...naturel aux hommes, dit Burke, d'affluer vers les contrées riches et propres à l'industrie, quand, par une cause quelconque, la population y est faible,...de se précipiter dans les couches d'air raréfié. » Que ce soit là un instinct inhérent aux sociétés humaines, c'est ce qu'il est superflu de démontrer...

...l'un des plus permanents, à toutes les époques de l'histoire : « Il est aussi naturel aux hommes, dit Burke, d'affluer vers les contrées riches et...de se précipiter dans les couches d'air raréfié. » Que ce soit là un instinct inhérent aux sociétés humaines, c'est ce qu'il est superflu de démontrer...

...vers les contrées riches et propres à l'industrie, quand, pour une cause quelconque, la population est faible, qu'il est naturel à l'air comprimé de se précipiter dans la couche d'air raréfié. » La misère est la conséquence fréquente d'un excès de densité des...

...et propres à l'industrie, « quand, pour une cause quelconque, la population y est fai•« blé, qu'il est naturel à l'air comprimé de se précipiter dans « les couches d'air raréfié (1). » Ce passage que nous empruntons au savant économiste M. Paul Leroy-Beaulieu, et où se trouve...

...l'émigration des capitaux. grand orateur Burke, qui s'écriait : « II est aussi naturel aux hommes d'affluer vers les contrées riches et propres à...de se précipiter dans les couches d'air raréfié. » Entre les seconds, au contraire, on peut citer Jean-Baptiste Say, écrivant que le départ de 100,000...

...un des plus conformes à l'ordre de la nature *. » « II est aussi naturel, a dit Burke, d'aflluer vers les contrées riches et propres à l'industrie...de se précipiter dans les couches d'air raréfié. » Ce qu'un pangermaniste 2 a traduit en langage allemand : « Quand une nation grossissante en coudoie...