| L. Lafaist, Félix Danjou - France - 1839 - 446 pages
...infatigable, passant les nuits et les jours à travailler quand la nécessité y étoit, ce qui arrivoit rarement; n'attendant aucun secours de ses commis,...aux affaires de l'État, et croyant regagner par sa vie active le temps que ses passions lui faisoient perdre. ( Mémoires du Clioisy, page Pour Fouquct... | |
| L. Lafaist, Jean Louis Félix Danjou - France - 1839 - 438 pages
...infatigable, passant les nuits et les jours a travailler quand la nécessité y étoit, ce qui arrivoit rarement ; n'attendant aucun secours de ses commis,...tout de lui-même , écrivant de sa main ou dictant toute* les dépêches ; donnant peu d'heures dans la journée aux affaires de l'État, et croyant regagner... | |
| 1839 - 438 pages
...infatigable, passant les nuits et les jours à travailler quand la nécessité y étoit, ce qui arrivoit rarement ; n'attendant aucun secours de ses commis,...aux affaires de l'État, et croyant regagner par sa vie active le temps que ses passions lui faisoient perdre. (Mémoires de Choisy, page Pour Fouquet... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi, Sismondi - France - 1841 - 616 pages
...« ce qui arrivoit rarement; n'attendant aucun a secours de ses commis, tirant tout de lui« même , écrivant de sa main ou dictant toutes « les dépêches...donnant peu d'heures dans la « journée aux affaires de l'Etat, et croyant « regagner par sa vivacité le temps que ses « passions lui faisoient perdre »... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi, Sismondi - France - 1841 - 614 pages
...refusant rien , même aux dépens de sa santé ; « paresseux quand son plaisir ne le faisoit pas « agir; infatigable, et passant à travailler les « jours et les nuits, quand la nécessité y étoit, « ce qui arrivoit rarement; n'attendant aucun a secours de ses commis, tirant tout de lui«... | |
| Jean Charles L. Simonde de Sismondi - 1841 - 612 pages
...refusant rien, même aux dépens de sa santé; « paresseux quand son plaisir ne le faisoit pas « agir; infatigable, et passant à travailler les « jours et les nuits, quand la nécessité y étoit, « ce qui arrivoit rarement; n'attendant aucun « secours de ses commis , tirant tout de lui«... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1841 - 610 pages
...refusant rien , même aux dépens de sa santé; « paresseux quand son plaisir ne le faisoit pas « agir; infatigable, et passant à travailler les « jours et les nuits, quand la nécessité y étoit, « ce qui arrivoit rarement; n'attendant aucun « secours de ses commis , tirant tout de lui«... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - France - 1844 - 678 pages
...ce qui arrivoit rarement ; n'attendant « aucun secours de ses commis, tirant tout de lui« même, écrivant de sa main ou dictant toutes les « dépêches;...aux affaires de l'État, et croyant regagner par sa it vivacité le tems que les passions lui faisoient « perdre. » Le roi, infiniment jaloux des secrets... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1844 - 684 pages
...refusant rien , même aux « dépens de sa santé ; paresseux quand son plaisir « ne le faisoit pas agir ; infatigable , et passant à « travailler les jours et les nuits quand la nécessité « y étoit , ce qui arrivoit rarement ; n'attendatit « aucun secours de ses commis, tirant tout de lui«... | |
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