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1284. Diercxsens, I, 316,
1287. Clericus, 1, no 66,

1295. Diercxsens, I, 343,
1533. Cart. de St-Michel, 107,

1358. Cart. 23, 96,

1381.

97,

ANWEERS. Charte du duc Jean I.

ANWIERS. Garantie pour le duc de Brabant.
ANTWERPEN. Donation du s' de Wustwesel.
ANTWERS. Charte française de Hugues de Lor-
raine, sire de Bevre, etc.

ANDWORPEN. Charte de Louis, comte de Flan-
dres, dit de Male.

ANDWERPIA. Charte de Philippe-le-Hardi, duc de Bourgogne.

1382-85-92. Cart. 23, 98, 99, 100, ANWERS. Charte de Philippe-le-Hardi, duc

1401. Cart. 101,

de Bourgogne.

ANTWERPS. Charte de Philippe-le-Hardi, duc de
Bourgogne.

ANDUWEPA. Meyerus, I, p. 5.

HANTWERPIA. Segbertus, ad annum 835.

Une étymologie fabuleuse, conservée par les armoiries de la ville, donne gine au nom les mots HAND et WERPEN.

pour ori

Quelques auteurs (par exemple, Miraeus, Diercxsens, Marschal, etc.) assignent l'étymologie aux mots AENTWERF (au port). Goropius Becanus, liv. I, ch. 18, ANT, ATVATINGSWERP (projectum flumen). Les auteurs de la Geschiedenis van Antwerpen, tom. I, p. 34, font dériver le nom de GANERBEN ANERBEN, qui signifie proprement société civile ou fédération dans un château.

Gramaye indique pour Anvers, d'après plusieurs auteurs, les noms de Andowerp, Anturpia, Antverpha, Andowerpum, Antwerp, Antorf, Anvers, Hantwerp et les étymologies de ADVERSA, rive opposée, VERPUM, surnom de Priape, WERP, jetée, etc.

Auteurs principaux qui ont écrit sur cette ville:

Le Roy, p. 1 à 91. — Butkens, II, 15, III, 469. — Gramaye, Antv., 1-27.L. Guicciardini, Descrittione di tutti i paesi bassi, Antversa, 1588, in-fol., p. 84-172. -Goropii Becani, Origines Antverpianae. Antv., 1599, in-fol. - C. Scribani, Antverpia et origines Antverpiensium. Antv., 1610, in-folio. — Diercxsens, Antverpia Christ. nasc. et cresc.. Antv., 1775, 7 vol. in-8°. — Garonne, Notice sur Anvers. Paris, 1824, in-8°. Historisch onderzoek van den oorsprong en den waren naem der openbare plaetsen en straeten der stad Antwerpen. Antw., 1828, in-8°. Foppens, Historia episcopatus Antverpiensis. Brux., 1717, in-4°. Geschiedenis van Antwerpen door het genootschap den Olyftak (Mertens). Anvers, 1844, in-8°.

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1008.

I, 53,

1127.

IV, 312,

1134.

II, 964,

1155.

II, 826,

de l'empereur Othon II.

de l'empereur Henri II.

MACLINES. Charte de l'empereur Henri I.
MALINA. Donation de Guillaume, comte de Flan-
dre.

MACHLINIA. Donation du chapitre de Cambray.
MASLINES. Charte de l'empereur Frédéric I.

1215. Inventaire des chartes de Flandre, no 9, MARLINES. Accord entre Liége

et Berthout.

1279. Inventaire des chartes de Flandre, 256, MACHELINES. Douaire d'Isabelle. de Malines.

1281. Cart. de S'-Michel, 51 v°, MAGHLINIA. Testament d'un ecclésiastique.

1284. Diercxsens, 1, 316,

1301. Clericus, I, n° 90,

MALINE. Charte du duc Jean I.

MACHELNE. Convention du duc Jean avec J. Berthout.

