L'Espagne et Napoléon ... |
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affaires allié ambassadeur Anglais Aranjuez Archives armée arrivé Barrio Baylen Bayonne Beauharnais Belveder Bessières Beurnonville blessés Bourbons Burgos c'était Cadix camp canons capitaine Castaños Castille Cevallos Champagny Charles Charles IV colonel commandant comte Conseil de Castille Corogne coup couronne décembre Decrès demeurait dépêches devant diplomatique duc de l'Infantado Dupont envoyé Escoïquitz espa Espagne Espagnols événements Ferdinand Ferdinand VII flotte force Forest française garde général gnols Godoy Gravina guerre heures hommes impériale Isquierdo J'ai janvier John Moore Joseph jours Juan juillet Junot Junte l'amiral l'Angleterre l'armée l'Empereur l'Escurial l'Espagne l'Europe laisser lettre Madrid maison Majesté maréchal marine Marrac ment militaire ministre Moncey Murat Naples Napoléon Nelson novembre octobre officiers ordres Paix passer patriotisme Pedro de Cevallos péninsule peuple porte Portugal premier prince des Asturies Reine résistance route Savary secret sentiment seul Séville soir soldats sort Soult Talleyrand tion Trafalgar troupes trouvait vaisseaux Vandeul Védel Villeneuve Vittoria
Popular passages
Page 227 - La faute n'en est pas à vous, mais à la mauvaise administration qui vous a régis. Soyez pleins d'espérance et de confiance dans les circonstances actuelles; car je veux que vos derniers neveux conservent mon souvenir et disent : // est le Régénérateur de notre Patrie.
Page 452 - Et cet homme, ce malheureux (il désignait ainsi le duc d'Enghien), par qui ai-je été averti du lieu de sa résidence? Qui m'a excité à sévir contre lui? Quels sont donc vos projets? Que voulez-vous? Qu'espérez-vous? Osez le dire ! Vous mériteriez que je vous brisasse comme un verre ! J'en ai le pouvoir, mais je vous méprise trop pour en prendre la peine ! D'après Mollien, il aurait encore ajouté : — Pourquoi ne vous ai-je pas fait pendre aux grilles du Carrousel?
Page 402 - Mais si tous mes efforts sont inutiles, et si vous ne répondez pas à ma confiance, il ne me restera qu'à vous traiter en provinces conquises et à placer mon frère sur un autre trône. Je mettrai alors la couronne d'Espagne sur ma tête, et je saurai la faire respecter des méchants, car Dieu m'a donné la force et la volonté nécessaires pour surmonter tous les obstacles.
Page 452 - Vous êtes un voleur, un lâche, un homme sans foi, « vous ne croyez pas en Dieu; vous avez toute votre vie « manqué à tous vos devoirs, vous avez trompé. trahi « tout le monde; il n'ya pour vous rien de sacré; vous « vendriez votre père. Je vous ai comblé de...
Page 67 - ... parle; que ce que vous lui devez vous fasse souvenir de ce que vous vous devez à vous-mêmes , à votre honneur et à la religion sainte que vous professez. » , Signé , Le prince DE IA PAIX. Au palais royal de Saint-Idelphout
Page 354 - Je suis résolu à pousser les affaires d'Espagne avec la plus grande activité, et à détruire les armées que l'Angleterre a débarquées dans ce pays. La sécurité future de mes peuples, la prospérité du commerce et la paix maritime sont également attachées à ces importantes opérations.
Page 159 - Ne mettez personne dans votre confidence et ne parlez, je vous prie, à qui que ce soit de l'objet de cette lettre ; car il faut qu'une chose soit faite pour qu'on avoue d'y avoir pensé, etc., etc.
Page 158 - Jusqu'à cette heure, le peuple m'appelle à grands cris. Certain que je n'aurai de paix solide avec l'Angleterre qu'en donnant un grand mouvement au continent, j'ai résolu de mettre un prince français sur le trône d'Espagne. Le climat de la Hollande ne vous convient pas. D'ailleurs, la Hollande ne saurait sortir de ses ruines. Dans...
Page 461 - VMI, et elle aura toujours en moi un fils le plus reconnaissant et le plus dévoué. J'implore donc, avec la plus grande confiance, la protection paternelle de VMI, afin que non-seulement elle daigne m'accorder l'honneur de ni 'allier à sa famille, mais qu'elle aplanisse toutes les difficultés, et fasse disparaître tous les obstacle» qui peuvent s'opposer à cet objet de mes vœux.
Page 452 - ... trahi tout le monde ; il n'ya pour vous rien de sacré; vous vendriez votre père. Je vous ai comblé de biens, et il n'ya rien dont vous ne soyez capable contre moi. Ainsi, depuis dix mois, vous avez l'impudeur, parce que vous supposez, à tort et à travers, que mes affaires en Espagne vont mal, de dire à qui veut l'entendre que vous avez toujours blâmé mon entreprise sur ce royaume, tandis que c'est vous qui m'en avez donné la première idée, qui m'y avez persévéramment poussé.