ment et des infortunes de cette Moblesse fançaise, si fidèle et si long-temps calomnice. et vous Que le souvenir de ces temps cruellement mémorables se retrace sans cesse à votre pensée, confirme dans le dessein où vous êtes de tenir le sceptre d'une main ferme, et de tuer le monstre des révolutions, en donnant à vos peuples des lois sages qui les rendent heureux, et éternisent votre gloire. Illustres Souverains, si la secte démagogique, par qui la France fut bouleversée, se montrait disposée à semer le trouble dans vos Etats, soyez plus que jamais unis pour repousser des doctrines corruptrices, et déjouer des. perfides qui ne renversent jamais manoeuvres les trônes des rois sans couvrir de débris et de cendres la demeure du riche et la cabane du pauvre. Dieu, dans sa sagesse infinie, vous a insti tue's les pasteurs de vos sujets : n'oubliez jamais 1 puission les que le premier des biens dont vous, faire jouir, c'est de les préserver du joug des factions populaires. Puissans Monarques, l'Historien dis ÉMIGRÉS FRANÇAIS offre à vos méditations un ouvrage où voud puiserez, dans l'axemple du il ne suffit pas de vouloir, avec toute la tendresse d'un cœur pur et pénétré de l'amour du bien, le bonheur de ses peuples, mais que pour réussir dans un si noble dessein, il faut. punir quiconque encore ose se montrer rebelle, sans attendre que révolte d'un bout du royaume à l'autre, ne le crime enhardi, organisant la laisse plus d'autre chance aux amis de la |