... territoires neutres et alors accepter la lutte sur le Rhin comme sur l'Adige. Il fallait partout franchement se fortifier du concours de la révolution. Il fallait répandre encore un sang précieux qui n'avait que trop coulé déjà: en un mot, pour... Le Palais de Saint-Cloud: résidence impériale - Page 56by Philippe de Saint-Albin, Armand Durantin - 1864 - 257 pagesFull view - About this book
| 1859 - 792 pages
...de la révolution. Il fallait répandre encore un sang précieux qui n'avait que trop coulé déjà: en un mot, pour triompher, il fallait risquer ce qu'il...n'est permis à un souverain de mettre en jeu que pour l'indépendancede son pays. « Si je me suis arrêté, ce n'est donc pas par lassitude ou par épuisement,... | |
| César Lecat baron de Bazancourt - France - 1860 - 546 pages
...des espérances évanouies. i LX1II. — II ne faut pas se le dissimuler; dans cette coulé déjà : en un mot, pour triompher, il fallait risquer ce qu'il...cause que je voulais servir, mais parce que dans mon coeur quelque chose parlait plus haut encore : l'intérêt de la France. « Croyez-vous donc qu'il... | |
| César Lecat baron de Bazancourt - France - 1860 - 544 pages
...des espérances évanouies. i LX1II. — Il ne faut pas se le dissimuler; dans cette coulé déjà : en un mot, pour triompher, il fallait risquer ce qu'il...pas par lassitude ou par épuisement, ni par abandon dela noble cause que je voulais servir, mais parce que dans mon cœur quelque chose parlait plus haut... | |
| Joseph Chantrel - Church history - 1861 - 664 pages
...la révolution. Il fallait répandre encore un sang précieux, qui n'avait que trop coulé déjà. En un mot, pour triompher, il fallait risquer ce qu'il...mettre en jeu que pour l'indépendance de son pays. a Si je me suis arrêté, ce n'est donc pas par lassitude ou par épuisement, ni par abandon de la... | |
| Joseph Chantrel - 1861 - 664 pages
...la révolution. Il fallait répandre encore un sang précieux, qui n'avait que trop coulé déjà. En un mot, pour triompher, il fallait risquer ce qu'il...mettre en jeu que pour l'indépendance de son pays. o Si je me suis arrêté, ce n'est donc pas par lassitude ou par épuisement, ni par abandon de la... | |
| Emile de Girardin - 1863 - 360 pages
...la révolution. 11 fallait répandre encore un sang précieux qui n'avait que trop coulé déjà : en un mot, pour triompher, il fallait risquer ce qu'il...par lassitude ou par épuisement, ni par abandon de 11 noble cause que je voulais servir; mais parce que, dans mon cœur, quelque chose parlait plus haut... | |
| Emile de Girardin - France - 1864 - 380 pages
...régnait entre la France et la Russie, s'il ne paraissait pas permis à l'empereur des Français « de risquer ce qu'il n'est permis à un souverain de »...mettre en jeu que pour l'indépendance de son pays », comment ce qu'il jugeait imprudent à cette époque aurait-il cessé de l'être à ses yeux maintenant... | |
| Europe - 1864 - 774 pages
...la révolution. Il fallait répandre encore uu sang précieux qui n'avait que trop coulé déjà : en un mot, pour triompher, il fallait risquer ce qu'il n'est permis a 'in souverain de mettre en jeu que pour l'indépendance de son pays. Si je me suis arrêté, ce n'est... | |
| Karl von Martens, Friedrich Heinrich Geffcken - Diplomacy - 1866 - 328 pages
...de la révolution. Il fallait répandre encore un sang précieux qui n'avait que trop coulé déjà: en un mot, pour triompher, il fallait risquer ce qu'il...mettre en jeu que pour l'indépendance de son pays. Croyez-vous donc qu'il ne m'en ait pas coûté de mettre nn frein à l'ardeur de ces soldats qui, exaltés... | |
| Luigi Zini - 1869 - 1012 pages
...aucun souverain de mettre en jeu que pour l'indépendance de son pays. 284 » Si je me suis arrété, ce n'est donc pas par lassitude ou par épuisement,...cause que je voulais servir, mais parce que dans mon coeur quelque chose parlait plus liaut encore: l'intérét de la France. » Croyez-vous donc qu'il... | |
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