Je croyais, j'espérais presque qu'il comprenait mon trouble intérieur; mais, hélas! peut-être n'en était-il rien... Il ya tant de choses qui ne se disent qu'avec les paroles. C'était le soir, un de ces beaux soirs d'automne où tout est calme et... Poésies et nouvelles - Page 399by Arbouville (Madame d', Sophie de Bazancourt) - 1855Full view - About this book
| 1861 - 638 pages
...peut-être n'en était-il rien... Il ya tant de choses qui ne se disent qu'avec les paroles ! C'était le soir , un de ces beaux soirs d'automne, où tout...pleurer, sans chagrin cependant. Je levai les yeux; dubout de la ruelle, j'aperçus Ursule. Un dernier rayon de soleil glissait sur la fenêtre et brillait... | |
| Lyon (France) - 1877 - 508 pages
...endormait, à cette heure, tout ce qui avait vie dans son sein, hors l'homme qui veille pour penser. Enfin, c'était un de ces moments où l'âme s'attendrit,...sommes prêts à pleurer, sans chagrin cependant. Albert Dupart venait de's'engager dans la ruelle, lorsque, levant'les yeux, il aperçut Madeleine,... | |
| Léon Séché - 1904 - 356 pages
...peut-être n'en était-il rien... Il ya tant de choses qui ne se disent qu'avec les paroles. C'était le soir, un de ces beaux soirs d'automne où tout...cependant. Je levai les yeux; du bout de la ruelle, j'aperçus Ursule. Un dernier rayon de soleil éclairait sa tête ; ses cheveux noirs en recevaient... | |
| 1843 - 1140 pages
...pas un souffle d'air n'agitait les arbres, que coloraient les derniers rayons du soleil couchant. II était impossible de ne pas se laisser aller à une...l'homme, qui veillait pour penser. C'était un de ces momens où l'âme s'attendrit, où nous devenons meilleurs, où nous sommes prêts a pleurer, sans... | |
| |