Voyage en Orient, 1832-1833, Part 2 |
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Alep Arabes arbres armée arrivée ayant Bagdad Balbek Bargiass Bassora bazar beau Bédouins Belgrade belle bord Bosphore brick caïques camp caravane cavaliers cents chameaux chef chevaux chrétiens ciel cimes collines Constantinople côté cyprès d'Asie Damas déja désert Dieu divan Drayhy drogman Ebn Sihoud Égypte enfants esclaves étions Faress femmes fils flancs fleuve forêts golfe grec guerre habitants Hama heures hommes Homs immense j'ai janissaires jardins jette jeune jour jument Kara-George kiosques l'Asie l'émir l'empire l'Europe l'homme laisser large Lascaris lendemain Liban machlas maisons marbre marche Marmara maronites Méhanna ment mer de Marmara mille Milosch montagnes monuments mosquée murs Nasser neige noir nuit osmanlis pacha palais Palmyre passer pendant peuple piastres pieds pierres plaine porte race reste rien rochers route ruines Scheik Ibrahim sérail Serviens seul soir soleil sortir sultan Syrie temple tente terre tête tion torrent tribu trouve Turcs Turquie vallée vaste vent village visiter voile Wahabi
Popular passages
Page 127 - L'Ecriture-Sainte les célèbre en plusieurs endroits. Ils sont une des images que les prophètes emploient de prédilection. Salomon voulut les consacrer à l'ornement du temple qu'il éleva le premier au Dieu unique, sans doute à cause de la renommée de magnificence et de sainteté que ces prodiges de la végétation avaient dès cette époque.
Page 545 - ... être moins sincèrement et moins profondément révolutionnaire. On peut préférer un instrument à un autre pour remuer le monde et le changer de place; voilà tout. Mais l'idée de révolution, c'est-à-dire de changement et d'amélioration, n'en éclaire pas moins l'esprit, n'en échauffe pas moins le cœur. Quel est parmi nous l'homme pensant, l'homme de cœur et de raison, l'homme de religion et d'espérance, qui, mettant la main sur sa conscience et s'interrogeant devant Dieu, en présente...
Page 127 - Ils leur attribuent, non-seulement une force végétative qui les fait vivre éternellement, mais encore une aine qui leur fait donner des signes de sagesse, de prévision, semblables à ceux de l'instinct chez les animaux, de l'intelligence chez les hommes. Ils connaissent d'avance les saisons, ils remuent leurs vastes rameaux comme des membres, ils étendent ou resserrent leurs coudes, ils élèvent vers le ciel ou inclinent vers la terre leurs branches, selon que la neige se prépare à tomber...
Page 63 - ... et là dans la vaste plaine, partout ombragée, partout pressée par la forêt, de dix lieues de tour, de ses abricotiers, de ses sycomores, de ses arbres de toutes formes et de toute verdure ; semblait se perdre de temps en temps sous la voûte de ces arbres, puis reparaissait plus loin en larges lacs de maisons, de faubourgs, de villages ; labyrinthe de jardins, de vergers, de palais, de ruisseaux, où l'œil se perdait et ne quittait un enchantement que pour en retrouver un autre...
Page 570 - Mais comme race d'hommes , comme nation, ils sont encore, à mon avis, les premiers et les plus dignes parmi les peuplades de leur vaste empire; leur caractère est le plus noble et le plus grand, leur courage est intact, leurs vertus religieuses, civiles et. domestiques , sont faites pour inspirer à tout esprit impartial l'estime et l'admiration. Leur noblesse est écrite sur...
Page 552 - La charité, c'est le socialisme; l'égoïsme, c'est l'individualisme. La charité comme la politique commande à l'homme de ne pas abandonner l'homme à lui-même, mais de venir à son aide, de former une sorte d'assurance mutuelle à des conditions équitables entre la société possédante et la société non possédante...