Histoire financière de la France depuis 1715, Volume 5A. Rousseau, 1928 - Economics |
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1er janvier 25 juin 30 millions allait août augmentation avaient avril Banque Bourse budget c'était Caisse d'amortissement caisses d'épargne capital Casimir Périer Chambre des pairs charges chemins de fer chiffre chose commission compagnies compte considérable contributions conversion Corps Législatif cour des comptes cours coûté Crédit Mobilier crédit public crédits extraordinaires crédits supplémentaires d'ailleurs d'Audiffret décembre décret déficit demander dépasser dépenses devait diminution discussion dotation économies emprunts eût excédent finances foncière fonds Fould fût Garnier-Pagès général Goudchaux gouvernement guerre Humann impôts intérêts juillet juin l'emprunt l'Etat l'impôt l'indemnité l'industrie Lacave-Laplagne Laffitte Léon Faucher Louis-Philippe mars ment millions de rentes millions et demi ministre mobilière monarchie de Juillet n'avait n'était nationale ordinaires payer pays Péreire politique pouvait projet de loi prospérité provisoire publique rachat rapporteur recettes réduction remboursement rentiers réserves de l'amortissement ressources reste revenu révolution sement serait services session seulement situation somme surtout taux Thiers tion travaux publics Villèle voté
Popular passages
Page 350 - La prévision de la paix fait naître de nombreux projets d'entreprises. Des compagnies nouvelles sont en voie de formation et adressent, chaque jour, des demandes à l'administration. Il est du devoir du Gouvernement de résister à des entraînements exagérés qui pourraient compromettre les affaires déjà engagées et porter atteinte au crédit. L'Empereur a décidé...
Page 259 - La France s'est constituée en République. En adoptant cette forme définitive de gouvernement, elle s'est proposé pour but de marcher plus librement dans la voie du progrès et de la civilisation, d'assurer une répartition de plus en plus équitable des charges et des avantages de la société, d'augmenter l'aisance de chacun par la réduction graduée des dépenses publiques et des impôts...
Page 227 - Mais dix-huit ans de mensonge opposent au régime de la vérité des obstacles qu'un souffle ne renverse pas ; les élections, si elles ne font pas triompher la vérité sociale, si elles sont l'expression des intérêts d'une caste, arrachée à la confiante...
Page 227 - Il n'y aurait alors qu'une voie de salut pour le peuple qui a fait les barricades, ce serait de manifester une seconde fois sa volonté et d'ajourner les décisions d'une fausse représentation nationale.
Page 71 - Providence eût ébranlé le monde, précipité sous le glaive l'héritier de tant de rois, conduit nos armées de Cadix à Moscou, amené à Paris les peuples du Caucase, rétabli deux fois le roi légitime, enchaîné...
Page 62 - L'expérience, messieurs, doit nous avoir appris que tout va vite dans ce pays, que beaucoup de siècles peuvent se renfermer dans peu d'années. Deux avenirs plus ou moins éloignés existent pour la France : l'un ou l'autre peut sortir .de l'urne où vous déposerez bientôt vos suffrages. Le système de Law et les réductions de l'abbé Terray contribuèrent à la ruine de la monarchie ; les assignats en tombant précipitèrent la république; les banqueroutes de Buonaparte préparèrent la chute...
Page 230 - Avant la révolution l'impôt était proportionnel, donc il était injuste. Pour être réellement équitable, l'impôt doit être progressif. Vous avez reconnu et proclamé ce principe ; il sera mis en action dans le premier budget de la République.
Page 409 - Majesté, si elle renonçait spontanément à ce pouvoir plus apparent que réel, plus menaçant qu'efficace, ne rendrait donc pas seulement la confiance à la France, elle calmerait l'inquiétude de l'Europe, et ôterait tout prétexte à des menées hostiles. Lorsqu'on verrait les dépenses de l'armée et de la marine soumises au vote régulier du Corps législatif, on ne pourrait plus se croire placé sous le coup d'une attaque subite et imprévue ; les gouvernements ne se livreraient plus à...
Page 18 - Surveillance des caisses publiques et des préposés comptables; vérification de leurs comptes et de leurs pièces justificatives à soumettre au jugement de la Cour des comptes. Description, contrôle et centralisation de tous les faits relatifs à la recette et à l'emploi des deniers publics.
Page 83 - Paris les effets publics des emprunts des gouvernemens étrangers n'implique, de la part de notre gouvernement, ni approbation desdits emprunts, ni obligation d'intervenir en faveur de ceux de nos sujets qui , de leur plein gré, y placeraient leurs capitaux; — Considérant que, depuis plusieurs années, les opérations de banque, de finance et de commerce ont reçu dans tout le royaume, mais plus particulièrement à Paris, une très grande extension; — Qu'il en est résulté un accroissement...