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PAR M. LE COMTE DE VAUBLANC,

MINISTRE DE L'INTÉRIEUR SOUS LOUIS XVIII.

TOME DEUXIÈME.

A PARIS,

CHEZ G.-A. DENTU, IMPRIMEUR-LIBRAIRE,

rue d'Erfurth, no 1 bis;

ET PALAIS-ROYAL, GALERIE D'ORLÉANS, No 13.

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TABLE

DES MATIERES CONTENUES DANS CE VOLUME.

SUITE DU LIVRE III.

ASSEMBLÉB LÉGISLATIVE.

CHAPITRE VI.

Réfutation d'une assertion de M. Bertrand de Molleville. Belle conduite de l'administration du département de l'Aisne. Conduite différente d'autres administrations. Faiblesse du minis-tère. Fermeté du directoire administratif de Paris. Belle conduite de la garde nationale et des bons citoyens de Paris. Ils manifestent leur attachement au roi: Adresses factieuses de Lyon, de Blois et de Dijon. Lettres courageuses des administrateurs de l'Eure, des municipalités d'Amiens, d'Abbeville, de Péronne, des directoires de l'Indre, de Seine-et-Oise, et des citoyens du Havre, du Pas-de-Calais, de Caen, de Lille. Lafayette parle à l'assemblée contre les jacobins. Lettre du maréchal Lukner, qui exprime les mêmes sentiments. Noble adresse de Rouen, contenant trente-quatre pages de signatures Lettre énergique du département de l'Aisne. Pétition de vingt mille bons citoyens de Paris. Belle lettre de M. Fâche, député du département de l'Aisne. Déclaration du danger de la patrie. Pag. 1

CHAPITRE VII.

Le roi instruit l'Assemblée d'un emprunt fait par les princes ses frères, proteste contre tout emprunt ou levées d'hommes faites par eux, et ordonne d'adresser cette déclaration à toutes les Cours étrangères. Adresse énergique du Hâvre, lue à la barre.

M. de Condorcet lit un projet d'adresse au roi. Faible déclaration du roi, au sujet de la fédération du 14 juillet. Discours incendiaire de Brissot. Effet des concessions continuelles accordées par le roi. Danger des discours écrits. Anniversaire du 14 juillet. Le peuple applaudit sincèrement le roi. La garde nationale se montre avec les meilleurs sentiments. Confidence que me fait Blan-Gily. Premières accusations contre Lafayette. Demande de la déchéance du roi, Pag. 62

CHAPITRE VIII.

Plan des Girondins, de Condorcet et de Brissot. Les démagogues se déclarent contre eux. Nouvelle condescendance du roi. Des gardes nationaux viennent se plaindre d'une mesure de police qui exposait les jours du roi. Efforts du côté droit. Le roi va audevant de tout ce qu'on demande contre lui. Querelle entre des Marseillais et des gardes nationaux. Deux gardes sont tués. Bonté trop grande du roi et de la reine. Belle conduite de la garde nationale de Paris. Lettre touchante du roi. Elle anime encore plus les factieux contre lui. Pétion demande la déchéance. Une députation de Nanci et beaucoup de citoyens de Paris viennent se plaindre des factieux. Le célèbre Lavoisier est leur orateur. Des magistrats et des citoyens sont égorgés à Toulon et à Marseille. Les bons citoyens de Paris déploient le plus grand cou132

rage.

CHAPITRE IX.

Consternation dans Paris. Discussion sur le général Lafayette. Je le défends. Deux cents membres du centre passent au côté droit, après mon discours. Le décret d'accusation est rejeté à une grande majorité et à l'appel nominal. Je suis menacé par le peuple, ainsi que beaucoup de députés. Nouvelles adresses pour et contre la déchéance du roi. Lettres des députés qui ont été poursuivis et menacés. Déclaration de M. Jollivet, député de Seine-et-Marne, au sujet de mes dangers personnels. J'en parle à l'Assemblée. Je demande que les fédérés sortent de Paris, et que le procureur-syndic, M. Roederer, soit mandé à la barre. Il arrive, ct fait un rapport qui doit être remarqué. Faiblesse inconcevable des ministres. Etrange proposition de Condorcet.

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