| Antoine Etienne Nicolas Fantin des Oduards - France - 1801 - 468 pages
...heureusement , tout ce qu'il disait , à la tribune des jacobins ou à celle de la convention , n'était qu'un tissu de déclamations sans ordre , sans méthode et sur-tout sans conclusion. Il se plaignait , il se lamentait , il gémissait sans cesse des malheurs de la patrie et de la misère... | |
| Antoine Fantin-Desodoards - France - 1807 - 444 pages
...heuréusement, tout ce qu'il disait à la tribune des jacobins , ou à cBlle de la convention, n'était qu'un tissu de déclamations sans ordre, sans méthode et sur-tout sans conclusion. 1l se plaignait, il se lamentait, il gémissait sans cesse des malheurs de la patrie et de la misère... | |
| Antoine Etienne Nicolas Fantin des Odoards - 1807 - 440 pages
...heureusement , tout ce qu'il disait à la tribune des jacobins , ou à celle de la convention , . n'était qu'un tissu de déclamations sans ordre, sans méthode et sur-tout sans conclusion. 11 se plaignait, il se lamentait , il gémissait sans cesse des malheurs de la patrie et de la*nisère... | |
| Armand Jean Meillan - France - 1823 - 354 pages
...arracher que ces trois paroles. Robespierre n'avait pas des talens supérieurs. Son éloquence n'était qu'un tissu de déclamations sans ordre, sans méthode...conclusion. Nous étions obligés, chaque fois qu'il parlait, de lui demander à quoi il voulait en venir. 11 se plaignait , il se lamentait , il gémissait... | |
| Hippolyte Taine - 1885 - 668 pages
...Daunou). — Meillan, Mémoires, p. 4. • Son éloquence n'était qu'un lissu de décla• mations sans ordre, sans méthode, et surtout sans conclusion. Nous étions obligés, chaque fois qu'il parlait, de lui demander où il voulait en venir. • Jamais il n'avait un remède à proposer ; il... | |
| Hippolyte Adolphe Taine - 1885 - 672 pages
...Daunou). — Meillan, Mémoires, p. 4. • Son éloquence n'était qu'un tissu de décla« mations sans ordre, sans méthode, et surtout sans conclusion. Nous étions • obligés, chaque fois qu'il parlait, de lui demander où il voulait en venir. • Jamais il n'avait un remède à proposer; il... | |
| Charles d' Héricault - France - 1889 - 816 pages
...les affaires publiques. Reste donc son intelligence. Qu'en dit Meillan, l'un de ceux qui • en parle avec le plus d'impartialité, de bienveillance même?...éternellement à la calomnie et ne cessoit de calomnier. » « L'art d'improviser, écrit un autre contemporain, lui fut étranger. Si l'on en excepte quelques... | |
| 1905 - 442 pages
...désagréablement l'oreille... » Son talent oratoire était d'ordre très inférieur : « Son éloquence n'était qu'un tissu de déclamations sans ordre, sans méthode...conclusion. Nous étions obligés chaque fois qu'il parlait de lui demander à quoi il voulait en venir... l'art d'improviser lui était étranger. »... | |
| 324 pages
...phénoménale à son intelligence ? Il n 'a nullement de talents supérieurs ! Son éloquence renommée n'est qu'un tissu de déclamations, sans ordre, sans méthode, et surtout sans conclusion. Les interlocuteurs sont obligés, chaque fois qu'il parle, de lui demander à quoi et où il veut en... | |
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