Campagnes de 1788-1793. 1842J. B. Petit, 1840 - Europe |
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... que , car il attacha tous ses soins à diriger l'atten- tion des puissances européennes sur l'équilibre continental , qui n'était qu'en seconde ligne dans les grands intérêts du monde , et qui eût été 4 INTRODUCTION .
... que , car il attacha tous ses soins à diriger l'atten- tion des puissances européennes sur l'équilibre continental , qui n'était qu'en seconde ligne dans les grands intérêts du monde , et qui eût été 4 INTRODUCTION .
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... n'était pas venue renverser toutes les idées des nations , tous les intérêts de leurs chefs , toutes les combinaisons de leurs cabinets . De ce volcan épou- vantable , nous avons vu sortir , au milieu de tor- rents de sang , la ...
... n'était pas venue renverser toutes les idées des nations , tous les intérêts de leurs chefs , toutes les combinaisons de leurs cabinets . De ce volcan épou- vantable , nous avons vu sortir , au milieu de tor- rents de sang , la ...
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... n'était pas assez ; dans une république où la richesse était le premier titre de considération , il était difficile qu'on ne jalousât pas l'autorité souveraine ; et les dogmes philosophiques répandus à la fin de ce siècle avaient germé ...
... n'était pas assez ; dans une république où la richesse était le premier titre de considération , il était difficile qu'on ne jalousât pas l'autorité souveraine ; et les dogmes philosophiques répandus à la fin de ce siècle avaient germé ...
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... n'était pas seu- lement un intérêt , mais un devoir . généreux . La Prusse et l'Angleterre , liées par des traités , et intéressées à opérer une diversion en faveur des Turcs , alors accablés par les armées réunies de Catherine et de ...
... n'était pas seu- lement un intérêt , mais un devoir . généreux . La Prusse et l'Angleterre , liées par des traités , et intéressées à opérer une diversion en faveur des Turcs , alors accablés par les armées réunies de Catherine et de ...
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... n'était pas excusée par les plaies sanglantes que Charles XII avait faites à l'État . Elle n'avait armé ni pour soutenir Stanislas et les Polonais , ni pour seconder la Porte . Elle attendit que le traité de Belgrade eût rendu toutes ...
... n'était pas excusée par les plaies sanglantes que Charles XII avait faites à l'État . Elle n'avait armé ni pour soutenir Stanislas et les Polonais , ni pour seconder la Porte . Elle attendit que le traité de Belgrade eût rendu toutes ...
Common terms and phrases
affaires alliés Anglais armée armes assez attaquer Autrichiens avaient bataille bataillons Belgique Beurnonville cabinet camp camp de Maulde campagne canton cavalerie Clairfayt Coblentz colonnes commandement comte conseil exécutif constitution convention convention nationale corps couvrir Custine déclaration décret défense devait diriger division duc de Brunswick Dumouriez émigrés ennemis escadrons état eussent eût événements forces frontières gardes nationales garnison gauche général en chef gouvernement guerre Harville Hessois Hollande hommes Impériaux intérêts jacobins jours Kalkreuth Kellermann l'assemblée l'Autriche l'avant-garde l'électeur l'Empereur l'ennemi l'état l'Europe Lafayette laisser Lamarlière liberté ligne Longwy Louis Louis XVI Majesté marche Mayence mée menacé ment mesures Meuse militaires ministre Miranda Moselle mouvement moyens n'avait n'était nation neutralité opérations ordres passer peuple place politique porter position poste pouvait premier prince prince de Hohenlohe projet Prusse Prussiens puissances rassembler renforcer républicains république reste retraite révolution Rhin s'était semblait serait seul soldats succès tion Tirlemont Trèves troupes trouvait
Popular passages
Page 110 - La guerre ne peut être décidée que par un décret du corps législatif, rendu sur la proposition formelle et nécessaire du roi , et sanctionné par lui.
Page 111 - ... d'aucun peuple , ne prend les armes que pour la défense de sa liberté et de son indépendance; que la guerre qu'elle est obligée de soutenir, n'est point une guerre de nation à nation, mais la juste défense d'un peuple libre contre l'injuste agression d'un roi...
Page 223 - ... pour être jugés militairement, sans espoir de pardon, tous les membres de l'Assemblée nationale, du département, du district, de la municipalité et de la garde nationale de Paris...
Page 99 - ... peuple; que la nation est son souverain, et qu'il est sujet de la loi. Disons à l'Europe que le peuple français, s'il tire l'épée, en jettera le fourreau ; qu'il n'ira le chercher que couronné des lauriers de la victoire, et que...
Page 495 - Sont réputés gens suspects : 1) ceux qui, soit par leur conduite, soit par leurs relations, soit par leurs propos ou leurs écrits, se sont montrés partisans de la tyrannie ou du fédéralisme, et ennemis de la liberté; 2...
Page 495 - ... ceux des ci-devant nobles, ensemble les maris, femmes, pères, mères, fils ou filles, frères ou sœurs et agents d'émigrés, qui n'ont pas constamment manifesté leur attachement à la Révolution; 6°...
Page 82 - Princes de votre sang qui nous sont réunis, serait commune à toute la maison de Bourbon à qui ses droits éventuels à la Couronne imposent le devoir d'en défendre l'auguste dépôt. Nous protesterions pour Vous-même, SIRE, en protestant pour vos Peuples, pour la religion, pour les maximes fondamentales de la monarchie, et pour tous les Ordres de l'État.
Page 80 - Majestés l'Empereur et le roi de Prusse sont résolues d'agir promptement, d'un mutuel accord, avec les forces nécessaires, pour obtenir le but proposé en commun. » En attendant, elles donneront à leurs troupes les ordres convenables pour qu'elles soient à portée de se mettre en activité.
Page 222 - ... qui auront combattu contre les troupes des deux cours alliées, et qui seront pris les armes à la main, seront traités en ennemis et punis comme rebelles à leur roi et comme perturbateurs du repos public ; 5°...
Page 83 - ... et tous les liens de leur association civile , il faut en réclamer pour eux le rétablissement, il faut les sauver de leur propre frénésie. Nous protesterions pour la religion de nos pères , qui est attaquée dans ses dogmes et dans son culte comme dans ses ministres ; et , suppléant à l'impuissance où vous seriez de remplir vous-même en ce moment vos devoirs de fils aîné de...