J'eus de la peine à me séparer de lui pour le laisser partir, quoique j'eusse tout espoir de l'aller rejoindre dans le moment. Il partit avec le fidèle Louis. Les cinq minutes qui s'écoulèrent après son départ me parurent horriblement longues;... Mémorial catholique: ouvrage périodique - Page 1551824Full view - About this book
| Antoine Philippe d'Orléans duc de Montpensier - France - 1816 - 158 pages
...lorsqu'il nous en eût fait un rapport favorable, j'embrassai Beaujolois avec la plus vive agitation, et j'eus de la peine à me séparer de lui, pour le laisser partir, quoique j'eusse la confiance que j'allais le rejoindre dans le moment. Il partit avec le fidèle Louis. Les cinq minutes... | |
| Antoine Philippe d'Orléans duc de Montpensier - France - 1816 - 154 pages
...lorsqu'il nous en eût fait un rapport favorable, j'embrassai Beaujolois avec la plus vive agitation, et j'eus de la peine à me séparer de lui, pour le laisser partir, quoique j'eusse la confiance que j'allais le rejoindre dans le moment. Il partit avec le fidèle Louis. Les cinq minutes... | |
| Antony Mary Philip Louis (duke of Montpensier.) - 1816 - 158 pages
...lorsqu'il nous en eût fait un rapport favorable, j'embrassai Beaujolois avec la plus vive agitation, et j'eus de la peine à me séparer de lui, pour le laisser partir, quoique j'eusse la confiance que j'allais le rejoindre dans Fe moment. Il partit avec le fidèle Louis. Les cinq minutes... | |
| 1824 - 428 pages
...plus lentement. Dans le • cas où je n'aurois pas rejoint Beaujolais au bout de dix mi» nutes , il étoit convenu qu'il se tiendrait pour averti qu'il...laisser partir, quoique j'eusse tout espoir de l'aller rejoin» dre dans le moment. Il partit avec le fidèle Louis. Les cinq »minutes qui s'écoulèrent... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1824 - 244 pages
...pontlevis, et s'assurer qu'il ne s'y trouvait ni commandant , ni personne qui pût nous reconnaître , et lorsqu'il nous en eut fait un rapport favorable...m'enveloppai dans mon manteau , j'enfonçai mon chapeau sur mes yeux , après avoir fermé à double tour la porte de notre chambre , et me flattant de n'y plus... | |
| Antoine Philippe d'Orléans duc de Montpensier - France - 1824 - 314 pages
...pont-levis , et s'assurer qu'il ne s'y trouvait ni commandant, ni personne qui pût nous reconnaître; et lorsqu'il nous en eut fait un rapport favorable...Louis. Les cinq minutes qui s'écoulèrent après son dé-, part me parurent horriblement longues ; enfin , au bout de ce temps , n'entendant rien , je m'enveloppai... | |
| 1824 - 238 pages
...pontléris , et s'assurer qu'il ne s'y trouvait ni commandant, ni personne qui pût nous reconnaître, et lorsqu'il nous en eut fait un rapport favorable...dans le moment. Il partit avec le fidèle Louis. Les c\nq minutes qui s'écoulèrent après son départ me parurent horriblement longues ; enfin, au bout... | |
| Louis-Joseph-Amour marquis de Bouillé - France - 1824 - 578 pages
...pontlevis, et s'assurer qu'il ne s'y trouvait ni commandant , ni personne qui pût nous reconnaître , et lorsqu'il nous en eut fait un rapport favorable...me séparer de lui pour le laisser partir, quoique j '.eusse tout espoir de l'aller rejoindre dans le moment. Il partit avec le fidèle Louis. Les cinq... | |
| Joseph Fr. Michaud, Louis Gabriel Michaud - Biography - 1843 - 524 pages
...premier, et que je le rejoindrais sur le port, où il m'attendrait en marchant un peu plus lentement. Les cinq minutes qui s'écoulèrent après son départ,...n'entendant rien, je m'enveloppai dans mon manteau, j'enfon-- çai mon chapeau sur mes yeux, après avoir fermé à double tour la porte de notre chambre... | |
| Biography - 1843 - 528 pages
...et que je le rejoindrais sur le port, où il m'attendrait en marchant un peu plu« lentement. 1л« cinq minutes qui s'écoulèrent après son départ..., me parurent horriblement longues; enfin, au bout rie ce temps n'entendant rien, je m'enveloppai dans mon manteau, j'enfonçai mon chapeau sur mes yeux,... | |
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