Souvenirs historiques et parlementaires [ed. by L.A. Le Doulcet, marq. de Pontécoulant]. |
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Common terms and phrases
accusation Anciens appelé armées arrêté arrivé assemblées aurait avaient avant bientôt Bonaparte c'était cause chargé chef circonstances citoyens collègues Comité commandant commission conduite conseil Convention Corps législatif coup courage cours crime déclare décret demander départements députés dernier devait dire Directoire discussion donner doute effet enfin esprit eût exécutif faisait force formes fructidor général gouvernement guerre hommes jeune jour journée jugement justice l'armée l'Assemblée l'avait l'ordre l'un laisser législatif lettre liberté lois lui-même main majorité malheureux marche membres ment mesures ministre modération montra mort moyens n'avait n'était nation nationale nombre nouveau nouvelle parler parole passer pays peine pendant pensée peuple peut-être place Pontécoulant porter pouvait pouvoir premier présenter presse pris projet prononcé proposait proscription public publique qu'une question raison rapport rendre représentants République reste révolution révolutionnaire rien royalistes s'était salut séance semblait sentiment serait seul sort suite suivi tion tribune trouvait venait véritable vive voulait
Popular passages
Page 7 - JE le dis, et il me semble que je n'ai fait cet ouvrage que pour le prouver, l'esprit de modération doit être celui du législateur; le bien politique, comme le bien moral, se trouve toujours entre deux limites.
Page 141 - La fabrication des monnaies est exécutée par voie de régie administrative, sous l'autorité du ministre 'des finances. Cette régie sera organisée dans un délai de six mois à partir de la promulgation de la présente loi.
Page 147 - Oui, je vais conclure, et contre vous; contre vous qui , après la révolution du 10 août , avez voulu conduire à l'échafaud ceux qui l'ont faite ; contre vous qui n'avez cessé de provoquer la destruction de Paris ; contre vous qui avez voulu sauver le tyran ; contre vous qui avez conspiré avec Dumouriez; contre vous, qui avez poursuivi avec acharnement les mêmes patriotes dont Dumouriez demandait la tête...
Page 194 - L'accusée avoue avec sang-froid l'horrible attentat « qu'elle a commis; elle en avoue avec sang-froid la « longue préméditation; elle en avoue les circonstances « les plus affreuses : en un mot, elle avoue tout, et ne « cherche pas même à se justifier. Voilà, citoyens jurés,
Page 11 - D'autres guidons porteront ces mots : Quand le gouvernement viole les droits du peuple , l'insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple , le plus sacré et le plus indispensable des devoirs. Ceux qui usurpent la souveraineté, doivent être mis à mort par les hommes libres.
Page 70 - Nul ne peut être empêché de dire , écrire , imprimer et publier sa pensée. Les écrits ne peuvent être soumis à aucune censure avant leur publication. Nul ne peut ê.tre responsable de ce qu'il a écrit ou publié que dans les cas prévus par la loi.
Page 389 - J'espère que demain Duperret et Fauchet seront mis en liberté ; on prétend que ce dernier m'a conduite à la Convention, dans une tribune. De quoi se mêle-t-il d'y conduire des femmes...
Page 389 - J'espère que vous n'oublierez point l'affaire de madame Forbin. Voici son adresse, s'il est besoin de lui écrire : * Alexandrine Forbin , à Mendrenne , par Zurich, en Suisse. • Je vous prie de lui dire que je l'aime de tout mon cœur. Je vais écrire un mot à papa ; je ne dis rien à mes autres amis ; je ne leur demande qu'un prompt oubli ; leur affliction déshonorerait ma mémoire. Dites au général Wimpfen, que je crois lui avoir aidé à gagner plus d'une bataille en lui facilitant la...
Page 190 - Soldats! je sais que vous êtes profondément affectés des malheurs qui menacent la patrie ; mais la patrie ne peut courir de dangers réels. Les mêmes hommes qui l'ont fait triompher de l'Europe coalisée , sont là. Des montagnes nous séparent de la France ; vous les franchiriez avec la rapidité de l'aigle, s'il le fallait, pour maintenir la constitution, défendre la liberté, protéger le gouvernement et les républicains.
Page 133 - Les Parisiens ont commencé les premiers la Révolution, en renversant la Bastille, parce qu'elle dominait de plus près sur leurs têtes; c'est ainsi qu'ils viennent aujourd'hui attaquer la nouvelle tyrannie, parce qu'ils en sont les premiers témoins.