 Duguay-Trouin, j'éprouvais un sentiment extraordinaire de religion. Je n'avais pas besoin que la Villeneuve me dît de joindre les mains pour invoquer Dieu par tous les noms que ma mère m'avait appris...  Revue des deux mondes - Page 537edited by - 1911Full view - About this book
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1874 - 394 pages
...dans l'intervalle de ces chants on enten(.lait le vent de la mer et les tempêtes de Noël ébranlant les vitraux de l'église, j'éprouvais, tout enfant...pas besoin que la Villeneuve me dît de joindre mes mains pour prier Dieu par tous les noms que ma mère m'avait appris. Ce que je ne vois aujourd'hui... | |
 | Maurice Tourneux - French literature - 1904 - 730 pages
...l'original autographe; celles qui ont été imprimées en 7 ont été faites sur le manuscrit définilif. [[[Ce que je ne vois aujourd'hui que par les yeux de la foi,]]] je [[[le]]] voyais [[[comme en réalilé : Dieu descendant sur l'autel au son de la cloche sacrée,]]] les cieux ouverts, les anges... | |
 | Maurice Tourneux - French literature - 1904 - 752 pages
...Villeneuve me dit de joindre mes deux mains c pour prier (EI Dieu par'K) tous les noms que ma mère m'avoit appris. Ce que je ne vois aujourd'hui que par les yeux de la foi, je le voyois comme en réalité n; Dieu descendant sur l'autel (A). Ici, il n'ya pas de signe de ponctuation... | |
 | Victor Giraud - 1904 - 362 pages
...l'original autographe ; celles qui ont été imprimées en 7 ont été faites sur le manuscrit définitif. [[[Ce que je ne vois aujourd'hui que par les yeux de la foi,]]] je [[[le]]] voyois [[[comme en réalité : Dieu descendant sur l'autel au son de la cloche sacrée,]]] les cieux... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - French literature - 1905 - 456 pages
...cette nef que fit résonner la mâle poitrine do Jacques Cartier et de Duguay-Trouin, j'éprouvais un sentiment extraordinaire de religion. Je n'avais pas besoin que la Villeneuve me dît de joindre les mains pour invoquer Dieu par tous les noms que ma mère m'avait appris; je voyais les cieux ouverts,... | |
 | Victor Giraud - 1912 - 358 pages
...chantait en chœur le Tanium erg», que, dans l'intervalle des chants, on entendait le vent de la mer et les tempêtes de Noël qui ébranlaient les vitraux...religion. Je n'avais pas besoin que la Villeneuve me dit de joindre mes deux mains pour prier Dieu par tous les noms que ma mère m'avait appris. Ce que... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1912 - 360 pages
...cette nef que fit résonner la mâle poitrine de Jacques Cartier et de Duguay-Trouin, j'éprouvais un sentiment extraordinaire de religion. Je n'avais pas besoin que la Villeneuve me dît de joindre les mains pour invoquer Dieu par tous les noms que ma mère m'avait appris ; je voyais les cieux ouverts,... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1912 - 372 pages
...de cette nef que fit résonner la mâle poitrine de Jacques Cartier et de DuguayTrouin, j'éprouvais un sentiment extraordinaire de religion. Je n'avais pas besoin que la Villeneuve me dit de joindre les mains pour invoquer Dieu par tous les noms que ma mère m'avait appris; je voyais... | |
 | François-René de Chateaubriand - 1921 - 462 pages
...perdaient sous mes yeux, et, lorsque je m'ébattais le long des grèves, la mer roulait à mes Noél qui ébranlaient les vitraux de l'église, j'éprouvais,...religion . Je n'avais pas besoin que la Villeneuve me dit de joindre mes deux mainp pour prier Dieu par tous les noms que ma mère m'avait appris. Ce que... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1923 - 654 pages
...mer et des tempêtes de Noël qui ébranlaient le» vitraux de l'église, j'éprouvais tout e.njant que j'étais un Sentiment extraordinaire de religion. Je n'avais pas besoin que la Villeneuve me dit de joindre mes deux mains pour prier Dieu par tous les noms que ma mère m'avait appris. Ce que... | |
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