 ... grossière réalité de la vie. Des contours qui rappellent Léonard de Vinci, ce noble ovale avec les naïves fossettes des joues et le sentimental menton pointu de l'école lombarde. La couleur avait plutôt la douceur romaine, l'éclat mat de la...  Revue des deux mondes - Page 2141836Full view - About this book
 | Heinrich Heine - England - 1856 - 396 pages
...plutôt la douceur romaine, l'éclat inat de la perle , une pâleur distinguée, la rïiorbidezza. Enfm, c'était une figure comme on ne peut la trouver que...de ces grandes dames dont les artistes italiens du xvi* siècle étaient amoureux quand ils créaient leurs chefs-d'œuvre, et auxquelles pensaient les... | |
 | Heinrich Heine, Théophile Gautier - England - 1877 - 790 pages
...avait plutôt la douceur romaine, l'éclat mat de la perle , une pâleur distinguée , la morbidezza. Enfin, c'était une figure comme on ne peut la trouver...de ces grandes dames dont les artistes italiens du 'xvi* siècle étaient amoureux quand ils créaient leurs chefs-d'œuvre , et auxquelles pensaient... | |
 | Heinrich Heine - 1908 - 450 pages
...avait plutôt la douceur romaine, l'éclat mat de la perle, une pâleurdistinguée, la morbidezza. Enfin, c'était une figure comme on ne peut la trouver...passaient les Alpes... Oh ! oui, c'était une figure de cette famille qu'animait un sourire de . la malice la plus douce et de l'espièglerie du meilleur goût... | |
 | Maurice Donnay - 1926 - 202 pages
...avait plutôt la douceur romaine, l'éclat mat de la perle, une pâleur distinguée, la morbidezza. Enfin, c'était une figure comme on ne peut la trouver...une de ces grandes dames dont les artistes italiens étaient amoureux quand ils créaient leurs chefs-d'œuvre et auxquels pensaient les Héros allemands... | |
 | A. Augustin-Thierry, Augustin Thierry - Italy - 1926 - 302 pages
...avait plutôt la douceur romaine, l'éclat mat de la perle, une pâleur distinguée, la morbidezza. Enfin, c'était une figure comme on ne peut la trouver que dans quelque vieux portrait qui représente une de ces grandes dames dont les artistes italiens du seizième siècle étaient amoureux,... | |
 | Gabrielle Réval (pseud.) - France - 1928 - 336 pages
...avait plutôt la douceur romaine, l'éclat mat de la perle, une pâleur distinguée, la morbidezza. Enfin c'était une figure comme on ne peut la trouver...une de ces grandes dames dont les artistes italiens étaient amoureux quand ils créaient leurs chef sd' œuvres et auxquels pensaient les héros allemands... | |
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