Storia della politica Austriaca rispetto ai sovrani ed ai governi Italiani dall' anno 1791 al maggio del 1857

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L. Sambolino, 1857 - Austria - 603 pages
 

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Popular passages

Page 509 - ... et qu'ils parviendront ainsi à mettre la paix à l'abri de nouvelles complications internationales. En ce qui concerne les principes de droit maritime, dont M. le premier Plénipotentiaire de la France a proposé l'adoption, M. le Comte de Buol déclare qu'il en apprécie l'esprit et la portée, mais que, n'étant pas autorisé par ses instructions à donner un avis sur une matière aussi importante, il doit se borner, pour le moment, à annoncer au Congrès qu'il est prêt à solliciter les...
Page 507 - ... être justifié que par une nécessité extrême, et qui doit cesser dès que cette nécessité ne se fait plus impérieusement sentir; que, cependant, si on ne travaille pas à mettre un terme à cette nécessité, elle continuera d'exister; que, si on se contente de s'appuyer sur la force armée, au lieu de chercher à porter remède aux justes causes du mécontentement, il est certain qu'on rendra permanent un système peu honorable pour les Gouvernements et regrettable pour les peuples. Il...
Page 506 - M. le Comte Walewski propose au Congrès de terminer son œuvre par une déclaration qui constituerait un progrès notable dans le droit international, et qui serait accueillie par le monde entier avec un sentiment de vive reconnaissance. " Le Congrès de Westphalie, ajoute-t-il, a consacré la liberté de » conscience, le Congrès de Vienne l'abolition de la traite des noirs et » la liberté de la navigation des fleuves.
Page 513 - Que tous les Plénipotentiaires, et même ceux qui ont cru devoir réserver le principe de la liberté de la presse, n'ont pas hésité à flétrir hautement les excès auxquels les journaux belges se livrent impunément ., en reconnaissant la nécessité de remédier aux inconvénients réels qui résultent de la licence effrénée dont il est fait un si grand abus en Belgique ; 5°...
Page 509 - Il ajoute que l'Angleterre est disposée à y renoncer définitivement, pourvu que la course soit également abolie pour toujours ; que la course n'est autre chose qu'une piraterie organisée et légale , et que les corsaires sont un des plus grands fléaux de la guerre, et que notre état de civilisation et d'humanité exige qu'il soit mis fin à un système qui n'est plus de notre temps. Si le Congrès tout entier se ralliait à la proposition de M. le Comte Walewski, il serait bien entendu qu'elle...
Page 516 - Sardaigne, remplis de confiance dans les sentiments de justice des Gouvernements de France et d'Angleterre et dans l'amitié qu'ils professent pour le Piémont, n'ont...
Page 515 - M. le Comte Walewski se déclare autorisé à appuyer l'idée émise par M. le premier Plénipotentiaire de la Grande-Bretagne; il assure que les Plénipotentiaires de la France sont tout disposés à s'associer à l'insertion au...
Page 511 - Il se borne à exprimer le désir qu'il soit possible de placer ce Gouvernement dans des conditions qui rendraient désormais superflue l'occupation par des troupes étrangères.
Page 512 - Cavour déclare que la Sardaigne est prête à faire retirer les cinquante hommes qui occupent Menton, si le prince est en état de rentrer dans ce pays sans s'exposer aux plus graves dangers. Au reste, il ne croit pas qu'on puisse accuser la Sardaigne d'avoir contribué au renversement de l'ancien Gouvernement afin d'occuper ces...
Page 503 - Rome et dans les Provinces qui ne sont pas comprises dans la séparation administrative, dont on vient de parler. La nouvelle troupe indigène, qu'on organiserait au moyen de la conscription dans les Provinces sécularisées, en assurerait la tranquillité. Les Français pourraient quitter Rome; les Autrichiens, les Légations. Cependant les troupes françaises, en rentrant chez elles par la voie de terre, devraient dans leur passage demeurer d'une manière temporaire dans les provinces détachées....

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