Histoire de la Révolution française, Volume 4 |
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Annual register anticipations assignats avaient Barnave Bertrand de Moleville besoins Bibliothèque historique Bonne-Savardin Brabant British Museum c'était caisse d'escompte Camille Desmoulins Cazalès cent Champ-de-Mars chap Châtelet circulation citoyens civile clergé Clootz cœur comité des finances comte de Mirabeau constitution coup cour déclarer décret demande dépenses députés district dix derniers mois eût Fayette fédération garde nationale général guerre homme houppes rouges Ibid jour juges justice l'abbé Maury l'administration L'Ami du Peuple l'Assemblée nationale l'Église l'État L'Orateur du peuple laisser Lameth liberté Livre rouge Louis XVI Loustalot Marat Marck Mémoires de Ferrières ment mille livres millions ministre Moniteur motion municipalité n'avait n'était nation Necker Nîmes nobles papier passer patriotes payer pensions politique porte présente prêtres prince provinces publique qu'un Règne de Louis reine rentes reste revenus Révolution française royaume s'était séance sentiment serait seul Sieyès soldats somme sorte tion trésor public tribunaux tribune trouve
Popular passages
Page 410 - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Page 222 - Je n'avais pas besoin de cette leçon pour savoir qu'il est peu de distance du Capitole à la roche Tarpéienne ; mais l'homme qui combat pour la raison, pour la patrie, ne se tient pas si aisément pour vaincu. Celui qui a la conscience d'avoir bien mérité de son pays, et surtout de lui être encore utile ; celui que ne rassasie pas une vaine célébrité et qui dédaigne les succès d'un jour pour la véritable gloire; celui qui veut dire la vérité, qui veut faire le bien public, indépendamment...
Page 252 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est impossible d'èlre bon citoyen ni sujet fidèle.
Page 252 - L'existence de la Divinité puissante, intelligente, bienfaisante, prévoyante et pourvoyante, la vie à venir, le bonheur des justes, le châtiment des méchants, la sainteté du contrat social et des lois...
Page 404 - Mandons et ordonnons à tous les corps administratifs et tribunaux, que les présentes ils fassent consigner dans leurs registres, lire, publier et afficher dans leurs départements et ressorts respectifs, et exécuter comme loi du royaume : en foi de quoi nous avons signé ces présentes, auxquelles nous avons fait apposer le sceau de l'État.
Page 228 - Assez longtemps l'étiquette des cours a proclamé des deuils hypocrites. Les nations ne doivent porter que le deuil de leurs bienfaiteurs. Les représentants des nations ne doivent recommander à leur hommage que les héros de l'humanité.
Page 72 - ... d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi.
Page 35 - ... tapi dans un ravin , et dont on ne découvre les tourelles ébréchées qu'à environ cent pas de la herse principale. Les arbres séculaires qui l'entourent et les roches éparses qui le dominent l'ensevelissent dans une perpétuelle obscurité, et c'est tout au plus si, en plein midi, on peut franchir le sentier abandonné qui y mène, sans se heurter contre les troncs noueux et les décombres qui l'obstruent à chaque pas. Ce sombre ravin et ce triste castel, c'est la Roche-Mauprat.
Page 401 - Nous sanctionnés, auront cours de monnaie entre toutes personnes dans toute l'étendue du royaume , et seront reçus comme espèces sonnantes dans toutes les caisses publiques et particulières.
Page 228 - Le sage que deux mondes réclament, l'homme que se disputent l'histoire des sciences et l'histoire des empires, tenait sans doute un rang élevé dans l'espèce humaine. Assez long-temps les cabinets politiques ont notifié la mort de ceux qui ne furent grands...