À travers la tourmente |
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Common terms and phrases
allait allez amie avaient Bastille beau belle Bérangère Bidache bonheur bras brave c'était Chaffal Charles IX cher chose citoyen Coblentz cœur comte Roger Couloubris coup cousine cria dame Danton Dazincourt demain devant Dieu dire dit-il duchesse Durance Écoute émigrés enfant est-ce Évrard femme Florimond Fontoy frère Friquet Boncœur garçon Gertie heures j'ai Jacobins Jean Bardeur Jeanne-Marie jeta jeune fille jeune homme jolie jour l'armée l'heure l'oncle Jean l'oncle Scipion laisser Louis Louis XVI Lucile Madelonnettes mademoiselle main major manifeste de Brunswick ment Mirabeau Mlle de Nozières Mme de Valbosc monsieur d'Aubrac n'avait nièce oncle parler passer pauvre pensée petit petite peut-être Philbert Provence Prussiens Raymond d'Aubrac regard reste rêve révolution rien rire s'écria s'était sais salle Scipion Carbansane secoua serait seule Siméon sœur soir souper souriait Talma terrible tête TRAVERS LA TOURMENTE tribunal révolutionnaire Vaubertrand venait vieux Vieux Cordelier voilà voix yeux
Popular passages
Page 212 - Amour sacré de la patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! Liberté ! Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, etc.
Page 127 - En peignant la rage des guerres civiles, cette tragédie ne peut qu'en inspirer l'horreur. En peignant un roi perfide, sanguinaire et bourreau de son peuple, cette tragédie doit faire aimer plus que jamais le gouvernement d'un monarque dont la franchise et la bonté sont connues, d'un monarque second père du peuple et restaurateur de la liberté...
Page 127 - XVI ! roi plein de justice et de bonté, vous êtes digne d'être le chef des Français. Mais des méchants veulent toujours établir un mur de séparation entre votre peuple et vous. Ils cherchent à vous persuader que vous n'êtes point aimé de ce peuple. Ah ! venez au théâtre de la Nation quand on représente Charles IX : vous entendrez les acclamations des Français ; vous verrez couler leurs larmes de tendresse; vous jouirez de l'enthousiasme que vos vertus leur inspirent ; et l'auteur patriote...
Page 213 - ... personnellement responsables de tous les événements, sur leur tête, pour être jugés militairement, sans espoir de pardon, tous les membres de l'Assemblée nationale, du département, du district, de la municipalité et de la garde nationale de Paris...
Page 126 - Coligni! vous tous, vous, trop chères victimes, Pardon! Si vous étiez témoins de mes douleurs, A votre meurtrier vous donneriez des pleurs. Des cruels ont instruit ma bouche à l'imposture; Leur voix a dans mon âme étouffé la nature; J'ai trahi la patrie, et l'honneur, et les lois : Le Ciel, en me frappant , donne un exemple aux rois.
Page 127 - ... 0 Louis XVI ! roi plein de justice et de bonté, vous êtes digne d'être le chef des Français. Mais des méchants veulent toujours établir un mur de séparation entre votre peuple et vous. Ils cherchent à vous persuader que vous n'êtes point aimé de ce peuple. Ah ! venez au théâtre de la Nation quand on...
Page 235 - Le village de Hans, en Champagne, a livré pour l'armée prussienne 117 moutons, dont sa majesté le roi de France s'engage à payer la valeur, lorsque sa personne sacrée sera libérée et l'ordre rétabli dans ses Etats. • En foi de quoi je donne, sous la garantie spéciale...
Page 128 - ... d'un monarque digne héritier de cet Henri IV, dont j'ai voulu présenter la jeunesse à l'amour d'une nation généreuse, et devenue libre. Quant aux allusions, car il faut trancher le mot, quant aux allusions prétendues que pourrait offrir l'ouvrage, après celle de Henri IV, je n'en connais qu'une seule possible, et je la crois inévitable.
Page 136 - Madame, dit-il en se retirant, lorsque votre auguste mère admettait un de ses sujets à l'honneur de sa présence, jamais elle ne le congédiait sans lui donner sa main à baiser.
Page 207 - ... en grand crêpé terminé par deux boucles en demi-cercle, les cheveux du haut du toupet rabattus sur le front, et séparés à la naissance de l'épi 3.