Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852) |
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Popular passages
Page 360 - Partisans de la République, Grands raisonneurs en politique Dont je partage la douleur, Venez assister en famille Au grand convoi de votre fille Morte en couche d'un Empereur.
Page 298 - Je suis tout et je ne suis rien ; Je fais le mal, je fais le bien ; J'obéis toujours quand j'ordonne; Je reçois moins que je ne donne; En mon nom, on me fait la loi, Et quand je frappe, c'est sur moi.
Page 364 - Vous vous trompez," réprit Napoléon ; "je suis le signet qui marque la page où la révolution s'est arrêtée ; mais quand je serai mort, elle tournera le feuillet et reprendra sa marche.
Page 57 - Thicrs dans le Constitutionnel, et jusqu'à Carrel et Armand Marrast dans le National, à M. Chambolle dans le Siècle, à M. de Girardin seul contre tous dans la Presse; nommer les écrivains de la presse politique, ce serait nommer tous les hommes de lettres.
Page 300 - Il nous faut un (Jambon, a dit Ledru-Rollin, Pour que la France soit prospère ; II le cherche, pour rendre un père A l'assignat, si longtemps orphelin. 0 citoyen Ledru, permettez que j'espère, Pour ce pays tant de fois éprouvé, Que ce Cambon n'est pas TROUVÉ.
Page 297 - On cherche les rieurs ; et moi je les évite. Cet art veut, sur tout autre, un suprême mérite : Dieu ne créa que pour les sots Les méchants diseurs de bons mots.
Page 5 - France, probablement par les mêmes raisons. Toutes les fois que, pour une cause ou pour une autre, les libres penseurs ont pu ameuter l'opinion contre l'Eglise, aussitôt, à Paris et dans les provinces, le Tartufe reparaît. On le joue, on en fait des éditions populaires avec préface, éclaircissements et vignettes. Dans les derniers temps de Louis-Philippe, le Tartufe eut l'honneur d'être, avec...
Page 83 - Le monde se déniaise furieusement. Une grande révolution dans les esprits s'annonce de tous côtés. Vous ne sauriez croire quels progrès la raison a faits dans une partie de l'Allemagne. Je ne parle pas des impies, qui embrassent ouvertement le système de...
Page 56 - Dans les tristes dernières années de ce siècle, la littérature, presque sortie des livres, était entrée tout entière dans les tribunes et dans les journaux. Penser n'était plus un loisir, c'était un travail; la société en ébullition jetait toutes ses flammes dans le même foyer. Depuis Chateaubriand dans le Conservateur, jusqu'au Globe, jusqu'à M.