Oeuvres complètes, Volume 5Armand-Aubrée, 1832 |
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... assez peu nombreux , assez pauvres pour trouver dans ce gouvernement une liberté fondée sur les lois , et qui doit tou- jours , d'après sa maxime , être subordonnée à l'existence et aux intérêts de l'association ? Juger ainsi de cet ...
... assez peu nombreux , assez pauvres pour trouver dans ce gouvernement une liberté fondée sur les lois , et qui doit tou- jours , d'après sa maxime , être subordonnée à l'existence et aux intérêts de l'association ? Juger ainsi de cet ...
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... assez de torts envers Rousseau , sans qu'il soit nécessaire d'en inventer . Adopter ce fait , seroit accorder à Voltaire une influence qu'il ne pouvoit avoir , à cette époque , ni par lui - même ni par ses amis . Rousseau , parlant dans ...
... assez de torts envers Rousseau , sans qu'il soit nécessaire d'en inventer . Adopter ce fait , seroit accorder à Voltaire une influence qu'il ne pouvoit avoir , à cette époque , ni par lui - même ni par ses amis . Rousseau , parlant dans ...
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... dans toutes les langues de l'Europe . La meilleure édition de la traduction françoise de Barbeyrac est de Bâle , 1746 , 2 vol . in - 4 ° . 1 cluant assez bien de cette analogic que les rois étoient LIVRE I , CHAP . II . 27.
... dans toutes les langues de l'Europe . La meilleure édition de la traduction françoise de Barbeyrac est de Bâle , 1746 , 2 vol . in - 4 ° . 1 cluant assez bien de cette analogic que les rois étoient LIVRE I , CHAP . II . 27.
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Jean-Jacques Rousseau. cluant assez bien de cette analogic que les rois étoient des dieux , ou que les peuples étoient des bêtes ' . Le raisonnement de ce Caligula revient à celui de Hobbes et de Grotius . Aristote , avant eux tous ...
Jean-Jacques Rousseau. cluant assez bien de cette analogic que les rois étoient des dieux , ou que les peuples étoient des bêtes ' . Le raisonnement de ce Caligula revient à celui de Hobbes et de Grotius . Aristote , avant eux tous ...
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... assez fort pour être toujours le maî- tre , s'il ne transforme sa force en droit , et l'obéissance en de- voir . De là le droit du plus fort , droit pris ironiquement en apparence , et réellement établi en principe . Mais ne nous ex ...
... assez fort pour être toujours le maî- tre , s'il ne transforme sa force en droit , et l'obéissance en de- voir . De là le droit du plus fort , droit pris ironiquement en apparence , et réellement établi en principe . Mais ne nous ex ...
Contents
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Common terms and phrases
abus affaires aisément ames assemblées assez auront avantages avoient avoit besoin CHAPITRE chefs choses citoyens civil cœur comices confédération conseil constitution CONTRAT SOCIAL corps politique Corse diète diétines dire doit donner élections éphores établir état étoient étoit faudroit foible force forme gouvernement guerre Henri IV hommes institution intérêt j'ai jamais jugement l'abbé de Saint-Pierre l'administration l'autre l'état l'Europe l'intérêt laisser législation liberté liberum veto logne lois lois somptuaires magistrats manière maximes membres ment mieux ministres mœurs moyen n'en n'étoit nation nécessaire nonces paix paix perpétuelle palatinats palatins parcequ'il parceque paroît patrie petite Pologne peuple Pologne Polonois polysynodie pourroit pouvoir premier prince projet public publique puissance exécutive puisse qu'à qu'un raison règle république république de Venise reste rien rois Romains Rome Rousseau s'il sage sénat sénateurs sera seroient seroit seul sitôt sorte souverain Sparte starosties suffrages sujets système tion toyens tribunat tribus troupes visirat voix volonté générale voudrois
Popular passages
Page 156 - ... il peut le bannir, non comme impie, mais comme insociable, comme incapable d'aimer sincèrement les lois, la justice et d'immoler au besoin sa vie à son devoir. Que si quelqu'un, après avoir reconnu publiquement ces mêmes dogmes, se conduit comme ne les croyant pas, qu'il soit puni de mort ; il a commis le plus grand des crimes ; il a menti devant les lois.
Page 36 - Ces clauses, bien entendues, se réduisent toutes à une seule : savoir, l'aliénation totale de chaque associé avec tous ses droits à toute la communauté * : car, premièrement, chacun se donnant tout entier, la condition est égale pour tous ; et la condition étant égale pour tous, nul n'a intérêt de la rendre onéreuse aux autres.
Page 60 - Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer pour ainsi dire la nature humaine, de transformer chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être...
Page 36 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 71 - ... que nul citoyen ne soit assez opulent pour en pouvoir acheter un autre , et nul assez pauvre pour être contraint de se vendre...
Page 30 - Obéissez aux puissances. Si cela veut dire, cédez à la force, le précepte est bon, mais superflu ; je réponds qu'il ne sera jamais violé. Toute puissance vient de Dieu, je l'avoue; mais toute maladie en vient aussi : est-ce à dire qu'il soit défendu d'appeler le médecin?
Page 42 - En général, pour autoriser sur un terrain quelconque le droit de premier occupant, il faut les conditions suivantes : premièrement , que ce terrain ne soit encore habité par personne; secondement, qu'on n'en occupe que la quantité dont on a besoin pour subsister...
Page 39 - ... la puissance souveraine n'a nul besoin de garant envers les sujets, parce qu'il est impossible que le corps veuille nuire à tous ses membres, et nous verrons ci-après qu'il ne peut nuire à aucun en particulier. Le souverain, par cela seul qu'il est , est toujours tout ce qu'il doit être.
Page 54 - Qui veut la fin veut aussi les moyens, et ces moyens sont inséparables de quelques risques, même de quelques pertes. Qui veut conserver sa vie aux dépens des autres doit la donner aussi pour eux quand il faut. Or, le citoyen n'est plus juge du péril auquel la loi veut qu'il s'expose ; et quand le prince lui a dit: «Il est expédient à l'État que tu meures...
Page 301 - Les coups de bâton qu'il distribue, les violences qu'il commet, les meurtres même et les assassinats dont il se rend coupable, ne sont-ce pas des affaires qu'on assoupit, et dont au bout de six mois il n'est plus question?