1383. Cart. de St-Michel, 95, MALINES. Acte français de Waultier Berthout.

Dans Le Roy, Théâtre sacré du Brabant, tome I, p. 1, on lit : « Une terre dans » le Brabant, comme dit Gramaye, où l'Escaut reçoit la Dyle, et que les Français. » nomment Maslines, c'est-à-dire LIGNE DE LA MER, parce que le flux et le reflux de » la mer ne montent pas au delà. » Les anciens l'ont appelée Malina ou Maslines, Macline ou Machlinia. Les Français la nomment Malines; les Flamands, Machelen et Mechelen. Bormans (Verslag over de verhandelingen over de taelkundige prysvraeg, p. 388 et s.) donne les diverses étymologies de Malines, par exemple : SALINAE, WALINIUM, MICHAEL, MARIS LINEA, MELINA, MEKEL OU MICKEL, etc.; lui-même indique la signification de Maegdenstad, de Machela, maget, fille. Gramaye donne Masa lineam, mais penche pour MARIS LINEAM. Ducange (verbo Ledo) cite les mots. suivants de Papias : « Euripus est deductio maris vel aquarum quod fit secundum » crementum vel decrementum lunae, et majus MALINA minus LEDONA Vocatur. » Malines signifierait donc marée haute, et Lierre marée basse. Dans Beda, De natura rerum, et dans d'autres auteurs du moyen âge, on trouve la même chose : « Estas » crescentes MALINAS, decrescentes autem placuit appellare LEDONES, etc. » Ypey (Verouderde woorden in den staaten Bybel) le fait dériver de mekel, grand. Hoeufft

de mahl, mallum, et le traduit petit mallum, petite réunion, aussi demagens urbs, ville appartenant à une seule famille.

:

Auteurs Butkens, I, 350, II, 59. - De Munck (tout le 1er volume). — Gramaye, Mech., 1 et suivants. - De Azevedo, Oudheden der stad ende provintie van Mechelen. - Van Gestel, Historia sacra et prophana archiepiscopatus Machliniensis. Hage, 1725, 2 vol. in-fol. - Geoffroy, Mechelsche chronyke. Mech., 1721, in-8°. - Valerius, Chronyke van Mechelen. Mech., in-8°.

LIERRE.

870. Miraeus, I, 31,

1174.

I, 710,

1180-99.

I, 396-357,

1200-29.

III, 71, 89,

1212. Butkens,

p. 61,

1230. Diercxsens, I, 207,

1235.

I, 228.

1245. Miraeus, I, 117,

LEDI. Partage de Charles-le-Chauve avec
Louis.

LIRENSIS ECCLESIA. Donation de Godefroid III.
LIRA. Donation de Henri I.

125, LYRA. Donation de Henri I.

LIERAM. Charte de Henri I.

Magister de LYRA. Donation du duc Henri I.
WALTERUS DE LYRA.
Henri II.

LIERA. Donation du duc Henri II.

1289. Cart. de S'-Michel, 60 vo, LYRAM. Charte du duc Jean I.

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L'on peut choisir parmi les significations suivantes : d'après Kilian, Scamnum prae foribus sedile vestibuli (ce qui est assez singulièrement en harmonie avec le mot TENTE, nom générique donné aux hameaux de Lierre), la lyre, la joue (maxilla), d'après Ducange, un sillon, mesure de terre, limite, etc. Gramaye dit que l'ancien nom de Lierre, LEDO, lui a été donné en opposition avec MARIS LINEA attribué à Malines. LEDO, d'après Ducange, signifie maris aestuatio. Ledo est la marée basse (voir Malines); cette étymologie est plausible.

Demunck, De

Auteurs: Le Roy, p. 145 et 155. Butkens, I, 499, II, 19. Gramaye, Antv., 52. Vanloon, Beschryving der stad Lier; S'Gravenh., 1740, in-12. stad Lier door de rebellen verrast; Mech., 1781, in-8°.

TOME III.

29

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D'après Heylen (p. 29), TURNICHALT OU TURNICHOLT serait le nom primitif. D'après Gramaye, il signifierait, silva Thoraldi. Je préfère bois du monticule ou de la tour (voir sur TURN, Grimm, Gram., III, 430), Wendelyn donne : TURNHAL, comme une maelstede des Francs-Salins, ce qui est très-plausible.

:

Auteurs Le Roy, p. 389. Butkens, I, 477, II, 25. Gram., Antv., 39 à 42. Van Gorcum, Beschryving der stad en vryheyd van Turnhout, Mech., 1790, in-8°.

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Gramaye l'appelle Vallis Argilace praetorium. Un acte cité par Le Roy, page 245, prouve que l'étymologie que donne un ancien manuscrit, qui fait dériver le nom de la commune d'un certain Arnoldus (en flamand AERT) qui l'aurait possédée au XIII® siècle, est fausse. LAER signifie un commun, un pâturage communal (voir Coutumes de Deurne, art. 420), AERT un marché ou un terrain labourable.

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