(Liv. 3, ch. 6, p. 285 et 286.).... « Les hommes de la >> Gironde ne demandaient qu'un ministre dévoué à >> leurs principes: M. de Lafayette voulait de plus une » cour qui professât les principes constitutionnels, et, » pour cet effet, il voulait s'en rendre maître par la re>> connaissance du roi envers lui et son parti. Je trouvai >> son ambition louable, judicieuse, son plan ingénieux; » mais je le croyais assis sur des illusions et privé de >> tout moyen de succès... Malheureusement, les Giron>> dins trompèrent mon espérance comme les amis de » M. de Lafayette trompèrent la sienne. Ces premiers » avaient à vaincre une difficulté de plus pour réussir. >> Il était moins difficile et moins déraisonnable de dé» truire les sociétés de jacobins, comme le général osait » l'entreprendre, que de les suivre ou de les précéder » dans leurs emportements contre la cour, jusqu'au >> point nécessaire pour les faire fléchir, et de prétendre >> ensuite les arrêter tout à coup et les forcer à la modé>> ration, au silence et à la retraite, comme s'en flat>> taient les Girondins. » FIN DU TOME SIXIÈME. XIV. Insurrection de la Belgique. Sur l'insurrection de la Belgique. A M. de Montmorin, ministre des affaires étran gères.. Extraits des dépêches de M. de Sémonville.-AM. de ib. 31 Au général Lafayette. Extrait d'une dépêche de Du général Lafayette à M. de Sémonville. De M. Schlieffen au général Lafayette. De M. de la Sonde au général Lafayette. Du général Lafayette au général Schlieffen. A M. le comte Cornet de Grez. De Dumouriez au général Lafayette. De Dumouriez au général Lafayette. Le Congrès souverain des États belges unis, au géẻ |