Oeuvres complètes, Volume 5Armand-Aubrée, 1832 |
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... tion avec le reste de l'Europe . Il ne veut point pour cela de rem- part semblable à celui qui a été inutile pour séparer le Chinois du Tartare ; il veut que ce soit le caractère national qui élève cette barrière . Mais comment le ...
... tion avec le reste de l'Europe . Il ne veut point pour cela de rem- part semblable à celui qui a été inutile pour séparer le Chinois du Tartare ; il veut que ce soit le caractère national qui élève cette barrière . Mais comment le ...
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... tion tyrannique du cabinet de Pétersbourg . Ce fut dans les dernières années du règne de Pierre - le - Grand que s'établit le despotisme de la Russie sur la Pologne . En suivant le progrès des troubles qui ont déchiré la Pologne , le ...
... tion tyrannique du cabinet de Pétersbourg . Ce fut dans les dernières années du règne de Pierre - le - Grand que s'établit le despotisme de la Russie sur la Pologne . En suivant le progrès des troubles qui ont déchiré la Pologne , le ...
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... tion qu'ont cru remarquer entre ces deux ouvrages les personnes qui n'ont pas voulu voir que les Considérations sur le gouverne- ment de Pologne ne sont qu'une espèce de consultation politique demandée à Rousseau . « < Jean - Jacques ...
... tion qu'ont cru remarquer entre ces deux ouvrages les personnes qui n'ont pas voulu voir que les Considérations sur le gouverne- ment de Pologne ne sont qu'une espèce de consultation politique demandée à Rousseau . « < Jean - Jacques ...
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... < tion ne pourroit subsister . » > Ne semble - t - il pas , comme nous l'avons dit ailleurs , que Rous- seau fût initié aux mystères de l'avenir ? l'avenir n'a point de se- cret pour lui . Le temps semble avoir pris soin de justifier Jean ...
... < tion ne pourroit subsister . » > Ne semble - t - il pas , comme nous l'avons dit ailleurs , que Rous- seau fût initié aux mystères de l'avenir ? l'avenir n'a point de se- cret pour lui . Le temps semble avoir pris soin de justifier Jean ...
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... tion , ses premiers soins sont ceux qu'il se doit à lui - même ; et sitôt qu'il est en âge de raison , lui seul , étant juge des moyens propres à le conserver , devient par là son propre maître . La famille est donc , si l'on veut , le ...
... tion , ses premiers soins sont ceux qu'il se doit à lui - même ; et sitôt qu'il est en âge de raison , lui seul , étant juge des moyens propres à le conserver , devient par là son propre maître . La famille est donc , si l'on veut , le ...
Contents
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Common terms and phrases
abus affaires aisément ames assemblées assez auront avantages avoient avoit besoin CHAPITRE chefs choses citoyens civil cœur comices confédération conseil constitution CONTRAT SOCIAL corps politique Corse diète diétines dire doit donner élections éphores établir état étoient étoit faudroit foible force forme gouvernement guerre Henri IV hommes institution intérêt j'ai jamais jugement l'abbé de Saint-Pierre l'administration l'autre l'état l'Europe l'intérêt laisser législation liberté liberum veto logne lois lois somptuaires magistrats manière maximes membres ment mieux ministres mœurs moyen n'en n'étoit nation nécessaire nonces paix paix perpétuelle palatinats palatins parcequ'il parceque paroît patrie petite Pologne peuple Pologne Polonois polysynodie pourroit pouvoir premier prince projet public publique puissance exécutive puisse qu'à qu'un raison règle république république de Venise reste rien rois Romains Rome Rousseau s'il sage sénat sénateurs sera seroient seroit seul sitôt sorte souverain Sparte starosties suffrages sujets système tion toyens tribunat tribus troupes visirat voix volonté générale voudrois
Popular passages
Page 156 - ... il peut le bannir, non comme impie, mais comme insociable, comme incapable d'aimer sincèrement les lois, la justice et d'immoler au besoin sa vie à son devoir. Que si quelqu'un, après avoir reconnu publiquement ces mêmes dogmes, se conduit comme ne les croyant pas, qu'il soit puni de mort ; il a commis le plus grand des crimes ; il a menti devant les lois.
Page 36 - Ces clauses, bien entendues, se réduisent toutes à une seule : savoir, l'aliénation totale de chaque associé avec tous ses droits à toute la communauté * : car, premièrement, chacun se donnant tout entier, la condition est égale pour tous ; et la condition étant égale pour tous, nul n'a intérêt de la rendre onéreuse aux autres.
Page 60 - Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer pour ainsi dire la nature humaine, de transformer chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être...
Page 36 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 71 - ... que nul citoyen ne soit assez opulent pour en pouvoir acheter un autre , et nul assez pauvre pour être contraint de se vendre...
Page 30 - Obéissez aux puissances. Si cela veut dire, cédez à la force, le précepte est bon, mais superflu ; je réponds qu'il ne sera jamais violé. Toute puissance vient de Dieu, je l'avoue; mais toute maladie en vient aussi : est-ce à dire qu'il soit défendu d'appeler le médecin?
Page 42 - En général, pour autoriser sur un terrain quelconque le droit de premier occupant, il faut les conditions suivantes : premièrement , que ce terrain ne soit encore habité par personne; secondement, qu'on n'en occupe que la quantité dont on a besoin pour subsister...
Page 39 - ... la puissance souveraine n'a nul besoin de garant envers les sujets, parce qu'il est impossible que le corps veuille nuire à tous ses membres, et nous verrons ci-après qu'il ne peut nuire à aucun en particulier. Le souverain, par cela seul qu'il est , est toujours tout ce qu'il doit être.
Page 54 - Qui veut la fin veut aussi les moyens, et ces moyens sont inséparables de quelques risques, même de quelques pertes. Qui veut conserver sa vie aux dépens des autres doit la donner aussi pour eux quand il faut. Or, le citoyen n'est plus juge du péril auquel la loi veut qu'il s'expose ; et quand le prince lui a dit: «Il est expédient à l'État que tu meures...
Page 301 - Les coups de bâton qu'il distribue, les violences qu'il commet, les meurtres même et les assassinats dont il se rend coupable, ne sont-ce pas des affaires qu'on assoupit, et dont au bout de six mois il n'est plus question?