Histoire religieuse de la révolution française: t. 1-, Volume 1Plon-Nourrit et cie, 1912 - France |
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abbayes abbés archevêque archevêque d'Arles Archives nationales Arras Artois Assemblée constituante assemblées assez avaient bailliage Bailly Barnave bas clergé bénéfices Besançon C'était cahiers cardinal de Bernis carton catholiques chanoines chapitres charges charité choses chrétienne clubs collégiales Comité ecclésiastique commendataire Constitution civile culte curé primitif curés décret délégués demeure députés DERAMECOURT Dieu dîme directoire dix-huitième siècle ecclésias églises épiscopal Etats généraux eût évêques fidèles Franche-Comté fussent garde nationale hommes jour jusqu'à l'abbaye l'abbé l'ancien régime l'archevêque l'Assemblée l'Eglise l'Etat l'évêque l'ordre ecclésiastique livres Louis XVI maisons membres ment millions ministres Mirabeau monastères Montmorin motion municipaux Necker noblesse nombre ordres pape Papiers du comité parfois paroisses paroles passim pasteurs pauvres pendant la Révolution peuple prélats premier presque prêtres prière privilèges proclamé protestants religion richesses royal s'était sacré saint Saint-Omer salle séance séculier semble serait serment seulement siastiques Sieyès sorte souvent suivant surtout Talleyrand tiers état tion Treilhard vicaires vote
Popular passages
Page 160 - ... de la seule manière qui puisse convenir à la dignité de la religion et au caractère de l'Assemblée nationale. Décrète qu'elle ne peut ni ne doit délibérer sur la motion proposée, et qu'elle va reprendre l'ordre du jour, concernant les biens ecclésiastiques.
Page 160 - L'Assemblée nationale, considérant qu'elle n'a et ne peut avoir aucun pouvoir à exercer sur les consciences et sur les opinions religieuses ; que la majesté de la religion et le respect profond qui lui est dû ne permettent...
Page 126 - Que l'évangile soit annoncé, que le culte divin soit célébré avec décence et dignité, que les églises soient pourvues de pasteurs vertueux et zélés, que les pauvres du peuple soient secourus : voilà la destination de nos dîmes, voilà la fin de notre ministère et de nos vœux.
Page 357 - J'ai 70 ans, j'en ai passé 35 dans l'épiscopat, où j'ai fait tout le bien que je pouvais faire. Accablé d'années et d'études, je ne veux pas déshonorer ma vieillesse, je ne veux pas prêter un serment...
Page 103 - Le gouvernement a fait afficher de grand matin un placard qui portait ces mots : DE PAR LE Roi , « Sa Majesté ayant fait connaître aux députés des trois ordres » l'intention où elle était , qu'ils s'assemblassent dès aujourd'hui » 6 mai , les députés sont avertis que le local destiné à les rece» voir sera prêt à neuf heures du matin.
Page 146 - Puisque les fondations, toujours multipliées par la vanité, absorberaient à la longue tous les fonds et toutes les propriétés particulières, il faut bien qu'on puisse à la fin les détruire. Si tous les hommes qui ont vécu avaient eu un tombeau , il aurait bien fallu , pour trouver des terres à cultiver, renverser ces monumens stériles, et remuer les cendres des morts pour nourrir les vivans.
Page 356 - Je ne donne aucun regret à ma place, « aucun regret à ma fortune ; j'en donnerais à la perte de votre « estime que je veux mériter; je vous prie donc d'agréer le témoi« gnage de la peine que je ressens de ne pouvoir prêter le serment.
Page 342 - ... donner en ce moment. Je vais le faire ouvertement, franchement, comme il convient à mon caractère; ce genre de communication entre l'Assemblée nationale et moi doit resserrer les liens de cette confiance mutuelle si nécessaire au bonheur de la France. J'ai fait plusieurs fois connaître à l'Assemblée nationale la disposition invariable où je suis d'appuyer par tous les moyens qui sont en moi la Constitution que j'ai acceptée et juré de maintenir. Si j'ai tardé à...
Page 203 - Il n'ya que votre illustre souveraine qui ait raison ; elle paye les prêtres, elle ouvre leur bouche et la ferme ; ils sont à ses ordres, et tout est tranquille.
Page 342 - Si j'ai tardé à prononcer l'acceptation sur un décret, c'est qu'il était dans mon cœur de désirer que les moyens de sévérité pussent être prévenus par ceux de la douceur; c'est qu'en donnant aux esprits le temps de se calmer, j'ai dû croire que l'exécution de ce décret s'effectuerait arec un accord qui ne serait pas moins agréable fi f Assemblée nationale qu'a moi.