Correspondance politique et confidentielle inédite de Louis XVI: Avec ses frères, et plusieurs personnes célèbres, pendant les dernières années de son règne, et jusqu'à sa mort. 1 (1803) |
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Page 24
... comte de Saint- Germain . » « Vous avez raison » , s'écria le ministre ! « c'est un homme d'un grand mérite , et qui s'est montré supérieur aux infortunes et aux injustices ; mais nous faisons ici des châteaux en Espagne ; il n'a point ...
... comte de Saint- Germain . » « Vous avez raison » , s'écria le ministre ! « c'est un homme d'un grand mérite , et qui s'est montré supérieur aux infortunes et aux injustices ; mais nous faisons ici des châteaux en Espagne ; il n'a point ...
Page 25
... lui être utile ? Me faut - il boire encore le calice jusqu'à la lie ? Celui - ci , M. le comte , ne sera pas amer : voici la dépêche ; lisez - la .... M. de # Saint - Germain baisa la lettre avec transport , et DE LOUIS XV I. 25.
... lui être utile ? Me faut - il boire encore le calice jusqu'à la lie ? Celui - ci , M. le comte , ne sera pas amer : voici la dépêche ; lisez - la .... M. de # Saint - Germain baisa la lettre avec transport , et DE LOUIS XV I. 25.
Page 41
... comte de Maurepas qu'on a nommé et regardé comme le Mentor du jeune monarque . M. de Maurepas fut appelé par Louis XVI à la direction suprême des affaires , après un exil de vingt - cinq ans , sous le règne de son grand - père Louis XV ...
... comte de Maurepas qu'on a nommé et regardé comme le Mentor du jeune monarque . M. de Maurepas fut appelé par Louis XVI à la direction suprême des affaires , après un exil de vingt - cinq ans , sous le règne de son grand - père Louis XV ...
Page 42
... ministres du feu roi , furent les premiers actes du comte de Maurepas . Le renvoi de Maupeou , de Terray et de leurs collègues , et leur remplacement , par M. Turgot et M. de Malesherbes , fit une révolution to- tale 42 CORRESPONDANCE.
... ministres du feu roi , furent les premiers actes du comte de Maurepas . Le renvoi de Maupeou , de Terray et de leurs collègues , et leur remplacement , par M. Turgot et M. de Malesherbes , fit une révolution to- tale 42 CORRESPONDANCE.
Page 130
... sourds à ses prières . Ils ne con- noissoient d'autre moyen de gouverner , que les confiscations ; ils ne faisoient d'expériences que sur l'échafaud . LETTRE XIX . Billet adressé au comte d'Artois . 13 150 CORRESPONDENCE.
... sourds à ses prières . Ils ne con- noissoient d'autre moyen de gouverner , que les confiscations ; ils ne faisoient d'expériences que sur l'échafaud . LETTRE XIX . Billet adressé au comte d'Artois . 13 150 CORRESPONDENCE.
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Common terms and phrases
abus acte agens amis auroient auroit avez avoient avoit Bertrand de Molleville cher Malesherbes circonstances clergé cœur comte d'Artois comte d'Estaing connoissances connoître conseil constitution cour courage crime d'Epresmenil déclaration décrets de l'assemblée défendre despotisme devoit donner doute duc d'Orléans ennemis époque esprit étoient étoit eût événemens faisoit Fayette foiblesse frère funestes gallicane heureux hommes infortuné intérêt j'ai juste justice l'archevêque d'Arles l'assemblée nationale l'avoient lettre lettres de cachet liberté française long-temps Louis XVI malheureux manifeste Maurepas ment ministre Mirabeau monarchie monarque monsieur motifs moyens n'avoit n'étoient n'étoit nation Necker nistre noblesse non-seulement OBSERVATIONS occasion pape pareille parle parlemens paroît penser peuple philosophie politique pourroit pouvoient pouvoit pré premier prince principes priviléges projets prouver raison reconnoissance réformes reine religion religionnaires remontrances révolution révolution française rien Rivarol rois sage sanction secret sentimens sentiment seroit sincérité sujet Sully talens temporiser Thugut tion Très-Saint-Père trône Turgot Vergennes Versailles vouloit zèle
Popular passages
Page 214 - L'Assemblée nationale, considérant qu'elle n'a et ne peut avoir aucun pouvoir à exercer sur les consciences et sur les opinions religieuses ; que la majesté de la religion et le respect profond qui lui est dû ne permettent point qu'elle devienne un sujet de délibération; considérant que l'attachement de l'Assemblée nationale au culte catholique, apostolique et romain, ne saurait être mis...
Page 319 - ... ils se croient les amis du roi, ce sont les seuls ennemis de la royauté ; ils auraient privé le monarque de l'amour et de la confiance d'une grande nation, si ses principes et sa probité eussent été moins connus. Eh ! que n'a pas fait le roi pour montrer qu'il...
Page 198 - Français; et à reconnaître toujours, malgré le langage des flatteurs, qu'une sage Constitution le préservera des dangers de l'inexpérience, et qu'une juste liberté ajoute un nouveau prix aux...
Page 329 - Vous avez fait votre devoir, Monsieur, cessez de vous accuser. Cependant je conçois votre affliction; vous avez tout osé pour moi , et vous n'avez pas réussi. Le destin s'est opposé à mes projets et aux vôtres, de fatales circonstances ont paralysé ma volonté, votre courage, et ont rendu nuls vos préparatifs. Je ne murmure point contre la Providence; je sais que le succès dépendait de moi, mais il faut une...
Page 318 - Ces abus n'étaient pas moins funestes à la nation qu'au monarque; ces abus, l'autorité, sous des règnes heureux, n'avait cessé de les attaquer, sans pouvoir les détruire. Ils n'existent plus: la nation souveraine n'a plus que des citoyens égaux en droits, plus de despote que la loi, plus d'organes que des fonctionnaires publics, et le roi est le premier de ces fonctionnaires: telle est la Révolution française.
Page 196 - Le temps réformera ce qui pourra rester de défectueux dans la collection des lois qui auront été l'ouvrage de cette Assemblée ; mais toute entreprise qui tendrait à ébranler les principes de la constitution même...
Page 316 - Le roi me charge, Monsieur, de vous mander que son intention la plus formelle est que vous manifestiez ses sei-timens sur la révolution et sur la constitution française à la cour où vous résidez. Les ambassadeurs et ministres de France près toutes les cours de l'Europe...
Page 197 - J'aurais bien aussi des pertes à compter, si, au milieu des plus grands intérêts de l'État, je m'arrêtais à des calculs personnels ; mais je trouve une compensation qui me suffit, une compensation pleine et entière dans l'accroissement du bonheur de la nation, et c'est du fond de mon cœur que j'exprime ici ce sentiment.
Page 317 - ... représentatif joint à la royauté héréditaire ; le corps législatif fut déclaré permanent ; l'élection des ministres du culte , des administrateurs et des juges fut rendue au peuple ; on conféra le pouvoir exécutif au roi , la formation de la loi au corps législatif, et...
Page 215 - ... de la seule manière qui puisse convenir à la dignité de la religion et au caractère de l'Assemblée nationale ; — décrète qu'elle ne peut ni ne doit délibérer sur la motion proposée, et qu'elle va reprendre l'ordre du jour concernant les dîmes ecclésiastiques.