alcée contre les Juges de Lesbos
327
du Prince de Brunswick noyé dans lOder en seffor çant de sauver des Malheureux
332
A Lucile
334
Les conquêtes de lHomme sur la Nature
337
A Lucile pendant un accès de fièvre
347
A la même sur son départ
350
La Raison froide Immortelle
352
Avantages de la Vieillesse
354
Sur le Vaisseau le Vengeur
357
LES Toasts de lOlympe
361
Mes Souvenirs ou les deux Rives de la Seine
363
Aux Belles qui veulent devenir Poètes
368
La Pitié dangereuse
370
A Zirphé dont on voulait me séparer
371
Le Guide nocturne
373
Chant dun Philantrope pendant les horreurs de lanarchie
376
La Journée poétique
379
Sur le faux Enthousiasme
381
Une vieille Coquette à son miroir
383
Même sujet
384
A Chloé qui voulait traduire en Vers français quelques morceaux de lIliade
386
Mes Consolations
388
Chant dithyrambique sur larrivée triomphale des Monumens dItalie
390
Ode anacréontique La Raison enivrée par lAmour
393
Ministre ailé du Tonnerre etc
395
Sur un seul Jour dabsence
397
Ode nationale contre lAngleterre
399
Heureux celui que Mars exile etc
405
Les Baisers secrets
406
Sur Homère et sur Ossian
408
Chant du Banquet républicain après la bataille de Marengo et la signature de la Paix
411
LEXEGI MONUMENTUM
415

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Common terms and phrases

Popular passages

Page 352 - Et vogue à l'immortalité. Mais des flots fût-il la victime , Ainsi que le Vengeur il est beau de périr ; II est beau , quand le sort vous plonge dans l'abîme, De paraître le conquérir. Trahi par le sort infidèle , Comme un lion pressé de nombreux léopards , Seul au milieu de tous , sa fureur étincelle ; II les combat de toutes parts.
Page 233 - Quiconque dans son vol ose imiter Pindare , Sur des ailes de cire ambitieux Icare , Va chercher follement sa perte dans les airs ; Bientôt précipité de la voûte céleste , Son audace funeste • N'enrichit d'un vain nom que l'abîme des mers.
Page 351 - Au sommet glacé du Rhodope , Qu'il soumit tant de fois à ses accords touchants , Par de timides sons le fils de Calliope Ne préludait point à ses chants. Plein d'une audace pindarique , II faut que, des hauteurs du sublime Hélicon, Le premier trait que lance un poëte lyrique Soit une flèche d'Apollon.
Page 159 - L'onde orageuse est aplanie ; Le ciel devient riant et pur. Un doux calme enchaîne Borée ; Les palais flottants de Nérée Brillent d'un immobile azur. Jeune Arion , bannis la crainte ; Aborde aux rives de Corinthe : Périandre est digne de toi. Minerve aime ce doux rivage ; Et tes yeux y verront un sage Assis sur le trône d'un roi.
Page 158 - Où l'impitoyable Euménide A soufflé d'horribles complots ? J'entends les cris d'une victime Que la main sanglante du crime Va précipiter dans les flots. Arrêtez, pirates avares ! Durs nochers, que vos mains barbares D'Arion respectent les jours! Arrêtez! écoutez sa lyre: II chante ! et du liquide empire Un dauphin vole à son secours.
Page 409 - Grâce à la muse qui m'inspire , II est fini ce monument Que jamais ne pourront détruire Le fer, ni le flot écumant. Le ciel même , armé de la foudre , Ne saurait le réduire en poudre : Les siècles l'essayeraient en vain.
Page 394 - Tamise elle seule, ivre cle sa Fortune, Et dédaignant l'honneur des Banquets de Neptune, Entraînait aux Combats ses perfides Vaisseaux ; Aux bords Américains déjà soufflant la Guerre, Son orgueil affectait l'Empire de la Terre Et le Sceptre des Eaux. Sous les Mers cependant les jeunes Néréides Ont prodigué les Fruits nés de leurs Champs humides; Les Coupes du Nectar animent leurs Banquets ; Et l'Ambroisie exhale une nue odorante Qui parfume à longs flots la voûte transparente Des liquides...
Page 353 - Voyez-les défier et la vague et la foudre , Sous des mâts rompus et brûlants. Voyez ce drapeau tricolore Qu'élève, en périssant , leur courage indompté. Sous le flot qui les couvre , entendez-vous encore Ce cri : Vive la liberté ! Ce cri !... c'est en vain qu'il expire , Étouffé par la mort et par les flots jaloux ; Sans cesse il revivra répété par ma lyre ; Siècles , il planera sur vous ! Et vous , héros de Salamine, Dont Téthys vante encor les exploits glorieux , Non ! vous n'égalez...
Page 203 - M'y rende pour jamais par un naufrage heureux ! « Jette Europe mourante au bord qui la vit naître. « Prompte à m'y reconnaître , « Ma mère attend de toi ce présent douloureux. « Mais quelle île soudaine offre au loin ses rivages? « Ah! s'il est sur ces bords quelques monstres sauvages, « Qu'ils viennent de mes jours terminer les horreurs ! « Avant qu'un noir chagrin me sèche et me dévore , » Puissé-je , belle encore, « Des tigres affamés repaître les fureurs ! » Telle Europe...
Page 359 - Gymnase au vaste dôme (2) , après soixante hivers Tes murs racontent mon enfance A mes yeux dès qu'ils sont ouverts. De ton airain la voix fidèle Frappe des mêmes sons mon oreille et les airs : Douze lustres comptés par elle Rendent mes souvenirs plus chers. Là , fuyant l'oisive paresse , Le travail vint m'apprendre...

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